Il me maitrisait. Il avait ses bras musclés autour de mon corps si frêle à cet instant. Il les avait croisé au niveau de ma poitrine, un peu comme lors de nos câlins, mais à l'instar de ces moments, il m'emprisonnait. Je sentais ses membres me compresser. J'avais mal. J'essayais de me rebiffer, de m'enfuir, mais rien à faire, il m'étouffait. Je ne comprenais décidément pas. Pourquoi il faisait ça ? Il y a à peine un instant, j'étais là avec lui, sur ce lit, à lui raconter ma vie. Je lui avais tout dit. Nous étions alors, tellement connectés. Alors pourquoi, nom de Dieu ? Pourquoi il avait tout ce monde qui me fixait ? Dans un coin de ma tête, une petite voix me fit comprendre que je ne leur étais plus d'une grande utilité. C'était vrai, maintenant qu'il savait à propos de moi, il pouvait se débarrasser de la sorcière. J'eu mal à la poitrine, non plus à cause de ses membres supérieurs qui me tenaient plus que fermement, mais surtout parce que je comprenais qu'il m'avait roulé. Encore une fois, ne pus m'empêcher de penser. Mais cette fois-ci, il avait prit des renforts. La fenêtre par laquelle j'aurais aimé m'échapper était soigneusement surveillée par quelques Quileutes transformés en bête. Quand à l'entrée de ma chambre, elle était excessivement bien gardée par les nombreux membres que formaient la famille des Cullen ainsi que celle des Indiens. Qu'importe où mes yeux se posaient, ils y voyaient soit un vampire soit un loup. Je ne pouvais décidément pas me faire la belle. En plus, je ne pouvais pas compter sur mes pouvoirs. J'avais déjà utilisé mon sort de téléportation, et il était bien trop tôt pour y faire appel une seconde fois. Seth, me tenait si fermement, que quand bien même j'aurais tenté de me métamorphoser en faucon pèlerin, je resterais toujours entre ses mains, voiren il pourrait, sans y faire attention, m'écraser. Et, pour achever le tableau de mon pitoyable état, j'étais assurément faible. Je n'avais pas eu le temps de me rassasier avant les épisodes de la plaine et encore moins après. J'étais en carence d'énergie. Même si j'essayais d'en faire tomber quelques uns, et que par miracle je réussissais, ils resteraient beaucoup trop nombreux et je m'effondrerais bien avant eux. Et puis, les connaissant, avant que je n'aie pu en faire tomber un, ils m'assommeront d'un bon coup sur la tête. Une façon tellement plus délicate de me calmer. J'étais seule contre tous. Même une humaine aurait eu plus de chance dans une telle situation. Pathétique, voilà ce que me cria la petite voix à l'intérieur de ma tête. Que je pouvais détester l'entendre, car je savais qu'elle disait juste. J'étais effectivement une sorcière pathétique, à croire que je l'avais toujours été. Je me battais mentalement pour ne pas fléchir quand, tout à coup, les Cullen, ainsi que les Indiens se poussèrent pour laisser passer quelqu'un qui émergea à l'avant du groupe. Carlisle. Il s'approcha de moi, me regardant avec empathie. Serait-il légèrement attristé par ce qu'il m'arrivait ? Pourtant, à cet instant, j'avais réellement du mal à apercevoir la personne si attentionnée qui était restée à mon chevet, à me soigner, lorsque j'avais été souffrante. Non, à la place, je ne voyais plus qu'un putain de vampire qui tentait de se racheter une conscience en suçant du sang de puma.- Mary, nous voulons seulement parler, me dit-il presque sincère.- Je n'ai fait que ça, parler, ces dernières minutes et regarde où ça m'a mené, m'exprimais-je avec aigreur. Je regardais Seth avec dégout, lui faisant clairement comprendre que ces mots lui étaient directement adressés. J'avais eu confiance en toi et toi, voilà ce que tu me faisais. Un ensemble de noms d'oiseaux me traversèrent l'esprit pour décrire ce qu'était cet homme à mes yeux à cet instant précis. Malheureusement, aucun n'était assez fort, assez crus, pour lui convenir parfaitement. Et moi alors ? Comment avait-je pus être aussi bête ? Je suis définitivement bien trop naïve dans ce monde de fous.- Vous-voulez faire quoi ?- Te parler, répondis calmement Carlisle comme s'il s'agissait d'une évidence.- Non, arrête tes mensonges. Je veux la vérité pour une fois. Vous allez me faire quoi ? Me brûler, me pendre ou essayer de me noyer. Peut-être que vous allez tout simplement me démembrer comme vous le faites si bien aux membres de votre espèce pour les faire disparaître.- Arrête de raconter des conneries. Merde Mary ! M'interrompis Seth agacé. Ah tiens, il prenait la parole lui ? En avait-il le droit ? Avait-il demandé la permission à son chef comme un bon toutou ?- On veut juste discuter avec toi, reprit-il plus calmement. Sa voix était douce. C'était celle qu'il avait l'habitude d'utiliser quand il me parlait, allongé à côté de moi sur le lit.- Toi, ferma-là ! M'énervais-je. Je ne voulais pas l'entendre, je ne voulais surtout pas l'entendre lui car je ne voulais pas imaginer un seul instant qu'il puisse dire la vérité. Je ne voulais tout simplement plus croire en lui. Carlisle reprit la parole, essayant de désamorcer la situation.- Seth a raison, il n'a jamais été question de te tuer. Expliqua-t-il. On veut simplement savoir par rapport à ce que t'as dit Aro. Quoi ? M'étonnais-je mentalement. Je le regardais, je crois qu'à ce moment j'avais les yeux ronds tellement j'étais déconcertée. Puis, je me repris pendant qu'il continuait à parler.- Maintenant que l'on sait qui tu es, à quelle espèce tu appartiens. Il avait eu un moment d'hésitation sur le mot espèce, comme si ce mot ne semblait pas convenir à la situation.- Tu peux nous dire ce qu'il se passe, conclut-il. Carlisle atteignit précisément son but puisque ses paroles firent mouche. Il n'avait pas tord. Tous ici savait dorénavant qui j'étais, en plus de cela, ils étaient directement concernés par cette histoire. Enfin, si j'en croyais les informations que m'avait délivrées Aro, nous étions tous impliqués et, surtout, il s'agissait d'un problème de taille.- Oui. J'avais dit ce simple mot en prenant une grande inspiration intérieurement. En effet, ce simple mot signifiait que j'acceptais de répondre à leur interrogation et cela m'était très désagréable. Je prenais vraiment sur moi, à cet instant précis. J'avais passé tellement de temps et j'avais dépensé tant d'énergie à cacher qui j'étais, qui nous étions, d'où nous venions, qu'en acceptant de tout leur révéler c'était comme si tout ce que j'avais fait depuis plus de 300 ans, n'avait servi à rien. Vous savez, c'était un peu comme si vous aviez passé votre vie entière à construire une maison, vous aviez sué pendant tellement de temps tout en perdant vos proches pour voir que finalement, cette maison se fait détruire par une démolisseuse. J'étais accablée.- D'accord, je vous dirais tout ce que vous voulez savoir. Après avoir entendu ces mots, Seth me délivra de son étreinte forcée et douloureuse. Etrangement, il n'avait pas attendu l'accord de Sam, non, il avait fait ça de son propre chef.- Je suis désolée pour ca, me murmura-t-il sincère au creux de mon oreille tandis que nos deux corps étaient encore proches.- Pas autant que moi, sifflais-je mauvaise encore mes dents à son attention avant de fuir son corps. Le message était on ne peut plus clair et il le comprit instantanément. Abattu, ses épaules s'affaissèrent puis il ne bougea plus d'un iota. Il resta immobile tandis que tout le monde désertait la chambre pour se retrouver dans le salon et investir les canapés. Les Quileutes s'installèrent les premiers, se jetant presque dessus, il leur fallait absolument s'assoir. Ils finirent par occuper les deux grands canapés et deux des trois fauteuils. Alice préféra, quand à elle, aller chercher une chaise dans la cuisine américaine. Carlisle s'assit sur le dernier fauteuil, après avoir demander à tout le monde s'il pouvait. Sam était le seul loup encore debout, même Jacob était parti s'asseoir. Quand au reste des Cullen, ils préféraient de loin rester alerte au moindre de danger. De plus, grâce à leur état de vampire, ils ne sentaient en rien la fatigue, être debout pour eux était aussi reposant que de s'allonger sur un lit moelleux pour un humain. Seth, lui, manquait à l'appel, il était encore sous le choc des paroles que j'avais prononcé contre sa personne. Il était resté dans ma chambre, toujours incapable de nous rejoindre. Il ressemblait à ce moment à une statue triste. Contrairement aux vampires qui ne sentent rien, ou du moins, pas la douleur que peut subir les muscles de leurs membres inférieurs en restant constamment debout et donc, pour qui, il était évident que rester levé était la meilleure décision à prendre, moi je sentais parfaitement mes jambes, cependant, je restais aussi debout. Je préférais faire ce choix plutôt que de m'asseoir au milieu de ces loups, me sentant ridiculement vulnérable. Hors de question, m'étais-je crié intérieurement. Seth finit enfin par rejoindre le groupe, enfin, il serait plus exact de dire qu'il se trouvait comme tout le monde dans le salon, mais il s'assit dans son coin, loin de toute cette animation. Seule une personne aveugle et complètement stupide n'aurait pu voir qu'il voulait être seul, partir réfléchir et ce, à une distance important de ce lieu ainsi que de tout ce monde. Mais, il ne pouvait pas. Son devoir était de rester avec la meute et cela lui était de plus en plus une plaie. Se sacrifier pour la meute, il comprenait jour après jour à quel point c'était douloureux. Une fois tout le monde réuni, il y eu une tension, l'air était pesant, électrique. Je sentais que ça allait bientôt commencer, me demandant qui allait poser la première question.- Est-ce que ce qu'a dit Aro est vrai ? J'en étais sûre, la première question était posée. C'était Alice qui l'avait formulée, la frêle Alice sur sa chaise.- Oui, lui répondis-je le plus simplement. Cette réponse des plus basique eu l'effet d'une bombe. Et puis, il y eu des répercussions, un peu comme au domino. Plusieurs questions se formèrent dans leur esprit, mais laquelle dire ? Valait-elle le coup ?- Explique nous, demanda autoritaire Edward.- Que veux-tu savoir ? Ils se remirent à réfléchir. Ile ne savaient vraiment pas par quoi commencer. En attendant, j'eu l'impression que leur cerveau surchauffait. Bien sur, tout cela se faisait en quelques secondes.- Comment c'est possible, pour vous, de tuer des vampire, m'interrogea finalement Jasper en élevant la voix pour couvrir le bruit des murmures. Il s'interrompit, regardant Carlisle. Il donnait l'impression de demander au docteur s'il pouvait continuer, si ça question était assez intéressante. Pensait-il que le nombre de questions qu'ils pouvaient me poser était compté ?- C'est vrai, reprit-il, vous n'avez ni notre force physique, ni notre rapidité. Cela semble impossible, finit-il d'expliquer. Son raisonnement se tenait parfaitement, et tous approuvèrent dans la salle, autant les Quileutes que les Cullen.- Et bien, nous avons des pouvoirs, commençais-je, comme vous avez surement pu le constater de vos propres yeux. Il s'agissait de l'un de mes pouvoirs quand je me suis transformé en faucon, puis, il s'agissait d'un autre don quand j'ai endormi les loups. Nous avons toutes des pouvoirs et en fonction de ceux que l'on reçoit ont peut parfaitement tuer un vampire.- Ce que vous recevez, reformula Jacob. Tu veux dire que vous n'avez pas les mêmes ?- Non, pas du tout. Comme vous quand vous vous transformez en loup, vous avez tous un pelage différent qui symbolise votre personnalité et pourtant vous êtes tous des Quileutes. Et bien les sorcières ont elles aussi des pouvoirs qui reflètent leur caractère.- Est-ce que vous utilisez des potions magiques, lança Emmett avec un sourire que je ne pouvais qualifier. Pour tout le monde, cette question semblait stupide tant elle était évidente. C'était tellement cliché de penser que les sorcières utilisaient des potions magiques, un peu comme dans les séries populaires, que dans leur tête ça ne pouvait être.- Oui. Tous écarquillèrent les yeux, étonnés. Emmett quand a lui s'interrogeait.- Comment ça fonctionne ? Demanda-t-il de plus en plus intéressé. Les questions n'arrêtaient pas de fuser et j'y répondais, un peu contre ma volonté.- Il est question d'énergie. Nous autres sorcière avons une énergie particulière qui nous permet de lancer des sorts ou d'utiliser nos pouvoirs. Cependant, il existe dans certains objets, dans des plantes ou bien chez quelques animaux, des énergies. En additionnant les énergies de telle plante avec tel objet on en obtient suffisamment pour réaliser un sort et ça, sans utiliser notre propre énergie. Donc oui, il nous arrive de faire des potions magiques. Tous avaient écouté très attentivement. De manière générale, ils buvaient mes paroles.- D'où vous venez et que voulait dire Aro par « tes sœurs qui nous on créés », interrogea finalement Carlisle. Tous comme les Quileutes écoutaient avec un profond respect, leur chef, ils étaient très attentifs à ce que pouvait dire le vampire docteur. De plus, il s'agissait là d'une question déterminante. J'espérais, pour eux, qu'ils avaient l'esprit ouvert.- Vous connaissez tous la Genèse ? Interrogeais-je sans pour autant attendre de réponses. Pourtant ils avaient hochés la tête, confirmant. Dans la Genèse, Adam et Eve goûtent au fruit défendu, la pomme de la connaissance. Dès que Dieu s'en aperçoit, il les punit en les envoyant sur terre. Puis, il fit garder le jardin de l'Eden par des chérubins à l'armure étincelante et aux épées éblouissantes, pour qu'Adam et Eve ne puissent y revenir. Seulement, Dieu est bon. Il ne pouvait pas revenir sur cette décision mais il pouvait aider Adam et Eve. Dans sa grande miséricorde, Il leur envoya l'un de ses anges. Celui-ci, en arrivant sur terre, connut une douleur sans pareil tandis que ses magnifiques ailes brulaient. Tout ça, à cause de l'homme. Et pourtant, il les aida. Cet ange connut Abel, Caïn, Seth, puis, Jared, Mathusalem, Henoch ou encore Noé. Il avait vécu le déluge et il restait là auprès des hommes de Dieu. Puis, alors qu'Eve et Adam était morts depuis 30 générations déjà, il connut une femme et se maria avec. Cette femme enfanta. Oui, l'ange, ou tout du moins la créature qu'il était devenu en atterrissant sur terre, eu des enfants qui se mélangèrent à ceux d'Adam et d'Eve. Je récitais inconsciemment l'histoire de mes racines dont j'avais pris conscience il y a de cela plusieurs siècles. Bien qu'écoutant avec intérêt cette variante encore inconnue de la Genèse, le bavard Quil ne put s'empêcher de demander à Embry où était le lien avec les sorcières. Je savais parfaitement que tous comme moi, toutes les personnes étant dans cette salle avait forcément entendues la question de Quil.- J'y viens, l'informais-je. Quil, eu le droit à un ensemble de regard noir, lui faisant comprendre que se taire ne serait pas un luxe pour lui.- Il arriva un jour où l'une des descendantes de la créature, de l'ange, fit face, à la cruauté et à la débauche de l'homme. Il est écrit, qu'il s'agissait d'une petite troupe de soldats ivres qui tuèrent son mari, puis assassinèrent ses enfants avant de la violer et la tabasser, pour, enfin, la laisser comme morte. Il s'agissait alors, d'une douleur si intense, d'un désespoir si fort, qu'il fit échos à ce qu'avais ressentie l'ange en arrivant sur terre. Et comme pour la protéger, son sang changea, la mutant en une nouvelle créature. Si vous voulez, le sang de l'ange est comme un virus dormant. Tous ses descendants l'ont en eux sans pour autant qu'il se manifeste. Seulement, lorsqu'un de ses enfants, aussi loin puisse-t-il être dans l'arbre généalogique, est confronté à une douleur immense, alors ce virus s'active. Il détruit le sang humain, purifie le corps. On devient alors une sorte d'ange, une créature immortelle et gagnant en pouvoir. C'est ce que les hommes ont appelé Sorcières. Je les laissais encaisser. Edward, murmurait en boucle le mot impossible, pendant que Bella pensait ne plus connaître ce monde. Les Quileutes acceptèrent la nouvelle plutôt bien. Il existait tellement de légendes dans ce monde qui concordaient en de nombreux points avec mon histoire, que tout ce que je venais de dire leur semblait vrai. Carlisle aussi, prit cette révélation plutôt bien. J'avais l'étrange impression qu'il en avait déjà entendu parler.- Qu'en est-il des vampires ? Comment ont peut avoir été créer par vous ? demanda Rosalie. Je n'avais pas pour habitude de l'entendre celle-là.- C'est pourtant simple, débutais-je. Ce qu'on appelle communément magie ou tout ce qui semble surnaturelle est une manifestation du pouvoir séraphique or les seules a avoir de la magie ce sont les sorcières. Nous sommes les seules personnes à avoir pu créer des êtres tels que vous avec nos pouvoirs.- Mais pourquoi ? Se manifesta enfin Bella.- Les raisons me sont encore inconnues. A vrai dire, je mentais. Je savais pourquoi mais je voulais éviter de leur révéler. Apparemment, il s'agissait d'un acte désespéré d'une sorcière folle amoureuse d'un homme. Mort prématurément, elle avait voulu lui rendre la vie, mais étrangement le sort n'avait pas été concluant. L'homme avait gardé la peau froide et blanche d'un mort, sa rigidité cadavérique avait amplifié, au point d'en faire une statue et il avait une telle soif de la vie qu'il se mit à prendre celle des humains. Mais pouvais-je dire à des personnes qu'elles étaient ainsi parce qu'une de mes sœurs, complétement folle, avait voulu sauver son âme sœur ? Au péril d'un grand nombre de vie ?- Et pour nous ? Intervint l'alpha Sam.- Et bien, on vous a aussi créé. Dans vos légendes, il est dit que vous vous faisiez attaquer, alors vous avez eu recours à votre esprit. Seulement, ça ne s'est pas tout à fait passer comme ça. Il existait dans votre tribu, une sorcière Ashaisha, qui vous a permis de pouvoir parler avec la nature sachant que vous aviez toujours été proche d'elle. Ainsi vous êtes devenus des esprits et plus tard des loups. Et pour les loups garous, les vrais, ceux qui se faisaient mordre, il était question de punition. L'homme était une bête alors pendant une brève période elle allait redevenir une bête.- Pourquoi nous détruire dans ce cas ? Demanda Seth. Tous se retournèrent pour le jauger. Il avait enfin pris la parole. Je le regardais brièvement, avant de détourner les yeux. J'avais du mal à rester sereine face à lui.- Car vous êtes des êtres magiques, vous avez de l'ange en vous, d'une certaine manière, et quelqu'un en a besoin pour retourner en Eden. Il n'y eu plus aucun bruit. Ce mot restait en suspens. L'Eden ?
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Salem.
Paranormal« Connaissez-vous la triste histoire des sorcières de Salem ? Je vais faire bref, sans m'attarder sur des détails. Cela s'est passé en 1692 dans la petite ville de Salem Village, Massachusetts. Les habitants y étaient puritains et très croyants. Des...