Salem.

Chapitre quatorzième.

Notre baiser nous emmena vers la porte. Il me plaqua contre cette dernière, sans me faire mal, ou du moins, avec ce désir ardent, je ne ressentie pas le choc. Il me pressait contre lui mais à son goût je n'étais jamais assez proche, alors il me souleva. Mes jambes encerclèrent sa taille sans qu'il n'eu besoin de me le dire. Je sentais sa virilité se dresser et je n'osais regarder vers le bas. Changeant de position, il passa un bras sous mes cuisses et l'autre tenant mon dos, telle une princesse il me porta jusqu'à ma chambre où il me déposa sur le lit. Au dessus de moi, il enleva un de mes vêtements, puis un deuxième. J'étais en sous-vêtement devant lui, devant cet homme qui me donnait envie, cette indien qui m'hypnotisait. Je ne savais que faire, continuer cet échange ou bien tout arrêter. Il m'était difficile d'imaginer que c'était la première fois, depuis plus de trois siècles, qu'un homme me donnait envie de le faire, de me donner à lui. C'était quelque chose de difficile à imaginer lorsqu'on savait à quel point j'avais pu être traumatisée de ce côté là. Il retira délicatement mon sous-tif. Il s'arrêta de m'embrasser pour regarder mon buste nu et d'un coup cela me gêna horriblement. Dans le feu de l'action on ne se rend pas compte de ce qu'il se passe, seules les sensations sont maitresses mais lorsqu'on laisse un cours instant notre esprit reprendre un peu de pouvoir alors on remarque enfin ce qu'on est en train de faire. Sans pour autant me rétracter, j'eu un mouvement instinctif de me couvrir la poitrine. Il remonta son regard vers mes yeux et me demanda de la manière la plus sérieuse possible si je voulais arrêter. Je savais que j'avais encore le temps de tout arrêter, mais je ne le voulais pas, je voulais continuer, franchir ce pas avec lui et seulement avec cet indien. Je secouais la tête, non je voulais continuer.

-       Dans ce cas laisse moi faire, dit-il avant de joindre l'acte à la parole.

                  Il écarta mes bras de la poitrine et glissa sa bouche vers la naissance de mes seins. Il les embrassa avant de les titiller en mordant le bout, ce qui me fit pousser un gémissement. Sous ce nouveau traitement ils se gonflèrent, s'allongèrent de plaisir. Il ne s'intéressa pas seulement à ma poitrine, mais à la moindre parcelle de mon corps, il le caressait, l'embrassait, le léchait dans une telle langueur que ça en devenait érotique. Je me sentais transporter sur un autre monde, un monde de plaisir charnel. Tel un chercheur il voulu explorer d'autre partie de mon corps. Descendant, vers ce que je portais en bas il fit délicatement glisser le seul tissu qui me permettait d'être habillée. Dorénavant j'étais nue devant cet homme et lorsqu'il avait fait glisser mon bas, en s'écartant un peu de moi, j'avais pu voir à quel point je lui faisait de l'effet. La taille de son engin dépassait ce que j'avais déjà vu auparavant et je déglutis en pensant où cela irait. J'avais peur que cela me fasse mal, comme ça me l'avait toujours fait. Il suivit mon regard bloqué sur sa virilité et sourit, fierté masculine.

-       C'est gros, déglutis-je mal à l'aise d'un coup.
-       Ne t'inquiète pas, tout ira bien, tu n'auras pas mal, je te le promet, m'expliqua-t-il doucement, essayant de me rassurer.

                  Une fois nos deux corps à nue, je l'approchais de moi, pour oublier la chose gigantesque qu'il avait entre les jambes. Je caressais son torse, me redressant pour l'embrasser, il s'approcha encore de moi et je senti sa virilité touché ma cuisse. Sa bouche quitta mes lèvres pour descendre le long de mon coup, chatouillant ce dernier dans une exquise sensation, puis il descendit vers ma poitrine. Il prit un sein entre ses mains pendant qu'il embrassait l'autre, roulant le téton du premier entre son index et son pouce en le pinçant légèrement alors qu'il mordillait le second. Ces deux sensations simultanées me procurèrent un frisson de bien-être puis tout en gardant l'un de mes seins dans sa main, la deuxième descendit jusqu'à mon pubis. Il y inséra un doigt, cette entrée me fit gémir son nom. Son doigt faisait des cercles en moi tendit que sa bouche, qui avait quitté ma poitrine, revint vers mes lèvres sur lesquelles il s'écrasa tendit que son index rejoignait son majeur en moi. Je gémis entre ses lèvres et bizarrement j'en voulais plus, plus gros, plus de sensations. Mais je ne dis rien, il savait ce qu'il faisait et je le laissais me faire de bien. Pourtant mon corps ne restait pas passif, gonfler de désir mes hanches commencèrent à rouler pour que ses doigts ai plus profond en moi. Il introduisit son annuaire et mon corps réagit instantanément. Ma respiration était haletante. Je le sentis jouer avec mon clitoris et la boule qui s'était formée dans mon ventre commence à grossir à monter. Il retira ses doigts en moi. Je grognais. Il rigola à cette réaction puis sérieusement il me regarda, plongea ses yeux charbons aux plus profonds des miens.