Tome 2. Aimie est une jeune femme de 20 ans. Sa passion c'est le chant. Seulement, elle a une voix de chanteuse de chorale d'église. Elle est très belle, et a un caractère très fort. Elle doit partir avec son académie de chant disputer un concours q...
Depuis que j'ai quitté AIMIE, je n'ai plus eu de nouvelles d'elle. Elle ne m'a pas rappelé. Je suis déprimé. Je suis le seul responsable de cette situation. J'ai mal agi. je l'ai gilflée, je lui ai serré très fortement la mâchoire et les poignets. J'ai vu dans ses yeux qu'elle avait peur de moi. Je pensais que cette violence en moi avait disparue depuis tout ce temps. Dès que je suis très impliqué sentimentalement, elle revient me polluer la vie. Elle est tellement envahissante que je ne peux pas me raisonner. Pourtant j'aime AIMIE de tout mon coeur, et, je crois jusqu'à mon dernier souffle de vie. Apparemment, cela ne suffit pas pour que j'arrive à combattre ma jalousie.
Elle me manque à tel point, que ce n'est pas pensable. Je meurs de ne pouvoir la toucher. J'aime tout chez cette fille, mais, je n'accepte pas qu'un autre que moi soit proche d'elle. Je suis tellement possessif que j'ai tout gâché entre nous. Elle ne m'appelle pas parce-que je l'effraie. Je suis tellement fatigué de penser à elle, et à notre séparation. Je suis sur le chemin de retour vers BIG HIT ENTERTAINMENT. Les autres membres de BTS m'attendent. J'ai pris deux jours, pour aller la voir. Mais, je n'aurais pas dû. Car désormais, notre histoire est terminée.
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Je conduis ma voiture, j'ai du mal à garder les yeux ouverts. J'ai passé ces deux jours à aimer AIMIE. Je n'ai pas beaucoup dormi. Ils resteront les deux plus beaux jours de ma vie. Mes yeux se ferment. J'en suis conscient alors je les ouvre immédiatement. Je me souviens que je conduis. Quand j'ouvre à nouveau les yeux, je n'ai pas le temps de tourner le volant pour éviter le fossé. Ma voiture se dirige à toute allure dans le vide. Je suis suspendu au ralentit. Je vois tout, ma voiture entre dans la ballustrade qui s'écrase en morceaux devant la violence du coup. Ma tête heurte le parebrise avant, je perds immédiatement conscience. J'entends des bruits lointains de carrosserie pliée. J'ai l'impression que la voiture vole. Puis, plus rien.
Je ne comprends pas. Cela fait plus d'une heure que j'ai eu TAEHYUNG en ligne. Il était presque arrivé. Il lui restait environ un bon quart d'heure de route. Je suis inquiet. J'en parle aux autres. Ils me regardent tous angoissés. Je sens qu'il y a un problème. J'essais d'appeler sur son portable, pas de réponse, sa messagerie se met en route automatiquement. Je me lève, je demande les clés de sa voiture à JIN. Je vais essayer de le trouver sur la route. JIN m'accompagne. Nous faisons le trajet en faisant très attention aux voitures que nous croisons. Au cas où nous rencontrons sa voiture. Nous avons fait un quart d'heure de route, il devait se trouver à cet endroit à peu près quand je l'ai eu au téléphone. JIN me fait constater la ballustrade défoncée. Je m'arrête sur le bas côté. Nous nous regardons inquiet. Je sens mon coeur battre plus rapidement. Nous pensons la même chose. Nous nous précipitons près du ravin. Et nous découvrons la voiture de TAEHYUNG. Les larmes aux yeux, nous courons vers sa voiture. Nous l'apercevons couvert de sang. JIN appelle les secours. TAEHYUNG ne bouge plus. J'ai réussi à attraper son poignet, son pouls bat. Nous attendons les pompiers, ces minutes d'attente sont longues, très longues. Puis nous entendons une sirène au loin. Entretemps, JIN a prévenu les gars de l'accident de TAE. Nous allons nous rejoindre à l'hôpital.
Nous entrons par les urgences de l'hôpital, nous avons suivi l'ambulance. Le médecin urgentiste d'astreinte nous informe que son état est préoccupant. Ils l'emmènent au bloc.
Après deux heures passées dans la salle d'attente, le médecin nous demande s'il y a des membres de sa famille. Cette question nous a tous refroidis. Nous nous attendons au pire. Les parents de TAEHYUNG suivent le médecin. Nous prolongeons notre attente.
La mère de TAEHYUNG sort en pleurant et son père la réconforte. Nous nous regardons abasourdis. Je me dirige vers le médecin pour avoir des informations sur sa santé. Il nous apprends qu'il s'inquiète pour sa blessure à la tête. Il a des contusions un peu partout sur le corps, un bras cassé. Il se repose. Il n'a pas encore repris connaissance. Il ne faut pas le déranger ce soir. Nous quittons l'hôpital. Chacun de nous reviendra demain.
Je me réveille, je tourne la tête. Je ne reconnais pas la pièce. J'ai très mal à la tête. Il y a une douleur lancinante et irritante qui me martèle la tête. Je suis nauséeux. On dirait que je suis à l'hôpital. Qu'est-ce que je fais ici ? Je referme mes yeux parce-que la chambre vacille devant mes yeux. Je suis sonné. Je ne me souviens pas pour quelle raison je suis dans cet hôpital.
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Je me rendors, c'est le mieux à faire. J'entends une personne parler à proximité de moi. L'infirmière me prodigue les soins de base. Je me laisse faire, je n'ai pas beaucoup de force. Je me sens déprimé au fond de moi. Pourquoi ? Elle me rassure en m'indiquant que mes résultats sont correctes. Elle me demande si je me souviens de mon nom. Je réfléchis, mais rien ne vient dans mon cerveau. Je ne connais pas mon nom. Etrange ! Ni l'âge que j'ai. Encore plus étrange.
En fait, je ne me souviens de rien. J'ai perdu la mémoire. Cette découverte me déprime encore plus. J'ai la visite du médecin qui me confirme les résultats positifs. Mais, je lui parle de ma perte de mémoire. Il m'informe que j'ai reçu un coup très violent sur le front. Il ne peut pas encore se prononcer là-dessus car il doit observer l'évolution de la blessure avant. La perte de mémoire peut être passagère, ou plus. "Le temps nous le précisera", me confie le médecin.
Je me retrouve seul dans la chambre, j'observe la pièce dans les détails, je n'ai que cela à faire. Je ne peux même pas m'asseoir dans le lit sans avoir des vertiges. La porte de ma chambre s'ouvre. Il y a des gars qui entrent. Ils sont nombreux, ils me regardent tous inquiets. Je les fixe, je ne les connais pas. Par contre, eux, semblent bien me connaître. Je leur demande :
"- Qui êtes-vous ? Nous nous connaissons ?"
Ils me regardent tous ébahis. Ils sont en train de réaliser que je ne me souviens de rien. Ils ont conscience que je suis amnésique. Leurs visages défaits me bouleversent le coeur. Ils sont déçus que je ne les reconnaissent pas. Je suis désolé de ne pas pouvoir les reconnaître. Mais que m'arrive-t-il ? C'est un cauchemar ........................
