Hello le people. Ce qui suit n'est peut-être pas "ADULTE-ADULTE", mais il peut y avoir des choses gênantes quoi, alors bon, tu peux lire, mais si tu deviens rouge dès le début, je te laisse aller un peu plus loin dans l'histoire LOOOOOL
Bises les gens.
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Liam s'attaque à ma nuque, ses lèvres brûlantes contre ma peau glacée par le frisson qui traverse mon corps. Je mords ma lèvre pour étouffer un gémissement, une de mes mains tirant ses cheveux, l'autre glissant fébrilement sur son dos. Chaque geste semble flou, comme s'il ne m'appartenait pas vraiment. La cocaïne m'engourdit les sens, mais en même temps, amplifie cette sensation étrange qui grandit dans mon ventre, cette chaleur oppressante qui me dévore.
Je l'embrasse à nouveau, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre, mais tout semble irréel, comme un rêve où chaque toucher, chaque respiration est à la fois trop et pas assez. Je le pousse contre quelque chose de mou, mon corps agissant par instinct, encerclé par deux murs. Il repose son front contre mon épaule, quelques secondes passent sans un mot, mais son souffle, lourd et brûlant, résonne contre ma peau.
— Tu sais dans quelle merde tu nous mets, Aurélie ? murmure-t-il finalement, sa voix grave s'infiltrant dans ma conscience déjà trouble.
Mes hanches bougent d'elles-mêmes contre lui, cherchant une satisfaction que je n'arrive plus à comprendre. Il tente de m'arrêter, mais chaque mouvement, chaque geste me semble incontrôlable, comme si j'étais déconnectée de mon propre corps.
— C'est ce que tu veux aussi, Liam, je murmure, ma voix enrouée, presque cassée. Tu peux pas mentir.
Je désigne du doigt la bosse évidente sous sa ceinture à moitié débouclée. Il me touche, mais s'arrête, se retient, et ça m'énerve. La frustration monte en moi, une chaleur insupportable. Je le veux, ici, maintenant, parce que tout dans ma tête se brouille, tout tourne autour de cette pulsion qui m'échappe.
— Je sais que t'as jamais pu t'empêcher de faire quelque chose, souffle-je, provocante. Profite. Je suis bourrée.
Ses yeux se posent sur moi, sombres, remplis d'une tension que je ne comprends qu'à moitié.
— Justement... on pari combien que demain tu ne te souviendras de rien ?
Je grogne, impatiente, poussée par cette sensation dévorante dans le creux de mon ventre, cette brûlure qui ne s'éteint pas. Je prends sa main et la guide là où je veux, là où j'ai besoin de sentir quelque chose, n'importe quoi pour combler le vide qui m'engloutit.
Je ne sais pas ce qui m'arrive. Demain, je le regretterai sûrement. Je regrette déjà. Mais ce soir, tout ce que je veux, c'est oublier. L'alcool y est pour quelque chose, la drogue aussi. Tout se mélange dans ma tête, me poussant toujours plus loin.
— Arrête de penser, Aurélie, murmure-t-il, mais c'est un ordre plus qu'un conseil.
Ses doigts frôlent mon intimité et un frisson incontrôlable parcourt mon corps. Je ferme les yeux, me laissant emporter par la sensation, par le besoin de tout laisser derrière moi. Ses caresses me font perdre le contrôle, mon esprit vacille entre l'envie de céder et la terreur de ce qui viendra après.
Mais d'un coup, il se retire, me laissant seule dans cette frustration insupportable. Il se lève, me soulève avec lui, et mes jambes s'enroulent autour de sa taille. Son corps contre le mien est brûlant, mais son regard est différent, calculateur. Je ne comprends pas ce qu'il veut, ce qu'il cherche, et cela me rend folle.
— Tu peux rendre mes mains ? dis-je avec un sourire forcé, tandis qu'il les retient dans son dos.
Il relève la tête, me dévisageant. Sa main gauche caresse lentement le bas de ma cuisse, puis il murmure :
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PURSUED [terminée]
Ficção Adolescente"Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas" Difficilement, fatiguée, j'ouvre mes yeux. Il n'a pas bougé de place. Je suis trop faible et trop désarmée pour faire ou dire quoi que ce soit. Je suis à moitié nue, seuls mes sous-vête...