-Oiseau2nuit : Comment es-tu habillée ?-Petit.Oiseau : Lol ! Toutes les barrières s'écroulent ce soir...
-Oiseau2nuit : Ahah. Désolé. Je ne sais pas ce qui m'arrive. Fais comme si j'avais rien écrit. Tu vas me prendre pour un détraqué.
-Petit.Oiseau : Non, ça m'a étonnée, c'est tout. Tu n'as rien d'un détraqué, crois-moi. Je suis une fille, et avant je jouais souvent en réseau. Je sais reconnaître un détraqué.
-Oiseau2nuit : Bon, si tu le dis.
J'avais les joues en feu. C'était ma première véritable conversation avec
Hannah, et je lui avais demandé comment elle était habillée. Moi, un brillant jeune homme de vingt-huit ans, très pris, je me comportais comme un excité de quatorze ans. Ah ben, bravo !-Petit.Oiseau : Matt, je t'ai dit de me faire confiance. TU N'ES PAS UN DÉTRAQUÉ. Tu es même tout le contraire. C'est pour ça que ça m'a fait rire. D'un coup, « M. Je ne cherche pas un ami alors ne m'embête pas avec des détails sur ta vie » me demande comment je suis habillée. Tu veux toujours le savoir ?
Désormais, je ne rougissais plus de honte mais de colère.
-Oiseau2nuit : Ouais, putain, je veux toujours savoir. C'est pour ça que j'ai demandé, alors réponds ou laisse tomber. Pas la peine de me donner l'impression d'être une grosse merde parce que j'ai posé la question.
- Petit.Oiseau : C'est bon ! Je suis désolée. T'énerve pas. Je porte un déshabillé bleu.
-Oiseau2nuit : Un déshabillé... ?
-Petit.Oiseau : Oui, un petit peignoir fin bleu. Il m'arrive à mi-cuisses.
-Oiseau2nuit : Rien d'autre ?
-Petit.Oiseau : Non.
J'ai senti un élancement entre les jambes. À ce moment-là, je ne savais pas du tout à quoi Hannah ressemblait, mais ça ne paraissait pas déranger ma queue. J'ai soulevé mon ordinateur portable de mes cuisses pour le poser sur le matelas. J'ai mis la main sur mon sexe. Et j'ai attendu. Qu'étais-je en train de faire ?
-Petit.Oiseau : Je... peux te demander comment tu es habillé ?
-Oiseau2nuit : Un bas de survêtement.
-Petit.Oiseau : Rien d'autre ?
-Oiseau2nuit : Non.
-Petit.Oiseau : Miam...
-Oiseau2nuit : Hannah, ouvre ton déshabillé.
-Petit.Oiseau : D'accord.
J'en suis reste bouche bée. Mon érection a gonflé dans ma main. D'accord ? Elle avait accepté mon ordre avec tellement de calme, sans hésiter... Faisait-elle réellement ce que j'avais demandé ? J'ai imaginé une jeune femme assise à son bureau, devant un ordinateur, les pans de son
petit peignoir ouverts, dévoilant ses seins ronds à l'écran. J'ai baissé mon pantalon sur mes hanches et libéré ma hampe. Mon corps entier frissonnait. Je devais absolument dire à Hannah d'arrêter, que je n'étais pas célibataire et que nous allions foutre en l'air notre agréable amitié virtuelle et anonyme.-Oiseau2nuit : Décris ton corps. Écarte les cuisses. Mon Dieu, j'ai le cœur qui bat fort.
-Petit.Oiseau : Moi aussi. Je les ai écartées. Je mouille rien qu'en te disant ça.
-Oiseau2nuit : Oh là, Hannah.
Je me suis mis à caresser ma queue de haut en bas, m'arrêtant pour faire tourner mon pouce sur le gland. Je sentais les longs muscles de mes cuisses et de mes bras se contracter - tendus par l'excitation ou bien me suppliant d'arrêter. Il fallait que ça cesse.
- Petit.Oiseau : Mes seins sont... gros. 90 E. Pour une poitrine naturelle, ils se tiennent bien. Les bouts de mes seins sont rose foncé. Ils sont très sensibles. Je suis bien roulée. Des formes généreuses avec une taille de guêpe, on peut dire.
J'étais sur le point de jouir. Déjà. J'ai gémi librement dans le silence de l'appartement, tout en ondulant des hanches, mon membre dans ma main. Oh, mon Dieu. Mon Dieu. J'ai cherché le clavier de l'ordinateur à tâtons.
-Oiseau2nuit : Fais-moi jouir
Comment avez vous trouver cette partie j'aimerais avoir des avis ?
Bisous bisous