Sans cœur TERMINÉ

Chapitre 8

Moi : Tu t'es imaginé quoi ?

Hugo : - Que tu t'es fait violer.
- Que tu te sois perdu.
- Que tu ne reviens jamais.
- Que tu sois morte.
- Que tu te sois fait enlevée par un gang.
- Et que Lucas t'es retrouvé.

Moi : Rien que ça, je suis déçu, dis-je en rigolant

Hugo : C'est pas marrant !

Moi : Ok, Ok...

...: Qui est Lucas ? Pourquoi il te retrouverait ?

Quelqu'un nous a écoutés pendant qu'on parler et merde ?!

Je me retourne et vis... Alex.
Mais qu'est qu'il fait là lui ? toujours à traîner son nez ou il faut pas !

Moi : Qu'est que tu fais là ?

Alex : On ta jamais dit que c'est mal poli de répondre à une question par une question ?
Donc répond à ma question.
Pourquoi un certain Lucas voudrait-il te retrouver ?

Je regarde mon frère et secoue la tête pour lui dire que non, non, je dirai rien.

Moi : Ces personne, ça ne te regarde pas, ok ?

Alex : C'était juste une question.

~PDV d'Alex~

Je pars dans la cuisine pour réfléchir...

Je n'insiste pas parce qu'elle me dira rien, mais je sais qu'elle me cache quelque chose.
En réfléchissant bien avant d'accepter la fusion de nos gangs, elle a dit qu'elle voulait se venger, se venger des Bloods dont le chef est Lucas.
C'est de ce Lucas qu'elle parle ? Pourquoi voudrait-il la retrouver ?
Toujours des question et encore des question avec cette meuf...

~PDV d'Allison~

Je pense qu'il va réussir à faire le lien, à part s'il est vraiment très idiot, ce qui est peut être le cas, sa me choquerais pas.

Hugo : On va devoir, lui dire, leur dire.

Moi : Oui mais pas maintenant, on n'est pas censé leur faire confiance !

Hugo : Trop tard.

Moi : Pourquoi ?

Hugo : Tu crois que je n'ai pas vue comment tu le regarde, je te connais par cœur, tu es comme un double de moi, je sais qu'il te plaît ?!

Moi : Hugo, tu es un double de moi, mais au masculin. Il ne me plaît pas !

Hugo : Tu n'as pas à me mentir a moi ?!

Moi : Je ne te mens pas, si tu lui mens.

Hugo : Tu m'en parlera quand t'auras envie...

Moi : Tu veux que je te parle de quoi si il a rien du tout, mais de toute façon je ne parle pas de ce genre de chose.

Hugo : Je comprends, vue ce que t'as vécu et je mens veux de ne pas l'avoir vue, de ne pas t'avoir protégé ! Dit-il en commençant à s'agiter.

Moi : Je t'es déjà dit que ce n'est pas de ta faute, Ok ?

Hugo : Oui mais ...

Moi : Il n'y a pas de, mais, ce n'est pas de ta faute, il me frapper à des endroits non-visible.

Hugo : Ok, mais excuse moi de ne pas avoir était là !

Moi : Ce n'est rien. C'est du passé. Oubli !