Les polys trinquent...

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Le peuple en débandade pleure et crie et se cache

Et l'éléphant borné, ses oreilles en œillères,

Livre aux puissants négriers ceux qu'il trompe et arrache,

Ses amis, ses possibles, tant ses filles que ses mères.


Le Pen hisse ses bannières

Dans le sang de nos frères,

Le peuple en chie et raque,

Et j'ose pas là ma traque...


La police sans foi a perdu tout son cœur

Dans les luttes intestines qui embrasent leur cerveau

Et le peuple sans droits perd sans cesse son ardeur :

Il constate sa ruine et s'accroche aux lambeaux.


J'ose pas, fuis et me noie ;

J'entretiens mes nécroses ;

Et je pleure sous la croix

Le cadavre d'une rose.


Aubes et crépuscules 1/4Où les histoires vivent. Découvrez maintenant