Je me suis laissé emporter par ce bien être qui a exposé en moi. Me laissant aller aux caresses habiles et adroite de ma compagne. Retrouvant le goût si doux de ses lèvres, les mordant et les embrassant fougueusement, les libérant parfois pour les laisser se réfugier dans mon cou. Alors que mes vêtements vinrent rapidement à disparaître, je me suis laisser m'enfoncer dans le matelas de mon lit, soupirant lourdement. J'ai grogné, elle s'est redressé pour me laisser lui retirer son t-shirt, mes doigts pouvant circuler librement sur la peau chaude de son buste. Mes ongles s'enfoncent parfois, la poussant à accentuer ses baisers sur mon ventre. Nombreux sont les compliments concernant mon changement corporel, ce qui n'a pas cessé de me faire sourire. Ça m'a rendu heureuse de lui plaire.
Elle a redressé la tête, me demandant du regard un dernier accord. Mes gémissements l'ont convaincu, et tout s'est passé si naturellement. Comme si nous n'avions jamais cessé de nous voir. Les caresses de ma Belle autrefois si violente, jouissant de ma douleur. Était ce soir là, d'une douceur qui surpassais toute mes espérance. Ne faire plus qu'un avec elle, soulagea lentement les douleurs de mon coeur, faisant se relâcher mon corps, me donnant un plaisir grandissime.
C'est blottis contre elle, le visage dans le creux de son épaule, que je me réveil paisiblement. Mon corps semblent encore garder les traces de ses mains, me laissant cette sensation de chaleur qui font s'empourprer mes joues.
Elle porte une cigarette rose à la bouche, inspirant de longue taffe de fumée.
"Salut. Je lâche en ne cessant de la regarder.
Elle tourne alors la tête vers moi, me souriant.
- Salut."
Elle regarde la cigarette dans sa main, fonçant les sourcils en me regardant de nouveau. Elle porte un air inquièt, la rendant absolument charmante.
Je viens alors m'asseoir sur son ventre, venant lui prendre l'objet logé entre ses doigts."Soit tranquille. Je ne te dirai rien pour ça."
Je souris en venant tirer sur la cigarette, gardant la fumé dans ma bouche après en avoir inspiré un peu. Je me penche, rapprochant ma bouche à quelques centimètres de celle de Dashi. Je souffle alors lentement la fumée, ma belle l'aspirant avec un large sourire, me laissant voir ses dents du bonheur, ce qui la rends si mignonne.
"Je ne suis pas mieux." Je ris doucement, avant de venir me blottir contre elle.
Ma belle se lève, passant rapidement son t-shirt et sa culotte avant de se rendre à la cuisine rendre un verre d'eau. Je reste allonger, m'enrobant dans les draps, inspirant longuement l'odeur laissé par Dashi. Un bruit sourd me fais sursauter. Je me lève rapidement, passant la veste laisse sur le sol par ma Belle, manquant de trébucher en enfilant un boxer. J'arrive dans la cuisine juste à temps, Lluri ayant plaqué Dashi au mur, la tenant fermement par le cou. Je me glisse derrière mon ami, passant un couteau de cuisine sur sa gorge."Lâche la de suite. Je grince, les mâchoires serré.
- Qu'est-ce que cette camé fou ici ?
- Et toi Lluri ? Tu as déménagé je te rappel.
Le garçon lâche sa proie, et je m'empresse de venir la soutenir.
- Tu me dévoile Esmée. Après ce qu'elle t'as fais, tu reviens vers elle ?
- Mes choix ne te concernent pas malheureusement."
Prenant sa main, je tire Dashi pour nous réfugier dans ma chambre. On s'habille, étant l'heure de nous quitter. On s'assoit sur les escaliers du peron, les mains liées. On sais autant lune que l'autre que cette nuit ne signifiait rien.
"Tu vas faire quoi maintenant ? Je demande en souriant, lui passant ma cigarette.
- J'ai réaménagé mon appartement, j'ai trouvé du travail de nuit. Je commence ma formation la semaine prochaine. Enfin c'est uniquement pour avoir l'argent nécessaire afin de realiser mon projet.Mon sourire s'élargit, venant chatouiller mes oreilles.
- Tu reprends l'idée de monter ta boutique ?
- Et oui." Elle ris doucement face à mon anthousiasme.
Un long silence s'installe, où seul le rare crissement des braises et de nos souffles animes cette belle matinée.
Dashi, viens jouer avec mes cheveux glissant ses doigts en riant sur mon cou."Qu'est-ce qu'il y a ? Je demande inquiète.
- Rien rien. J'ai juste d'eu y allait un peu trop fort. J'avais oublié que ta peau marqué vite. Ho, au fait. Je suis triste de remarquer que Lluri m'en veux toujours autant.- Faus croire." Je soupire, étant bien trop épuisé pour forcer Dashi à parler.
On refera alors le monde sur ce perron, durant une bonne demie heure, avant que Dashi ne s'en aille après m'avoir embrassé sans que je m'y attende.
Une fois rentré dans le petit appartement, j'aperçois Adrien déjà levé malgré l'heure matinale."Hé bien ! Motivé ? Je souris.
- Carrément ! On a un nouvel arrivant qui devrais arrivé dans le mois. Donc il faut être au top ! Et qui sais, peut être que c'est une fille. Il jubile, trepignant d'impatience. Ça serai cool une fille dans l'équipe !
- Et moi ? Je compte pas ? Je ris doucement.
- Toi ? Non tu ne compte pas ! T'aime les filles au cas où que tu l'ai oublié. Donc tu ne m'intéresse pas. Il ris à son tour, venant m'ébouriffer les cheveux.
- Mais c'est vrai qu'une fille serai intéressante. Je ricane.
- Ha toi la prédateur, ça suffit ! Je peux jamais flirter lorsque tu es dans les parages. Tu les attire toute ! Alors calme tes hormones tu veux. Il lâche en venant ebouriffer ma crinière.
Maxens entre dans l'appartement les bras chargé d'un énorme sac qu'il peine à traîner.
- De l'aide ? Je demande.
- Non ça ira. Je veux pas risquer que vous voyez vos nouveau jouet ! Il me souris. Par contre, ça tombe bien que tu sois là, cette semaine on va passer à la vitesse supérieur concernant les entraînements chaque soir on se retrouve sur leur territoire, et on s'entraînera là bas.
- Horaire ?
- 22h22 au bar à l'entrée du premier quartier.
- Compte sur moi." Je lâche avant de sauter par la fenêtre.
Quelques choses me dit que les semaines avenir risque d'être tendues.
Mais fortement amusante ! Et en vue des émotions qui me torture déjà la tête et le cœur, je vais avoir besoin de les refouler dans la distraction.
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The Mercenary
General FictionDu temps de sommeil, deviens un moyen de gagner sa vie. Terrifier, blesser, frapper... À 18 ans, voilà ce qu'est mon métier. La peur est un sentiment que je ne connais guère, et la mort est l'une de mes confrères.