28. Naha

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PDV Nerfertari

(Le bruit des gyrophares se rapproché de plus en plus de nous jusqu'à nous collé au train une voiture de police nous ordonna de nous arrêter. Après 500 mètres de négociation avec Naha, j'arrive enfin à le faire entendre raison et le convaincre de s'arrêter. Il se stationne sur la bande d'arrêt d'urgence, il recrache la fumer par ses narines et sa bouche tout en envoyant un message. ✉️ Deux agents s'approchent de la vitre côté conducteur. Kamel baisse celle-ci.)


-Police : Bonsoir Monsieur ! vous savez pourquoi on vous contrôle !? (D'une voix grave)

-Naha : beh non

-policier : ne faite pas le mariole! Vous roulez à 270 km/h vous vous êtes fait flasher ✌🏼 fois ! Et enlevez votre cigarette de votre bouche. Vous aggravez votre cas!

-Naha : si vous le dite.

-Police : SORTEZ IMMÉDIATEMENT DE VOTRE VÉHICULE !!! LES PAPIERS DU VÉHICULE ET VOS IDENTITÉ À TOUS LES DEUX !!!





PDV Nerfertari

(Naha détache sa ceinture, à peine le pied posé dehors il se retrouve plaqué violemment sur la portière, je sursaute de peur mon cœur s'accélère, leur manière d'obtempérer est trop brutale. Le premier policier lui met des menottes puis le fouille et le deuxième vient m'interpeller.)

-policier 2 : Vos papier !

-Nerfertari : tenez monsieur

-policier 2 : Merci, Avez-vous consommer quelque chose ?

-Nerfertari : (je le regarde très surpris, il est con ou quoi ? Je ne conduisais pas la voiture.) non

-policier 1 : Votre collègue et vous êtes placé en garde à vue ce soir, Sortez du véhicule !





2H30



[Commissariat]

Je pianote nerveusement sur ma cuisse droite en observant les quatre murs  terne de ma cellule que je partage en ce moment même avec une femme fortement alcoolisé. Je lâche un soupire ça fait deja un bon moment qu'on est là et les nouvelles s'enchaînent. Naha est dans une autre cellule, il a perdu son permis de conduire et ils ont saisi sa voiture.

Je frotte mes mains sur mes avant bras j'ai horriblement froid et je commence à avoir Vraiment faim.
Au loin dans le couloirs j'entends des pas qui se rapproche de plus en plus.



-...: Madame PharaOh ?

(mon cœur s'emballe lorsque j'entends mon nom.)

-Nerfertari : heu.. oui

-...: OH MON DIEU ! Patrick Pour l'amour de Dieu OUVREZ CETTE CELLULE IMMÉDIATEMENT!!!!

On me fait sortir pour me ramener dans un bureau à l'étage du commissariat.

-Officier : Je suis sincèrement désolé Madame PharaOh ! Je suis le chef de la police du 20 ème arrondissement de Paris, Mon agent n'a pas fait attention en contrôlant votre identité, il n'a pas réfléchi à la vue de votre passeport diplomatique, Je tiens vrai-

-Nerfertari : (en le coupant) Relâchez-le !

-Officier : Pardon? madame mais vous savez que ca ne marche pas comme ça

Une princesse au Tarteret - Ademo PNLOù les histoires vivent. Découvrez maintenant