Chapitre dixième.

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  La douche le meilleure amie de la femme ! Surtout après le sport

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La douche le meilleure amie de la femme ! Surtout après le sport. Mais quelle bonne idée d'avoir crée ce dispositif après le sport, et quelle chance aussi de pouvoir en profiter. L'un des bon côté à fréquenté une « high school » américaine c'était bien cette chance d'avoir le privilège d'être lâché plutôt et ce temps servait en général à profiter d'une douche alors que dans d'autres pays ce n'était pas vraiment le cas...  Enfin, le petit plus c'est quand même qu'ici on était séparé par des petits murets rendant un peu impossible d'épier sa voisine dans les moindres détails, merci mon dieu. J'avais une telle honte de mon corps que me sentir fixé par ces demoiselles me serrait insupportable.             Je finis par délaisser cette merveille pour aller me sécher et m'habiller, après tout je devais rejoindre les gars. Tout en enfilant mon tee-shirt, j'espérais qu'ils m'avaient attendu. Je me dépêchais de réajuster ma coiffure et sortie du gymnase là où un coup de soleil m'aveugla un cours moment. Je baissai illico les yeux, premièrement parce que j'ai beau ne pas être humaine c'est tout de même désagréable et deuxièmement car les UV avaient tendance à faire bleuir de façon un peu trop fluorescente pour que ça ne soit naturel. C'était dû à notre sang spécial ...Oui je sais bien que c'est une caractéristique qui semble plus extraterrestre que sorcière et pourtant c'était bel et bien le cas. De toute façon si tous mes dons ressemblaient à ce qui était écris dans les bouquins traitant de mon sujet ça ne serrait pas marrant ! Les gars qui m'attendaient sagement devant les portes ne remarquèrent nullement cette différence de teinte dans mes iris ce qui me soulagea.-        On attend Seth et Embry encore, m'informa un blondinet             Quel était son prénom déjà ? Bonne question ! Il me semble que ça commençait par un « b », peut être Benji ? Non lui c'était le beau châtain aux yeux clairs et aux fossettes qui lui donnait un petit air un peu enfantin tellement craquant. Oui je préfère un visage un peu enfantin, c'est à dire plus charmant qu'un gars qui fait rustre comme on en trouve devant les portes d'un quelconque lieu défendu aux touristes égarés.             J'étais toujours en train de chercher son prénom, d'ailleurs j'hésitais entre Brandon et Brian, j'étais sure et certaine d'avoir entendu « an » ou « en » dans le nom. Mais quelle sonorité était la bonne ? Sachant l'erreur possible j'oubliais l'idée de remercier le jeune homme par son prénom qui me restait malheureusement inaccessible de cette délicate information. Je soupirais et moi qui me vantais de ma mémoire impressionnante, de quoi avais-je l'air ?             Les deux indiens sortir finalement du gymnase, le sourire aux lèvres et apparemment à mon apparition il ne s'effaça pas, est ce que depuis le dîner j'étais mieux vu par les Quileutes ?-       Bon on y va ? On a faim nous ! Plaisanta Embry-     Et bien il fallait aller plus vite pour sortir ! Lui répondit l'un des gars du groupe sur le même ton de la plaisanterie.-       Pire qu'une fille ! Renchérit un autre à mon intention, j'en souris             Le fait que je ne me sois pas autant attardée que ces autres personnes de mon sexe semblait avoir joué en ma faveur. En même temps j'avoue que j'avais fait au plus vite pour ne pas faire attendre tout le monde, mais à présent je voyais que si j'étais restée quelques minutes de plus ça n'aurait pas été très gênant. Mais bon, mon empressement n'étais pas totalement du au souhait de ne pas faire attendre ces jeunes gens mais à celui de ne pas vouloir trainer avec des filles qui me semblaient, excusez d'ailleurs l'expression vulgaire, toutes plus connes les unes que les autres.             Ils partirent en direction de la cafétéria, je les suivis. Sur le chemin nous croisâmes un groupe de filles qui s'ajouta au notre. Elles étaient vraiment sociables, l'une des leur vient vers moi directement pour faire connaissance. Au départ je fus impressionnée de cette confiance en soi et, personnellement, j'aurais préféré qu'elle m'ignore. Elle me demanda mon prénom, se présenta, me posa quelques questions, au fur et à mesure elle m'inclua dans son groupe. Cyrielle, c'était son prénom m'expliqua qu'elle était à demi-polonaise et à demi-russe. Et bien, je ne pensais pas que l'ex URSS avait déménagé en Amérique. Comme elle voulait qu'on se connaisse mieux elle me demanda mon numéro, étrangement je fus heureuse de cette initiative. En faite je ne pense pas que j'aurais eu la franchise de lui proposer qu'on se l'échange de moi même.            Assise, elle programma une fête qui aurait lieu ce weekend end et invita toute la tablée à venir. Celle-ci fut pour le moins ravie du prochain événement et je sus que la demoiselle était connue pour ses soirées très réussies et par la même occasion très arrosées, comme si de nos jours l'un n'allait jamais sans l'autre. Tout comme le reste, je fus invitée ce qui me réjouie et de tout cœur je souhaitais m'y rendre. Sortir un peu et voir du peuple ne me ferrai pas de mal. Bon, allez au lycée répondait très bien à ce désir mais ce n'était pas la même chose que de fêter sa jeunesse avec des gens. Pour ma part une jeunesse éternelle...             Le soir venu, Seth ne me laissa pas l'opportunité de lui fausser compagnie. Il est vrai que je n'aurai pas craché sur le fait de pouvoir, tout comme ce matin, exécuter le trajet seule, cependant il fallait voir les bons côtés à ce qu'il m'accompagna. En effet je pourrais aisément le travailler pour qu'il m'autorise à participer à cette soirée auquel de nombreuses personnes semblaient être conviées. Et tout en me disant ça je pensais au faite que j'étais tout simplement pitoyable. Franchement mais depuis quand je devais demandé pour sortir ? J'avais l'impression d'être retournée à l'époque où une fille ne pouvait sortir sans l'accord de son père et par la suite de son mari, franchement je détestais ça ! Je sus cependant que je n'avais guère le choix depuis qu'un cadavre avait atterri mystérieusement dans mon salon et que par la même occasion des loups garous associés à des vampires s'en étaient aperçus. Merci au Sherlock de l'équipe d'ailleurs ! J'en grognais, dès que je découvrirais celui qui avait eu l'idée pertinente de venir chez moi à ce moment précis je lui ferais mangé ses poils un par un.-        Penses-tu que j'ai été assez sage aujourd'hui ? Lui demandais-je             Apparemment, il sut immédiatement au son de ma voix, que je pensais pourtant être neutre, que cette question n'était pas anodine et cachait autre chose. Il m'arrêta et se plaça devant moi pour que je lui fasse face :-     Comment ça ? Que veux-tu dire ? Dit-il avec un semblant de bégaiement qui ne lui ressemblait pas.-        Je voudrais juste savoir si j'ai été assez sage, à ton avis ?Il médita ma question  pesant profondément le pour et le contre de sa réponse.-        Ça dépend pourquoi tu me demandes ça ? Finit-il enfin par dire sans pour autant donner de réponse claire.-        Je me demandais si je pouvais espérer à plus de liberté ... Lui révélais-jeDe nouveau sur la défensive il me regarda à mi-chemin entre l'inquiétude et la curiosité :-        C'est à dire ?             Mal à l'aise d'être debout devant lui sous son regard d'acier qui ne cessait de me fixer, je me mis en tête de bouger. Sans être aucunement en position de prédatrice je me mis à tourner autour de lui.-        Est- ce que je pourrais sortir, pour me rendre à la fête de Cyrielle par exemple ? Eludais-jeJe me demandais s'il allait accepter.-        Je n'en sais rien ... sûrement s'il y a un membre de la meute pour te surveiller.             Et là colère, celle qui se contenait depuis le début de cette conversation augmenta encore. Heureusement pour lui, il se retient d'ajouter quoi que ce soit. Certes j'avais obtenue en quelques sortes la victoire, bien que minuscule elle était chère. Me faire entendre que j'étais encore cette fille dangereuse qu'ils ne pouvaient s'empêcher de surveiller de peur que je crée la troisième guerre mondiale. Alors que leur copains les vampires pouvaient librement circuler parmi les humains comme s'il s'agissait de créature inoffensive  La confiance règne ! Fulminais je intérieurement. Je pensais que depuis le dîner leur méfiance à mon égard avait baissé et qu'ils avaient appris à me connaître. Apparemment je faisais fausse route...             De plus j'étais sure que ça allait être un bon gars chiant qui me surveillerait comme l'autre boulet de Paul. Pire ! Ils pourraient me confier à un vampire. Je sais bien qu'il avait dit une personne de la meute, mais entre nous les Quileutes et les Cullen semblaient si proches qu'ils pourraient bien faire partie de la même « meute ». Bon j'allais peut être loin, non c'est sur, dans mes théories mais on n'est jamais assez fou.             Nous nous remîmes en route, notre direction ? La maisonnette de l'alpha pour lui poser la question à propos de la fête et ensuite je pourrais m'étaler de tout mon long sur mon lit, qui me manquait terriblement lorsque j'avais sommeil comme en ce moment. Nous marchâmes en silence, un silence non pas pesant mais étrange et bizarrement. De ma part, c'était normal, si j'ouvrais la bouche je risquais d'hurler ma rage mais de la part de l'indien, c'était plus inhabituel. J'avais l'impression que Seth me cachait quelque chose ou plutôt serrait-il plus juste de dire que je ne savais pas tout. Depuis qu'il était parti pour sa petite virée dans les bois avec son chef, bien avant le repas. De quoi avaient-ils bien pu discuter pendant tout ce temps ?             En repensant à ce moment me revient en souvenir quelques heures plus tard le dîner que j'avais confectionné de toute pièce avec Seth pour ses amis. Ce repas, sous un jour nouveau, me paraissait lui aussi bien étrange. Franchement quelques jours plutôt la meute me détestait,  exemple bien démonstratif ? Mon tour en cage où c'est limite s'ils ne m'auraient pas sauté dessus pour enlever « la menace » que j'étais à leur yeux. Je me rappelle parfaitement leur regard emplis de haine à mon égard. Je crois même que, si plus tôt il n'y avais pas eu de quoi contenter leur appétit glouton, je me serrais retrouvée en mode barbecue au dessus d'un feu. Et pourtant, les mêmes, en arrivant n'avaient aucun apriori, me souriant comme si nous étions des amis depuis un petit moment déjà, avec leur tenue déjà préparée du Dimanche. Qu'est ce qui avait bien put les faire changer aussi radicalement ? Les Volturis ? J'espère bien que non et pourtant c'était l'une de mes hypothèses les plus réalistes. Qu'est ce que je devais donc faire ? Poser la question à Seth ? En pensant qu'il allait me répondre honnêtement, tout en abandonnant sans problème les siens ? Quelle idiote je pouvais faire ! Même si je le voyais mal me mentir, je ne pense pas le connaître assez mais je crois qu'il préfèrerait me faire ce qu'on appellerait aujourd'hui un vent. Finalement venant de lui je n'étais plus sûre de rien...             Qu'il est dur de se dire qu'on ne peut s'attacher à rien sur cette Terre, que sur soi-même, et encore, pour ne jamais se faire trahir.  N'est ce pas en soi assez inhumain de savoir qu'en fin de compte on est seul ? Cette une vérité, bien qu'immuable, difficile à accepter alors on fait tout pour la contredire. L'Homme déteste la solitude qu'il a crée et pour autant il fait tout son possible pour ne jamais la détruire. Elle est comme un feu qu'il ravit toujours un peu plus chaque jour.             Je ruminais encore une fois devant chez Sam et je me refusais littéralement à rentrer m'abriter chez lui. Mais, je me contenais aussi de lui montrer mon mécontentement, face à tant de cachotteries, après tout si on était devant lui et sa femme ce n'était que pour moi alors évitons de faire notre gamine. Ils n'échangèrent pas beaucoup de mot, on aurait dit de façon inexplicable qu'ils se parlaient à travers leur regard ou c'est que je n'avais rien suivi à l'échange encore tempérante de colère à leur égard. Sachant que les deux possibilités étaient plausibles.             Ce n'est après s'être dit au revoir et ce de façon un peu trop froide venant de ma part, que j'eu le droit de savoir si oui ou non je pourrait me rendre à cette fête.             Tout en repensant à ce comportement d'obéissance je me demandais si j'avais vraiment le choix ? Un gardien loup-garou de prestance pour le moins imposante soutenu par toute une meute de la même carrure sans oublier ces satanés vampire vous dissuadaient vite de faire votre rebelle et pourtant ce n'est pas faute d'avoir un tempérament de feu. A la soirée aussi ils allaient m'empêcher de m'amuser ? Je n'avais aucun libre arbitre et je m'en indignais.             Seth, ou plutôt l'autre, et bien oui ils me dénaturaient me rendant aussi docile qu'une poupée, j'allais en faire de même avec eux, se rendit compte de mon changement d'humeur. Il était d'ailleurs plutôt lent ça faisait un bon moment que ma colère augmentait. A ce moment nous entrions dans ma demeure sur le papier mais notre, à mon plus grand désespoir, dans la réalité.             Un fois à l'intérieur, je balançais mon sac sans gêne dans le corridor, s'en fut de même pour ma veste qui valsa jusqu'au canapé, frôlant dangereusement la lampe qui était à côté.-        Fais gaffe ! Ne put s'empêcher de me rappeler Seth.Sa remarque ne fit qu'un tour à vrai dire n'importe quoi sortie de sa bouche aurait été mal pris :-        Tais-toi, c'est ma maison !  Ne m'empêchais-je de lui hurler.-    Même ce n'est pas une raison ! Me répliqua-t-il immédiatement sur le même ton bien qu'étonner de ma soudaine colère.-        Si, une bonne alors ferme là le clebs ! Vociférais-je méchamment.             Sur le coup, je n'avais pas réfléchis, je n'avais pas calculer la porté de mes paroles, de ses mots qui sortirent de ma bouche avec un telle méchanceté. J'étais juste énervée et on sait bien que ça peut mener loin.  Est ce que seulement je le pensais lorsque je lui est crier cette horreur à la figure ? Je ne me souviens pas ou plutôt je ne veux pas me souvenir de peur d'être déçue par mon propre comportement.-        Mais qu'est ce qui te prend à la fin ? Je sentais bien qu'il était blessé et en colère par ce que je venais de lui jeter.             Il n'aimait pas qu'on lui rappelle ce qu'il était devenu. Ca le mettait or de lui.-        J'en ai marre que tu sois là ! Tu me suis comme un chien mais va retourner voir ton maitre et dis lui que jamais tu ne découvriras ce que je suis donc lâchez moi, dégagez !             Mais pourquoi je continuais ? Là non plus je ne m'étais pas stoppée à temps. Ce fut, la goutte d'eau qui fit déborder le vase. La patience dont il avait fait preuve jusqu'à maintenant s'évapora. Je sentis sa colère et c'est avec grand mal qu'il ne se transforma pas en un loup gigantesque, ce qui aurait détruit le salon. Cependant, il ne put s'empêcher de me bondir dessus et de me plaquer brutalement contre l'un des murs. Il me bloquait de son corps, une fureur monstre habitait ses yeux qu'il plongea dans les miens. Seth, n'était pas que gentil...             Dire que j'avais peur serrait encore bien loin de la vérité, j'étais réellement terrorisée devant ce qu'était devenu Seth. A cet instant il n'était rien de moins qu'un redoutable prédateur et jamais je n'avais été confronté à ce genre d'ennemie.             Qu'est ce qu'il m'avait pris ? Voilà une bonne question mais je ne me l'étais pas posée à l'époque. Malgré mon infériorité je ne baissai pas les yeux. Quel courage avais-je eu en ce moment ou bien était-ce seulement ma bêtise qui me donnait des ailes ?             Seth était toujours là devant moi et n'avait vraiment pas l'intention de bouger enfin de ce que j'en voyais.-        Alors comme ça tu as entendu notre conversation, mais qu'est ce que tu es ? Me demanda d'une voix rauque de rage que je ne lui connaissais pas.             Je ne souhaitais que tout lui révéler, à ce moment, pour partir, pour fuir cet homme qui me faisait peur mais, là encore, quelque chose en moi refusa de dire quoi que ce soit. Une force, ou plutôt une folie, qui se pensait même en ce moment supérieur à l'indien. Cette inconscience, se manifesta sous la forme d'une petite voix qui me susurra que je ne lui devais rien. -        Dégage clébard ! Ordonnais-je d'une voix de défis, montrant clairement que malgré ma peur je ne m'abaisserais pas. Etais-je démente ?             Ce surnom ne lui plu vraiment pas et son poing déjà serré par la colère s'abattit juste à côté de ma tête. Le mouvement effectué avec une telle force perça un troue dans le dit mur tout en faisant voler le plâtre  un peu partout.             Les yeux troublés par cette poudre blanche je compris enfin que je n'étais pas en position de force car je n'aurais rien pu faire pour empêcher son poignet d'atterrir sur mon visage au lieu de défoncer le mur. Non rien, qu'importe mon âge, mes pouvoirs, ma jeunesse j'étais faible. Oui moi, une sorcière de pur lignage se trouvait faible par rapport à ce loup. Mon visage se décomposa, mais qu'est ce que je cherchais à la fin ? Je voulais vraiment me faire tuer ? J'en avais bien l'impression. Mes yeux me piquaient mais je ne voulais pas pleurer, pas devant lui.  Seulement il n'était pas dupe, il le vit bien et tout comme pour moi la réaction fut violente. Sa colère s'évanouit de son regard pour faire part à de la culpabilité, l'ancien Seth, celui que j'aimais, était de retours.-        Oh non Mary, je suis désolé, je ne voulais pas, se perdait-il dans ses excuses.             Je ne les écoutais pas, ses yeux simplement parlaient pour lui. Mais je ne voulais pas de son regret, je souhaitais juste disparaître, me faire aussi petite qu'une souris. Il me libéra de sa présence et je marcha, non, je courus jusqu'au refuge de ma chambre. Je n'aspirais qu'à ça : me sentir seule loin de lui, loin de ce qui venait de ce passé, oublié et ne plus pleurer. Il ne me suivit pas, il continuait de regarder son poing qu'il avait abattu, pas loin de moi il y a quelques instants, il tremblait et son regard n'exprimait que du dégout pour son avant bras. Je crois, je n'en sais rien car j'étais déjà partie.             Comme on se sent mal dans ces cas là, comme on se sent ridicule de pleurer comme ça devant une personne qui ne connaît pas nos faiblesses. Je n'aime pas être faible, je n'aime pas qu'on me voie ainsi tremblante de peur les yeux brillants. Je me rendais enfin compte que face à lui je n'étais rien ni courageuse, ni forte j'étais juste moi, une simple fille prisonnière. Mon égo en pris un coup.

Salem.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant