Je sens couler les larmes sur mon visage et me fend d'un sourire. Je dois vraiment être hors du commun pour réussir à faire ça naturellement, c'est probablement un don. Assis sur mon lit, je laisse Julie rentrer dans la pièce, pour lui laisser tout le temps de comprendre l'ampleur des répercutions de ses actions. Elle ne m'a jamais vu pleuré jusque là, j'y ais veillé, ce qui est plutôt logique, je ne pleure jamais réellement. Cela accentuera encore sa réaction... Je me tourne lentement vers elle. Sophia. Passé la surprise, je me ressaisis, espérant qu'elle n'est pas vu que je jouais la comédie... En y réfléchissant, c'est encore mieux que ce soit elle.
Je sais exactement comment cette fille marche, il suffit de lui donner un peu pitié et toutes ses défenses cèdent. Je la connais comme ma poche, et rien qu'avec un petit sourire triste ainsi qu'un geste désinvolte de la main j'arrive à la faire s'asseoir à côté de moi...sur mon lit.
- Qu'est ce qui ne va pas ?
Elle s'est exprimée d'une voix calme, innocente, telle une caresse sur mes oreilles. Je réfléchis à la meilleure réponse à lui servir pour qu'elle vienne rapidement à un contact physique et trouve la réponse facilement, comme toujours, ce qui la retient plus ou moins, c'est ma relation avec Julie :
- Rien, c'est juste... Je ne sais plus trop où j'en suis avec Julie.
J'ai essayé de prendre une voix cassée, espérons que ça fera mouche...
- Je comprends ça.
Yes, j'ai marqué un point, il est temps de passer à une approche moins subtile.Je la fixe de mon regard qui je le sais ne la laisse pas indifférente. Elle doit être en train de s'imaginer qu'elle est importante pour moi, que sa présence ne me laisse pas indifférent... Elle est tellement prévisible ! Je me penche vers elle et l'embrasse. Comme je l'avais deviné aisément, elle se laisse faire et nous basculons pleinement sur le lit. J'insère ma langue dans sa bouche et j'ai définitivement l'impression d'avoir été avec elle toute ma vie, tellement nos corps s'épousent parfaitement et naturellement. Je défais ma chemise et fais aller mon bassin lentement près du sien, je sais que ça lui fait de l'effet, je le vois dans ces yeux. J'enlève son t-shirt tout en faisant aller mes doigts un peu partout sur son corps, de façon à la distraire. Elle me laisse faire, je passe donc à la vitesse supérieure : tout en continuant à la caresser de partout, je dégrafe difficilement son soutien gorge. J'essaye de me concentrer sur autre chose quelques instants, m'attendant à sa réaction. Rien ne vient. Bordel, elle répond enfin à mes attentes !
- Marc, je ne vais pas plus loin.
Je connais la voix qu'elle emploie actuellement, c'est la voix de tous les enfants quand leur père les chatouilles et qu'ils crient "arrête" alors qu'en réalité, ils pensent "continue". C'est donc avec un petit rire que j'embrasse sa machoire, descendant dans son coup. Il y a la place pour un beau suçon, juste ici. Je commence à aspirer légèrement, quand soudain, je la sens qui se crispe et elle s'échappe, se dirigeant vers la porte :
- Désolé Marc, c'est mieux pour nous !
Elle a chuchoté sa phrase, je me demande tout d'abord pourquoi, avant de comprendre que c'est du à la présence à proximité de Jacob et Anthony. Elle ne veut pas qu'ils sachent, elle a honte de son plaisir coupable, ce qui veut dire qu'elle ressent du désir, pour notre situation, même si elle ne sait pas encore. Un peu de domination ne fera pas de mal pour qu'elle comprenne les possibilités qui s'ouvrent à elle, je rejoint sa position en quelques pas à peine, l'attrape par les épaules et la jette sur le lit. Je ferme doucement la porte à clefs, profitant de chaque secondes d'excitation que la situation me procure. Je me tourne vers elle, et la voir dans cet état d'incompréhension, mais, je le sais, également au fond d'elle, d'envie, me fait bander de façon incroyable.Je pense que tout simplement elle aime être soumise, ses réactions et son envie que je prenne le dessus de tout à l'heure le prouve clairement.
- Marc...
Elle a à peine prononcé mon nom, mais je considère ça comme un acte de rébellion suffisant, c'est d'ailleurs pour ça qu'elle l'a fait, j'en suis sûr. Je ne peux pas laisser ça passer et la frappe en pleine machoire. Je n'y ais pas été de main morte, mais c'est ce qu'elle veut. Je me dépêche d'enlever son jean, elle se tortille dedans, tant son empressement est grand et je le jette à l'autre bout de la pièce une fois enlevé. Elle ne réagit pas énormément, j'en déduis, clairement à raison, qu'elle prend conscience de son envie de moi, de mon corps contre le sien. Je mets ma tête entre ses jambes et mordille le tissu de sa culotte. Soudain, un coup m'est asséné. Je recule, bouche bée. Je ne m'attendais pas à une telle opposition, elle est décidément folle ! Je ne peux pas laisser passer ça, et je m'approche d'elle rapidement, ne sachant pas comment réagir à son attaque. C'est alors que je la vois inspirer fortement, comme pour appeler à l'aide. Il n'en est pas question, je lui donne un coup de tête et touche son nez par l'occasion. Je crois commencer à comprendre le délire dans lequel elle est partie. Elle pousse un peu loin les bases de soumission et domination... Je peux comprendre ça venant d'une personne aussi inexpérimentée qu'elle.Je baisse rapidement sa culotte, sans même prendre la peine de la retirer, si elle veut du brutal elle va en avoir. J'enfonce directement deux doigts en elle, sans prendre le temps de préparer leurs venus. Ce n'étais pas si compliqué au final, elle a finit par perdre ses airs de Sainte Nitouche ! Je continue mes mouvements en elle, mais elle paraît lointaine, comme si elle n'était pas complètement concentrée sur le moment que nous partageons actuellement, je la comprends, il n'y a que moi qui donne du plaisir, c'est pour l'instant, de mon côté, plus un calvaire, cela ne m'apporte rien mis à part l'excitation. Je me retire d'elle et déboutonne mon pantalon. Je vois qu'elle l'a entendu et me rapproche d'elle. Elle a le nez en sang et regarde fixement ma bite. Je lis clairement du désir dans ses yeux. Je m'approche près d'elle et lui ordonne :
- Suce.
Elle s'exécute, le touchant du bout des lèvres. Elle ne va pas commencer à hésiter maintenant quand même ! Jusque là tout était globalement parfait, il ne faut pas qu'elle ruine ce moment. J'attrape sa tête et lui enfonce mon sexe dans la bouche, profondément. Cela me fait un bien fou, et elle commence ses mouvement avec sa bouche. Voila qu'elle est entreprenante, quand soudain, elle me mord violemment la queue.Je commence à pousser un cri que je contrôle au dernier moment. Heureusement, il serait dommage que les autres nous surprennent maintenant. Cette fois, c'en est trop. Je la fixe durement dans les yeux, histoire qu'elle comprenne qu'elle a été trop loin, je me dirige vers elle en boitant un peu sous le coup de la douleur. Elle semble se rétracter sur elle même, assumant les conséquences de ses actes. Bien, c'est une bonne chose, je vais la prendre sans capotes, je ne vais pas gaspiller un seul euro en préservatifs pour elle, je le jure. Et tant pis pour les conséquences. Rien que l'idée de mettre en cloque cette chienne galeuse me réjouit. La vision de son père démunit me fait me marrer. J'arrive à son niveau. Elle se retourne et me frappe violemment dans les couilles. Jamais je n'ai connu une telle douleur et ma vue se brouille horriblement. Je m'évanouis en tombant sur le lit.
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|Le Choix|
Mystery / Thriller5 amis partent quelques jours en vacances dans une maison à la campagne, loin de tout. Ce qu'ils vont vivre et le choix qu'ils vont devoir faire va défier tout ce qu'ils ont pu croire jusque là.