Les croisés sans route...

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L'amertume à froides vagues

Descend tous nos zéniths,

Rend la bêtise bègue,

Rend des biles inédites.


Quand les hommes aux grandes mains,

Dans la fange, se créent un fort,

De leurs bouches plus grandes encore,

Se font un chœur de Rikicains :


Ils entonnent alors à grandes orgues

Des pléthores d'idées hautes,

Et c'est d'une insolente morgue

Qu'ils piétinent partout se commettre en des fautes.


Ils voudraient mettre le monde en civière

Mais les lapins sont tirés et se carrent à quatre pattes,

Et la Terre est noyée dans la bière...

Les montagnes sacrées sont devenues plates...


Aubes et crépuscules 1/4Où les histoires vivent. Découvrez maintenant