Ma bouche s'écrase contre celle de ma journaliste. Je l'entraîne dans la chambre, la retourne face au lit, plaque mon érection contre ses fesses que je dénude en remontant sa robe. Pendant que mes lèvres savourent la peau frémissante de son cou, mes mains parcourent les courbes de son corps. Ses seins durcissent, pointent à travers le tissu. Son souffle accélère en même temps que les ondulations timides de son bassin contre mon excitation lorsque j'effleure son entrejambe. Elle est docile, peu entreprenante malgré son état liquide. Je dégoupille tout seul. Ma belle, il me faut un peu plus d'action, sinon je vais m'endormir. Va tester un peu les ressorts de mon matelas.
En quelques gestes rapides, je la débarrasse de ses vêtements et la pousse vers l'avant. Elle s'étale à plat ventre sur le lit en poussant un cri. Putain, quel cul ! Elle n'a pas le temps de réagir que je m'empare de ses hanches et les soulève, l'obligeant à se mettre à quatre pattes. Cramponnée aux draps, elle gémit. Je prends un préservatif dans ma poche, laisse tomber mon bas de jogging et fais glisser ma queue entre ses fesses.
— jaylie...
Son postérieur gigote, ce qui me rend dingue. J'enfile la capote et m'immisce entre ses cuisses trempées. Sa tête se relève, je referme mon poing dans ses cheveux.
— Jaylie, putain, arrête !
— Hein ? Quoi ? Tu délires ?
Impossible d'effectuer un freinage d'urgence ! Je tire sur sa chevelure et accompagne sa cambrure forcée d'un coup de reins, lui laissant deviner mes projets pour elle.
— jaylie, stop !
Je me fige comme un con, ma bite palpitant contre les lèvres de son sexe. Putain, elle peut pas me laisser comme ça.
— Je ne suis... pas fan de cette position. Je préfère qu'on change.
— Pardon ?
Toujours à quatre pattes et le cul en l'air, elle tourne légèrement la tête vers moi.
— Oui... j'aime pas. Je trouve ça dégradant. Je ne te connais pas suffisamment pour...
— Sine, je te rassure tout de suite, je vais pas t'enculer. Ça s'appelle une levrette.
Elle se rassied face à moi en évitant mon regard – ou plutôt la confrontation avec ma queue frustrée et érigée à hauteur de son visage. Mes yeux passent de sa bouche à sa paire de seins. Bordel, j'hésite entre une pipe et une branlette espagnole. Je me demande ce qu'elle trouverait le plus acceptable. C'est quoi, cette nana ? Je savais qu'il ne fallait pas que je remette ça avec elle. Elle me fait regretter mes call-girls.
— Je préfère qu'on reste classiques. Je... ne suis pas à l'aise.
Je toussote en me passant la main dans les cheveux.
— Crois-moi, la levrette fait partie des classiques. Je peux te montrer la brouette bulgare, là tu risques de trouver ça original.
Elle sourit. Mes muscles se détendent devant sa bouille de mignonne. Seul problème : ma bite entame sa descente. Elle se ramollit dans son emballage plastique. Jaylie, réagis, vite ! Va pour un missionnaire vite fait bien fait ! Pour la peine, ma jolie, t'auras rien de plus. Même si elle m'a cassé mon trip, je me penche sur elle en lui écartant les cuisses, rechope sa bouche en l'obligeant à s'allonger. Je la surplombe et reprends des forces entre ses jambes ouvertes. Elle gémit contre ma langue lorsque je m'engouffre brutalement en elle.
Mes va-et-vient accélèrent, sa respiration se casse à mon oreille. Je ralentis la cadence, me satisfais de ses plaintes, de la crispation de ses muscles, puis renforce de nouveau mes coups de reins. Nous sommes tous les deux proches de l'orgasme quand je sursaute et m'arrête net en sentant un poids sur mon dos. Des aiguilles traversent ma peau. Ma belle noire s'excite toute seule et ondule, ses paumes plaquées sur mes fesses contractées.
— jaylie, ne t'arrête pas...
— Sine, qu'est que j'ai dans le dos ?
J'ose espérer que ce n'est pas ce que je pense. Essoufflée, elle mate derrière moi.
— C'est rien. C'est Caramel...
J'y crois pas ! Ce connard de chat est tranquillement assis sur mes dorsaux pendant que je fais des pompes sur sa maîtresse. Je me redresse brutalement. La bestiole vole à travers la pièce en couinant. Putain, l'espérance de vie de Caramel se réduit à chaque fois que je le croise. Je lui donne pas une semaine avant d'être épinglé au mur. Énervé, je me reconcentre sur Sine, alanguie, attendant son décollage.
Accroche-toi, ma jolie. J'ai besoin de décharger et d'en finir rapidement avec cette journée de merde.
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Jaylie murder&sex[En ECriture]
Детектив / ТриллерJaylie .ok, je vous l'accorde c'est bizarre comme prénom pour un mec. Mais pour toute réclamation ,adressez-vous à ma génitrice ,vous allez voir,elle est charmante. Que dire sur moi? Je suis flic à la brigade de répression du proxénétisme ,j'ai un...