Chapitre vingt-et-unième. [part. 2]

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Il faisait sombre, c'était la nuit. De toute manière, il m'était interdit de sortir en journée. Dans ce pays il y avait vraiment trop de soleil pour que je puisse profiter d'une ballade en plein jours. Comment faisaient les autres ? Mais au moins je pouvais profiter de la chasse. Et ce soir, c'était l'une de ces soirées tant attendues où l'on avait l'autorisation de dîner dehors. Parfois, j'avais l'impression d'être domestiquée, toujours à ses côtés. Il avait tellement peur de la mort, il voulait tout le temps être escorté, protégé. J'étais son armure, d'autres étaient ses armes, à croire qu'il n'était même plus capable de se battre. Il était faible mais il était mon maitre.               Je continuais de marcher en essayant de m'égayer les idées. Ce n'était pas bon de penser au boulot pendant son temps de repos. J'atteignis une place, malgré l'heure tardive c'était encore bien trop fréquenté. Quand il y avait du monde, comme maintenant, ma marge de manœuvre était considérablement réduite et je détestais ça. Il fallait toujours être discrète, extrêmement prudente et surtout il m'était interdit de laisser des témoins.               Je bifurquais dans une petite rue qui me semblait moins surchargée, mais c'était toujours trop pour ce que je prévoyais de faire. J'étais impatiente de commencer et j'étais en train de trépignée d'excitation lorsque, tout à coup, une odeur alléchante effleura mes narines. C'est bon, ça pouvait commencer. Je me retournais et cherchais d'où pouvait provenir cette agréable fragrance où plutôt de qui elle pouvait provenir. Mon odorat développé m'aida à la localiser, j'avais enfin ma proie. C'était une jeune femme brune. En fait, j'en avais rien à faire qu'elle soit brune ou blonde, petite ou bien grande, seul son sang m'intéressait. C'est quand même étrange, des années que je chassais, j'aurais dû avoir l'habitude du sang et pourtant à chaque fois je replongeais. Une seule goutte et je partais. J'étais obnubilée, toute mes pensées étaient tournées vers ce liquide rouge. Ma gorge me brûlait, il lui en fallait, il m'en fallait. Un drogue ? C'était bien plus puissant que ça, ça nous rendait fous, cruels, sanguinaires. On perdait les pédales tellement l'idée d'avoir ce liquide coulant le long de nos canines était jouissif. Toutes les particules de mon corps semblaient m'électriser, j'étais excitée, bien plus que lors de mes ébats. C'était différent mais surtout, c'était meilleur. Le sang, il n'y a que ça de vrai.               Je suivais la fille, discrètement, elle ne sentait même pas ma présence. L'instinct des hommes est tellement inexistant. Je continuais de la suivre, arpentant les mêmes ruelles qu'elle. J'étais en veine ce soir, elle était seule et semblait emprunter des chemins de plus en plus désert, vidé de ses congénères. Je commençais à bien l'aimer. Savoir que j'étais derrière elle, prête à lui bondir dessus, et qu'elle ne s'en doutait même pas, me donnait tellement de pouvoir. Que c'était excitant ! J'avais hâte de planter mes crocs dans sa chair tendre. Je sentais que le moment était arrivé, il n'y avait personne autour de nous. Enfin seule avec ma proie. Je vérifiais une dernière fois, cette ruelle faiblement éclairée d'un pauvre lampadaire était bien déserte.               Je voulais faire monter la peur chez cette femme. Plaisir personnel, ça ne changeait rien pour le goût mais c'était pour moi, j'aimais les effrayer avant de leur sauter dessus. Je fis exprès de signaler ma présence par des bruits de pas. Elle se retourna peu confiante et commença à marcher plus vite. J'explosais alors l'ampoule du lampadaire, le bruit des éclats de verre qui tombent au sol la firent sursauter. Elle tremblait, elle savait que quelqu'un était là. Enfin !-       Il y a quelqu'un ? Demanda-t-elle, la voix tremblante.               Elle fit un tour sur elle même, tentant de voir qui la suivait. Bien évidemment, je ne répondis pas. Au lieu, je m'approchais furtivement de ma proie, effleurant ses cheveux. Elle était tétanisée. Il était temps de clore ce petit jeu. Maintenant qu'elle avait peur, je ne m'amusais plus. Je me plantais devant elle, elle hurla en découvrant mes pupilles. J'abrégeais son cris en plantant mes canines dans sa chair, enfin. Elle était telle que je l'avais imaginée, tendre, fraîche et légèrement élastique. J'aime les jeunes. Je me perdis totalement dans cette extase. Il était impossible de décrire parfaitement le plaisir qu'on prend quand on se délecte de leur sang. C'est si puissant qu'on oublie tout ce qui nous entoure. On se perd dans ce plaisir bien plus grand encore que l'est celui qu'on appelle charnelle. Non il n'y avait rien de pareil. Puis on revient lentement à la réalité et on se rend compte qu'il y a un cadavre poisseux dans nos bras.               Je lâchais le corps sans vie et regardais autour de moi. Il y avait quelqu'un. Il s'agissait d'une femme aux cheveux blonds vénitiens. Elle me fixait de ses yeux verts olives. Il y avait quelque chose d'étrange chez cette femme, je n'arrivais pas à la sentir. Je me relevais prestement et je lui fis face. Je ne savais pas qui elle était, mais elle semblait avoir assisté à la scène, devenant par la même occasion témoin de mon acte et aucun témoin n'était toléré. Elle allait mourir. Je m'apprêtais à lui sauter à la gorge quand elle leva la main vers moi. D'un coup, je commençais à me sentir étrange, pire qu'étrange, j'avais mal, j'avais l'impressions que chacune des molécules qui constituaient mon corps étaient en train de se séparer, de se dissoudre sous un acide dont je ne connaissais pas la formule. Je me pliais en deux puis, finalement, tombais par terre sous les assauts de la douleur. J'avais mal, trop mal, c'était pire que le bûcher de Jane. Je sentais que ça se concentrait sur mon bras. Je le regardais en pensant le voir brûler avec des milliers d'épines qui le transpercent mais au lieu de ça il se désagrégea sous mes yeux en un nuage de poussière blanche. Puis, ce fut le tour de mon autre bras. Un à un, tous mes membres allaient y passer. J'avais peur, j'avais mal, j'hurlais.               J'hurlais et je me réveillais en sursaut. Qu'est-ce que c'était que ce rêve ? Non, ce cauchemar ! J'avais l'impression d'y être, j'avais cette horrible douleur qui traversait mon corps. Mais contrairement à cette femme, le mien n'avait pas exploser, pour ne laisser qu'une poudre blanchâtre et légèrement scintillante. Ses yeux lorsqu'elle poussa son dernier hurlement avant de finir comme son bras me fit frissonner. Quelle mort horrible.                Seth qui était à mes côtés me prit dans ses bras.-       Ça va ? Tu as fais un cauchemar ? Me demanda-t-il inquiet.               J'hochais la tête encore toute tremblante de ce que je venais de voir, je dirais même, de vivre.-       Ça recommence ? S'inquiéta-t-il encore plus.               Je savais à quoi il faisait référence, il pensait à ces nuits où j'étais malade, quand il m'était impossible de dormir sans faire un cauchemar dans mon sommeil à propos de Kérian, toujours à propos de lui. Mais ce mauvais rêve était très différent. Ce n'était pas Kérian que j'avais vu mais une sorcière comme moi. J'en étais persuadée, dans la peau de cette vampire je n'avais senti aucune odeur se dégageant de sa personne et elle avait cette sorte d'aura. C'était une de mes sœurs, mais pourquoi avait-elle tué ? Surtout de cette manière. Tuer, tout simplement tuer n'était pas dans notre nature mais tuer d'une manière aussi cruelle, je ne comprenais pas. Les sorcières sont créées à partir de la brutalité des humains, pas des vampires ! Même si on n'aime pas cette espèce, on ne les attaque pas, on se défend juste. Là, cette sorcière qui semblait âgée, avait suivi la femme-vampire tout le long de sa chasse dans l'unique but de la tuer. Je n'avais jusqu'à présent jamais vu ce comportement chez une sorcière.-       Qu'est-ce qui se passe Mary ? Me demanda-t-il en me sortant de ma réflexion.               Je ne pouvais pas lui dire.-       Rien, mentis-je pour nous couvrir.-       Tu veux me raconter ? Proposa-t-il.-       Non, répondis-je distraitement.-       T'es sûre ? Continua-t-il inquisiteur.               Il commençait à me taper sur les nerfs.-       Oui monsieur ! Fini-je par m'exclamer énergique.               Il sourit et me caressa les cheveux. Non, je n'avais pas envie de te raconter Seth, je ne voulais surtout pas te raconter. Et qu'est-ce que je pouvais te raconter ? Moi même je n'étais pas sûre de ce que je venais de voir. Une sorcière chasseuse de vampire ? Sérieusement ? Ce n'était pas possible ! Qu'une sorcière souhaite tuer ceux qui l'ont transformé, oui, c'était compréhensible, mais dans notre sang il y avait ce quelque chose qui finalement nous empêchait de les tuer dans d'horrible souffrance. Mais pourquoi une sorcière voudrait tuer un vampire ? Je n'arrêtais pas de me poser cette question encore et encore car un vampire ne sentait pas une sorcière et donc ne pouvait pas vouloir la dévorer pour son sang. En général il ne voyait même pas l'intérêt de tuer une personne qu'il ne pouvait sentir et donc distinguer. Est-ce que ça pouvait être personnel ? Par exemple, pensais-je, si le vampire en question avait tué des êtres mortels qui lui étaient chers ? Possible concluais-je. Puis je me repassais la scène, et je sentis que ce n'était pas quelque chose de personnel. Il n'y avait aucune haine. C'était une exécution, une exécution certes monstrueuse, mais une simple mise à mort, il n'y avait aucune rancœur. Après tout, s'il y en avait eu, ça mort aurait été plus lente.               J'essayais de penser à autre chose-       Arrête d'y penser, me sermonna gentiment Seth.-       Mais quoi ? M'exclamais-je-       Je veux que tu penses à autre chose qu'à un cauchemar, dit-il avec une idée derrière la tête.-       Et comme quoi ?               Il ne répondit rien et commença à m'embrasser. Je lui rendis son baiser.Cela faisait maintenant une dizaine de jour, je crois, que Seth m'avait guérie et pendant cette période on avait passé notre temps au lit. Parfois, on sortait de dessous la couette pour se ravitailler, on parlait, bien sûr ou encore on regardait un film collé l'un à l'autre. Mais, il faut avouer, que le plus clair de notre temps, on le passait à salir les draps.               Il commença à m'embrasser le cou pour descendre vers mes clavicules quand soudainement il s'interrompis.-       Oh non, murmura-t-il avec une pointe de désenchantement.               Je le regardais surprise, qu'est-ce qu'il se passait.-       Tu va me tuer, finit-il par dire avec résolution.-       Quoi ? Pourquoi ? M'exclamais-je, ne comprenant rien à ses réactions.               La réponse fut très rapide à arriver. Un gars de la meute à Seth débarqua sans gêne chercher mon indien. Oui il débarqua dans la chambre, sans toquer.-       Qu'est ce que tu fous ici Jacob ? Demanda le Quileute, pour le moins mécontent, à son ami et accessoirement collègue de meute.-       On a besoin de toi.               Pendant ce temps, j'essayais de me cacher le plus loin possible dans les profondeur de la couette, j'étais rouge écarlate. Pourquoi avait-il fallu qu'il entre comme ça ? Vraiment un sans gêne. En plus, j'étais au lit avec Seth, nue évidemment. Je ne savais plus où me mettre tellement j'avais honte d'être trouvée dans une telle position embarrassante.-       Et Mary doit venir.               Encore heureux, il n'avait pas dit « copine ». Quoi ? Je relevais la tête.-       Quoi ? M'étonnais-je.-       On a vraiment besoin de toi, dit en me regardant sérieusement.               Ils ont besoin de moi ? C'était impossible que les Quileutes, ceux qui me prenaient pour le danger public numéro 1 à Forks, aient besoin de moi. Qu'est-ce qu'il se passait.               Rapidement prêts, nous le suivîmes, et pour ceux qui se le demande, Jacob était bel et bien sortit de la chambre pendant ce temps. Dehors, il y avait un vieux tacot dans mon jardin. Etrangement, il était venu en voiture au lieu de courir. Au volant, attendait patiemment un autre loup, Quil il me semble. Jacob monta à l'avant, à la place du mort, tandis que Seth et moi-même nous nous attachions à l'arrière.-       Ah bah enfin ! S'exclama finalement le conducteur après avoir démarré la voiture, ou plutôt le tas de ferraille.               Seth grogna pour toute réponse, il n'était déjà pas très content d'avoir été dérangé si en plus on le sermonnait, ça allait être tendu. Jacob, quand à lui, était ailleurs, concentré sur les évènements qui étaient en train de se produire. Ils étaient finalement revenus.               Arrivée devant ce qui ressemblait à une immense plaine, loin des habitations de Forks et donc des êtres humain en général, la voiture s'immobilisa. On pu voir, qu'il s'y trouvait, réunis, les Cullen et des loups puis, un peu plus loin, un autre groupe. Nous descendîmes rapidement de la voiture et nous nous avançâmes. Au début, j'avais été trop loin pour voir qui étaient les visiteurs, mais maintenant que je m'approchais, je distinguais parfaitement la peau pâle et farineuse du chef des Volturis, Aro. Il était là pour moi ! Sinon la meute ne m'aurait jamais demandée de venir. Tandis que les Quileutes, qui m'accompagnaient, continuaient à avancer tout droit pour rejoindre les groupes, je fis volte-face, le plus discrètement possible et commençais à marcher dans l'autre sens, pour m'éloigner du danger aux yeux rouges sangs. Et c'était repartie pour la fuite, mon activité favorite, surtout avec Aro dans le coin.-       Mary je t'ai vu ! Clama-t-il assez fort pour que je l'entende malgré la distance.               Tous dans la plaine se concentrèrent d'un coup sur moi. Je sentais tous les regards, Cullen, Quileutes et Volturis confondus, se braquer sur mon dos. Je me retournais.-       Mais moi, je ne veux pas te voir Aro ! Répondis-je tout aussi haut, même si je savais pertinemment que même souffler il aurai entendu ces mots.               Il rigola à ma réplique. Seth s'approcha de moi.-       Qu'est-ce que tu fais ? Me demanda, ne comprenant pas mon comportement.               Il voulait à ce point que je rencontre et reste à proximité de ce taré de vampire ?-       C'est Aro, Seth. Expliquais-je.-       Oui, fit-il sans comprendre ce que je voulais dire par là.-       Seth, c'est Aro ! Tu sais le vampire qui a des siècles à son actif, qui aime tuer et qui a en plus toute une armée pour lui ! Exposais-je d'une manière plus clair, en tout cas je l'espérais.-       Elle ne m'aime pas, ricana Aro.-       C'est le moins que l'on puisse dire, soufflais-je exaspérée.               Une des vampires du clan Cullen, le docteur, s'approcha de moi rapidement, comme un vampire peut le faire.-       Il faut absolument que tu lui parles Mary, il en va de notre survie à tous, précisa-t-il.               A vrai dire, si c'était Carlisle qui de me le demandait, je ne pouvais décemment pas refuser, surtout après les nombreuses heures qu'il avait passé à tenter de me soigner. J'hochais la tête et finis de parcourir les derniers mètres qui me séparaient des vampires.-       Mary, tu sais que tu m'as manqué ? Dit-il mielleusement en s'approchant un peu trop près de moi.-       Je n'en doute pas Aro, répondis-je tout en reculant d'un pas.-       On nous attaque, dit-il subitement en changeant de ton               Il avait dit ça simplement, il semblait préoccupé. En général, Aro savait qu'il avait les rennes, donc il jouait avec son pouvoir, rares étaient les moments où il était sérieux. Ca devait être grave.-       Qu'est-ce qui se passe ? L'invitais-je.-       J'aimerais que l'on en parle en privé. Je sais que tu en es capable et j'en ai assez qu'Edward tente de lire dans mes pensées, même si j'admire son talent.               Evidemment, je savais de quoi il parlait. Dans mon esprit, j'invoquais une barrière et elle se matérialisa sous forme d'une bulle transparente autour de nous. Dorénavant ces pensées, ces émotions et les sons sortant de nos bouches ne pouvaient être perçus par l'extérieur et ce jusqu'à l'explosion de cette dernière.-       J'adore, s'extasia-t-il               Je savais qu'autour, ils allaient essayer de lire sur nos lèvres pour savoir de quoi on était en train de parler et c'était possible. Il s'agissait d'une barrière invisible, un peu comme une bulle de savon, on pouvait parfaitement voir ce qu'il se passait à l'intérieur.-       Cela fait quelques jours que des vampires disparaissent, débuta-t-il.               A vrai dire que des vampires s'éclipsent, ne me faisait ni chaud, ni froid. Je me fichais de leur sort.-       On le fait disparaître et je ne parle pas de capture. Il ne reste rien d'eux même pas de la poudre.               Poudre ? Ce mot me fit penser à mon rêve.-       Hier, c'est Renata qui a disparu. Tu la connais, elle est entrainé, sûre d'elle, fiable et surtout jamais elle ne m'aurait quitté.               Renata, c'était cette femme qui le protégeait avec son bouclier mental. Je tentais de me souvenir de son visage. Son image me revint rapidement à l'esprit, c'était la femme de mon rêve.-       Que puis-je faire pour toi ?-       Il faut que tu empêches ça.-       Je ne peux pas Aro, si un vampire ne peut pas se défendre, surtout un vampire aussi bien entrainé qu'elle était et faisant parti de ta garde personnelle, alors je ne peux rien faire. Mon pouvoir est limité, comme tu le sais.-       Tu sais comme moi, qu'il n'y a que tes sœurs qui peuvent faire une telle chose et tu sais aussi que ce sont tes sœurs qui nous ont créés. Tout comme elles ont crée les loups garous et sûrement les Quileutes.               En disant cela, je compris immédiatement qu'à l'extérieur ils avaient lu sur nos lèvres puisqu'ils semblaient agités.-       Même si elles commencent par ma race, les autres suivront.               Quand il dit cela, l'image de Seth s'imposa à mon esprit. Ca me chamboula.-       Je ne peux pas t'aider Aro ! Si le plan est de vous faire disparaître alors elles y arriveront. Ce qui suppose une plus grosse organisation derrière elles. On ne se regroupe que très rarement, voir jamais.               Je comprenais enfin ce qu'il se passait. Les informations d'Aro avaient été utiles, mais je ne pouvais pas l'aider, ou tout du moins pas comme ça. Il fallait que je réfléchisse au calme.                Pour clore la discussion, j'ouvris la bulle, ce qui énerva encore plus Aro. Cette conversation privée maintenant belle et bien terminée, nous étions à nouveau parmi les autres qui avaient tout suivis de notre conversation. Ils étaient agités.-       Mais qu'est-ce que tu es ? Demanda soudain Edward Cullen.               Je le dévisageais sans pouvoir lui répondre.-       Elle, c'est une sorcière ! Se vengea alors Aro.

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