42. Le prix de la confiance ne pardonne pas Part.1

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2 semaines plus tard



PDV Nerfertari

(Il est maintenant 23 H 40, nous sommes en plein mois de juillet,🌡30 degrés la chaleur est presque insupportable à Paris, pourtant je viens d'Egypte hein mais ici le vend est chaud c'est pas très agréable.

Assise en tailleur sur le canapé, je rédige quelque note sur mon ordinateur portable. J'ai quelque rapport et dossier à corriger et à peaufiner. Je pose mon verre de ice tea sur la table du salon, je passe une main dans mes cheveux. 📩 Et répond au message de Jeanine qui souhaite voir quelque dossier avec moi. J'accepte volontiers, elle habite juste à 13 minutes à pied de chez moi.

Vêtu d'un mini-short en jean taille haute et d'un débardeur blanc, je passe un mini-kimono en soi vert pastel et j'enfile une paire d'All stars blanche.

Je passe la porte de la maison et referme bien derrière moi comme Tarik n'est pas là. Je descends les marches et avance, jusqu'à chez Jeanine.





Ellipse

1h25 plus tard




Il se fait tard et je commence à être moins productif et moins performante, on a bien avancé sur l'un des plus gros dossier "The British Museum" voila une bonne chose de faite c'est déjà ça, je décide alors de rentrer. Je marche au milieu de la route la zone résidentielle est composé de personne très aisé et majoritairement de retraités. Toutes les lumières étaient éteintes dans le voisinage pas un chat dehors, les lampadaires étaient faibles en intensité. J'avais passé une journée épuisante, je m'arrêtais un instant pour refaire mon lacets de chaussure lorsque j'entendis un bruit qui me paru étrange venir de derrière moi, je tournais aussitôt ma tête pour savoir qui était là ? personne. A ce moment là je pensais que mon imagination me jouait des tours mais je sentis une présence, j'étais devenu toute pâle, paniqué, la peur au ventre tout ce que je pouvais entendre à présent était mon cœur cogner contre ma poitrine.Je me relève doucement les jambes tremblantes l'air me paraît plus lourd, j'ai une subite impression d'étouffer.



Il me reste 6 minutes de marche avant d'arriver chez moi, j'accélère rapidement lorsque des pas derrière moi accélère au même rythme que les miens.

Horrifié, je ne me sens plus capable de me retourner, l'impression de revivre la même scène d'il y a quelque mois mais en pire.

Je suis plus très loin, un sentiment de panique flirte avec mon esprit. Nerfertari c'est pas le moment de trembler! Cours! Ne reste pas là., me dit mon instinct.



J'arrive devant ma rue presque essoufflé, j'essaye de reprendre mon souffle et de continuer à courir mais on m'attrape par le bras et me retourne violemment.


Un homme se tenait à présent face à moi son visage était balafré, il sentait l'alcool et la beu à des kilomètres ses yeux dominants étaient rouges sang aspiré par la drogue il me fusillait du regard mon bras toujours sous son emprise.)



-...: Tu cours où comme ça

-Nerfertari : (cette voix.. j'aurai juré l'avoir déjà entendu quelque part) euh je... je

-...: n'ai pas peur,Je suis comme ton frère*sourire*

-Nerfertari : *je déglutis difficilement* (il dépose une main sur mon épaule, qu'est-ce-qu'il me veut ?)
Je suis désolé mais je suis pressé.. j'ai j'ai pas mal de chose a-
(je prononce ma phrase tout en partant mais il me retient fermement par le poignet avec une pression. Assez suffisante pour me faire plisser des yeux.)

-...: Attend ! attend ! Ma belle, C'est Urgence. On a pas eu l'time de faire connaissance officiellement toi et moi. J'vais pas laisser une jolie fille comme toi me passer entre les doigts pr la 2 ème fois hein !




- Nerfertari : (C'est lui.. C'était donc lui.. le type qui m'a poursuivi il y'a quelque mois dans le vieux Corbeil. (Voir Ch.32)

L'ex de Mélissa ! Oui, effectivement elle me l'avait déjà montré en photo et sa voix je l'avais déjà entendu au téléphone bien avant même que je pose un pied au Tarteret (voir chapitre 2) Voilà que je tombe nez à nez avec lui. Merde !

Tous ce qui a un rapport avec elle est néfaste pour moi. J'ai pas du tout confiance en lui. Mon cœur se serre de plus en plus, A ce moment précis, j'ai plus peur qu'autre chose.)


-Urgence : sa t'intrigue hein ?
*attrapant une mèche de ses cheveux* Mel a tjrs su s'entourer des meilleurs.. ton corps me donne faim chacal ! j'ai dja la barre ! *se mordant les levres* Je sais tu en meurt d'envie autant que moi.




PDV Nerfertari

(Je recule doucement d'un pas malgré qu'il a une emprise sur moi.
Il rapproche son corps en sueur du miens son gabarit est plus imposant que le miens.)

-désolé mais..mais je ne suis pas intéressé. S'il te plaît relâche-moi..

(je me sens à présent paralysé par la peur, je panique, ma voix commence légèrement à trembler Crescendo.

Il me contourne et tourne autour de moi, à cette instant, je suis incapable de bouger, je perds tous mes moyens. Il finit par se placer derrière moi et place son bras sous mon menton me bloquant presque la respiration.

Il se penche prêt de mon oreille et me chuchote tout bas. « j'veux savoir quel effet sa fait de baisé avec une milliardaire. »
Je me débat sous son emprise, mais plus je bouge plus il resserre son bras sur mon cou.  «Chute.. détend-toi»

Je lutte comme je peux. Il voit que je ne veux pas me laisser faire, alors il perd patience et commence à devenir de plus en plus agressive dans ses propos.)


-Urgence : ALLEZ  SALE P*TE !! On sait très bien tous les deux que quand c'est Ademo qui t'la met, t'écarte t'es cuisses comme ci c'était Hollywood Boulevard !


-Nerfertari : *je trouve la force de me retourner en lui donnant une claque tellement fort! Qu'on a du même l'entendre jusqu'à Manhattan.*


(Il retourne sa tête pour me faire face, il saigne au coin de la bouche. Son visage se tord de colère il commence à être violent.

Il m'attrape par les jambes avec une tel force que je perd automatiquement l'équilibre et j'atterris au sol. Il profite pour se placer au-dessus de moi par terre dans la rue pour se frotter à moi.

Je cris, je hurle, je me débat, j'essaye de me protéger encore et encore pour l'empêcher d'enlever mes vêtements.

Mes larmes coulent le long de mon visage, je tremble je suis complétement tétanisé je préfère fermer les yeux... la peur me glace le sang à chaque minute et à chaque seconde, mon pouls s'accélère.

Il m'enlève mon kimono et essaye de retirer le bouton de mon short en jean. Sa grosse main vient envelopper ma bouche, je continue comme je peux de me débattre mais je.. je... je.... n'ai aucune chance de m'en sortir.

Il penche son visage vers mon oreille, je peux sentir son souffle répugnant sur moi. Je sens quelque chose de visqueux et gluant lécher ma tempe.
C'est foutu, je suis foutu.. je vous en prie aidez-moi.!)


-urgence : reste trankl j'vais te montrer c'est quoi le 7 ème ciel !



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A suivre

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Une princesse au Tarteret - Ademo PNLOù les histoires vivent. Découvrez maintenant