L'un soupire sans fin,
L'autre rit sans raison,
Un autre tue le temps,
Le suivant guette l'heure...
Dans cette permanence
Où les mouches se cognent,
Le soleil frappe aux vitres ;
Mais l'enfant est sous clef.
Le stylo gratte un peu.
Pour ne pas désapprendre.
Des secrets échangés
Agitent un peu les âmes ;
Des regards qui se fuient,
Des regards qui se cherchent,
Des souffles indiscrets
Bercent de tendres songes...
Et l'étude ronronne,
Et les néons bourdonnent...
La cloche qui s'ébroue
Disperse enfin les voix.
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Aubes et crépuscules 1/4
Thơ caToute une vie de poésie ou toute une poésie de la vie : c'est vous qui voyez ! Poésie - De Loeuw Jonathan