PARTIE 27

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COUP DU SORT PARTIE 27

Atteignant les sommets, allongés sur le dos, nous fixions le plafond. Au bout de quelques minutes, il se pencha sur moi, les yeux très brillants me caressant le visage…
_ Merci beaucoup ma chérie, je te dois beaucoup tellement beaucoup. J’ai été con très con de t’avoir ignoré ces derniers temps….
_ N’en parlons plus tout ce que je souhaite c’est voir toujours ce beau visage
_ Je te promets que ce visage tu le verras tous les jours. Je veux que tu fasses quelque chose pour moi ?
_ Tout ce que tu veux ….
_ Je veux que tu restes auprès de moi, j’espère que tu ne veux pas  me quitter pour rentrer
_ Je te promets de toujours rester à tes cotés qu’importe ce qui arrivera. Mais Amdy a déjà changé mon billet alors je ne peux lui demander encore de le changer à nouveau ça ne se fait pas  ….
_ Hey ton mari est là. Cathy je suis ton mari alors rien que pour toi je brulerai tous mes biens s’il le faut. Je suis à toi, tout comme tout ce que je possède. Alors tu resteras avec moi et je changerai ton billet. Et dès ta majorité si Dieu le veut tu viendras habiter avec moi. En retour je te promets de ne jamais te laisser tomber qu’importe ce qui arrivera !!!
Lorsque Talla voulu l’amener sous la douche Cathy lui demanda quelques minutes seule. Il était tôt pour elle de franchir ce cap. Se remettant difficilement sur pied, elle eut d’avoir mouillée tout le lit. Malgré qu’elle changea de drap, le matelas avait aspiré l’humidité. C’est en boitant qu’elle alla chercher des serviettes à éponge pour l’étaler sur le lit pour y détaler un drap. Assise sur une chaise, une douleur allant de son bas ventre à ses cuisses l’envahit. Les bras sur le ventre, la tête sur les genoux, c’est dans cette position que Talla la retrouva.
Ce dernier dans la douche ne pouvait s’empêcher de sourire bêtement. Il était heureux, comblé, épanouie. Déjà il aimait sa femme, cette dernière l’aimait en retour, l’avait pardonné, était très belle avec un corps de rêve, un cœur pur et comme si ce n’était pas suffisant la voilà qui était une femme fontaine. Il en avait couché avec des femmes à l’université mais jamais il ne rencontra une femme de genre. Lorsque sa femme eut sa première éjaculation, il fit tout autant surprit qu’-elle.
Quand cette dernière voulu s’enfuir il avait retenu pour le rassurer par ses gestes tendres. Sa femme avait un corps extraordinaire, presqu’à chaque touchée de sa part, elle lâcha des longues giclées les unes aussi abondantes que les autres.
_ Non Talla dal gua thii (tu as eu le gros lot) ne put il s’empêcher de dire dans la salle de bain. Avec une telle femme jamais il ne la quittera, jamais il ne la laissera, jamais elle ne lui échapperait. Même si Cathy le châtiait à chaque moment, il resterait toujours à ses côtés. Ce bonheur, l’extase qu’elle lui procurait valait toutes les peines et douleurs du monde. Si Cathy n’a pas voulu le rejoindre, il se douta que sa timidité légendaire y était pour quelque chose. Il fallait vraiment qu’il y remédie. S’il ne lui avait pas dit qu’elle était une femme fontaine pour la rassurer après son air apeurée c’était pour ne pas la brusquer. Il espérait qu’elle comprenne par ses gestes. Cette femme représentait un trésor inestimable qu’il protégerait et chérirait à tout prix. Cette lady était le paradis pour lui.
Dès qu’il la vue dans cette position essayant d’étouffer un sanglot son cœur rata un battement. Décidément, cette femme il avait dans la peau. Il s’accroupit devant elle lui relevant doucement la tête.
_  Paradise l’appela-il doucement qu’est-ce que tu as ?
_ J’ai mal je ne peux plus me lever …
_ Ou as-tu mal ?
_ Toute cette partie dit-elle en reniflant
_ Allez accroche toi à moi je vais t’aider à prendre un bain
Elle commença à faire non de la tête….
_ Hey si tu es dans cet état c’est à cause de moi lui sourit-il par un clin d’œil.
Debout sous la chasse, il laissa l’eau s’échapper sur elle lui savonnant le corps. Contrôlant difficile son corps, à chaque fois qu’il effleurait l’intimité de son épouse, elle soupirait de douleur ce qui lui fit abandonner tout tentative.  L’enveloppant dans une serviette, il l’amena se coucher pour ouvrir sa valise et lui cherchait un slip à mettre. Ce qui s’avéra mission impossible dès le contact du tissu sur son intimité elle sautilla avant que son mari ne court l’enlever. Au lit, elle n’eut peu de répit que lorsque Talla s’endormit en laissant sa main entre ses cuisses pour l’apaiser……
Le soleil levant passant sous les volets réveilla Talla, immensément heureux de la proximité de son épouse déjà chère aimée, plutôt obéissante, douce et merveilleux sextoy lui dicta instinctivement sa conscience sans préjuger. Après tout il n’était qu’un homme. Elle bougea un peu mais dormit encore. Il resta encore une vingtaine de minutes avant d’entendre la respiration de madame Diop changer. N’y tenant presque plus, il se plaça doucement au-dessus d’elle, admirant son visage. Avec son édification matinale, il parcourut l’intimité de sa femme dénudée. Lorsqu’elle commença à tressaillir, alors impatient supposant qu’elle était suffisamment réveillée, il s’infiltra en elle sans brutalité.
En plein sommeil, Cathy sentit son ventre se comprimé, puis la désorientation….. Elle se réveilla en comprenant qu’elle est en train de pisser comme elle le croyait ! Mais en réalité elle éjaculait faisant le bonheur de son mari.  Elle ouvrit les yeux avec une brusque frayeur pour prendre conscience que son mari était en elle actif et bien réveillé : son mari qu’elle était en train d’inonder ! Elle pleura de honte mélangée à du plaisir mais ne put s’empêcher de cesser d’uriner. Même si elle le voulait, elle n’aurait pas pu car elle n’était plus maitresse de son corps.
Talla ressentant très bien les jets vifs et brulants qui titillaient son ventre, son mini lui, rebondissant partout sur le lit mais ne s’en offusqua pas. Au contraire il avait atteint le summum de l’excitation et du plaisir. Heureux il était au plus haut point  d’être littéralement dans l’intimité de la femme de sa vie, sa fontaine personnelle : il était satisfait.
Plus ses mouvements se doublaient, plus les jets s’enchainaient. Sa prostate s’enflamma  comme un séisme pour lui avant d’envoyer tout le meilleur de lui-même pour s’effondre sur la flaque laissée par sa femme.
Cathy encore plus honteuse, haletait aussi mais s’en était pas fini pour elle. Malgré que Talla ne touche plus, elle  sentit une marée de plaisir monter en elle, faisant trembler tout son corps alertant au passage la curiosité de Talla qui s’intéressa grandement au spectacle rare qui s’offrait à lui. Comme un pistolet à eau, sa femme laissa échapper plusieurs jets abondants, les larmes aux yeux hurlant de plaisir.
Cathy encore plus confuse, considérant qu’elle ne pourrait être plus sale qu’actuellement  regarda Talla comme pour voir si elle l’a dégouté. A la place du dégout elle vu de l’amour.
_ Je t’aime lui déclara ce dernier comme s’il lisait ses craintes tu regrettes lui demanda-t-il ?
_ Je ne regrette pas du tout c’était vraiment génial mais il ne faut pas que ça se reproduise…..
_ Et pourquoi ? Tu es ma femme, ma chérie, mon cœur, mon Paradise…….
_ lol arrête j’ai honte
_ Tu n’as pas à l’être je suis ton mari. Si tu as aimé et que moi j’ai sur adoré aussi pourquoi faudrait-il arrêter ….
_ J’ai trop mal Talla et Aida rentre aujourd’hui regarde l’état de ce lit…
_ Quelle peureuse ! La douleur va s’estomper. Mais ça ira plus vite si nous le faisons tout le temps
_ Tout le temps ? S’effraya son épouse
_ Sinon si tu veux souffrir on le fera donc qu’une fois par jour
_ Je ne pourrai pas Talla je te jure que j’ai mal si j’étais à la maison Badiène serait quoi faire ….
_ Tu veux que je l’appelle ?
_ Non ne l’inquiète pas je vais prendre des calmants et tu me feras des massages
_ Oui bien je te masserai comme personne …
_ Talla juste des massages …
_Tu es matinale après cette nuit j’aurais pensé que tu dormirais tard
_ Comment pourrais-je dormir avec toi qui m’en empêche ?
_ Tu n’as pas intérêt à me toucher le restant de cette journée ici
_ Ne t’en fait pas nous allons rentrer et chez nous dinala la lale bagua youhou wate (je te toucherai jusqu’à ce que tu cris encore)….
Talla pleins de ressources après avoir pris un bain avec sa femme lui massa tout le corps. Sous les ordres de celles-ci il mit les draps à la machine pour prendre un aspirateur dans l’espoir de sécher le matelas. Ce qui eut don de marcher. Ils restèrent là-bas pour vider les repas surgelés d’Aida. Le soir ils regardaient tranquillement un film en amoureux avant que la porte ne s’ouvre sur leurs amis. 
_ Mais que fait encore celle-ci ici ? Sembla s’offusquer Aida
Amdy : Ne me dit pas que tu as raté ton vol ? Et toi n’es-tu pas en convalescence pour porter cette grande fille sur toi ?
Talla : Oh le couple Thiam, foutez nous la paix ! Comme vous l’avez vu ma femme n’est pas partie car son séjour n’est pas encore terminer point. Ça été chez tes beaux-parents ?
Amdy : Oui ma belle-mère te demande de passer avec ta femme seule oncle Tapha la vue à l’hôpital.
Talla : Ils ne la verront pas pour le moment
Aida : Pourquoi ?
Talla : Parce que nous sommes en lune de miel
Aida : Laisse l’enfant souffler en plus que fais-tu là jusqu’à présent
Talla : Tu mets dehors ?
Aida : Oui
Talla : Paradise rentrons chez nous tu as entendu……….
Amdy : Comment l’as-tu appelé ? Paradise
Talla : Oui moy sama Adiana (oui c’est elle mon paradis) 
Aida : Ici il y’a quelqu’une qui a perdu sa langue on dirait. Hey lève-toi j’ai quelque chose à te montrer
Cathy en se relevant manquant de sautiller pour marcher maladroitement. Sur le coup le couple Thiam sut que Talla ne lui avait pas laissé de répit. Dans sa chambre, Aida lui fit les gros yeux du genre raconte :
_ On s’est réconcilié admit Cathy timidement
_ Je vois ça, il n’y est pas allé de main morte tu marches à peine. Maintenant c’est à toi de jouer. Fait lui perdre la tête mais occupe-toi bien de lui. Tu as de la chance car tu as un bon mari. Ne laisse pas les gens s’interférait dans ton ménage. Fais de Talla, ton ami, ton frère, ton père, ta mère. Ne lui cache rien du tout. J’ai un sale caractère dès fois mais si je m’en sors avec Amdy c’est parce qu’on se dit tout. Comme je te le disais aide ton mari dans ses finances aide le à aider mais pas à gaspiller aide à épargner. 
_ Je le ferai ….
_ Et surtout n’ait plus honte de ton mari dis-lui ce que tu veux, fais ce que tu veux devant lui. C’est que je ne te veux plus te voir ici mais je te renvoie chez toi pour la bonne cause. Tu vas prendre tes affaires et rentrer avec ton mari.
_ Je comprends ….
_ Tient lui dit en lui remettant sa valise
_ Mais …
_ Oh je sais que c’était pour toi à la base car sinon tu me l’aurais offert dès ton arrivée tu ne pensais pas te réconcilier avec ton mari pour me donner ça
_ Tu n’as pas tort mais un cadeau est cadeau je ne peux le reprendre
_ J’en ai pris quelques-uns et Amdy adore alors fais en profiter à ton mari avant que tu ne rentres au pays….
_  Talla me tuera alors je ne veux pas qu’il me touche j’ai trop mal
_ Tu vas avoir plus mal quand je t’aurais frappé. Alors pourquoi penses-tu que les gens se marient ? Si ce n’était que pour manger s’habiller et dormir alors chacun resterait chez ses parents. Allez maintenant vas te préparer !
Durant ce temps Amdy charriait son jumeau sur sa vie de couple. Ce sourire qu’il avait toujours au visage. Et dès qu’il énonçait le nom de Cathy, ses yeux se brillaient.
_ Maintenant ne merde plus. Ta femme est jeune malgré ça tu connais les femmes elles peuvent être très immatures dès fois mais c’est à toi de la comprendre. Même quand tu veux lui reprocher quelque chose fait le priver, élève toujours ta femme devant les autres.
_ Mon frère lolou Diaroul wakh sama Paradise rek dama koy sama Bou bakh nii diamant (tu n’as pas à me le dire, mon Paradise je la garderai comme du diamant)  
_ Cette femme t’a piqué mec
_ Tu n’as pas idée elle m’a trucidée comme personne. Je lui appartiens déjà c’est signé et classé. 
_ Boy yakougua (tu es fini)
_ Si je fini avec Cathy je n’en serai qu’heureux Wallah j’aurais une fin heureuse ….
_ J’espère qu’Aida n’est pas en train de lui monter la tête
_ Pourquoi ?
_ Boy Aida ne me laisse aucun répit, on dirait que c’est elle mon gestionnaire de compte mais au moins elle m’aide beaucoup. Mon frère si tu as une bonne femme elle t’aidera avec tes finances alors demande conseil de ce côté. 
_ Boy je veux trouver une maison ici pour y amener Cathy dès sa majorité si Dieu le veut. Je la veux près de moi 24h/ 24
_ Ce qu’elle t’a fait gouter est grave …
_ Rien de ce que ta femme ne t’a pas fait gouté
_ Salaud ….
_ Saf sap la deff douma meussa doyal thii mome (elle est trop bonne je n’aurai jamais assez d’elle)
_ Comment vas-tu faire quand elle rentrera alors ?
_ Sérieusement j’aimerai trop y aller avec elle
_ C’est impossible
_ Au travail ils savent que t’es déjà sortie de l’hôpital donc tu n’as qu’un mois pour ta convalescence quand Cathy rentrera tu reprendras…
_ Je n’y avais pas pensé
: Bon ta femme est là prend ses bagages et ouste 
Talla : Tu ne me le diras pas deux fois
Amdy : Mais attendez de manger d’abord
Cathy : Merci Amdy nous avons déjà mangé
Aida : Cathy après je t’appellerai maintenant que ton mari va mieux on ira faire les boutiques et découvrir la ville…
Talla : Non merci nous serons très occupés au revoir
Aida : Tu as de la chance de m’avoir promis un homonyme
Amdy : Bébé Talla promet à tout le monde un homonyme
Aida : Alors ils n’ont qu’à se mettre au boulot pour tenir leurs promesses….

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