Figé tel une statut ,Aléa sentait les lèvres douces du cheikh se poser sur les sienne ,et à ce moment là elle sentie son coeur s'enflammer à tel point qu'elle cru qu'il aller se désintégrer, ne bougeant pas d'un cils elle ferma les yeux et fut submergé d'une agréable sensation qu'elle n'avait encore jamais connue, mais sa conscience se matérialisa et les regrets firent leur apparition, elle se rappela alors que le souverain avez déjà une femme et une enfant, elle ne se voyait pas détruire ou altérer une tel union alors elle s'aracha de ses lèvres envoûtante ,tourna la poignet et toujours dos à la porte sortie et commença à courir. Anwar n'y comprenais rien il l'avais senti qu'elle avait apprécier le baiser, qu'elle y avait même répondu en mouvant timidement ses lèvres, sur le moment et vu la façon maladroite avec laquel elle le faisait il avait même cru que c'était son premier mais cela était impossible, car elle était bien trop belle pour ne jamais avoir eu de relation et comme d'habitude cette aveu intérieur le rendu furieu, il alla donc à sa poursuite en courant comme elle l'avait fait .
Arriver à la porte de la chambre d'Alea il poussa la porte mais celle ci était fermé, alors il commença à taper dessus et dit :"ouvrez cet porte tout de suite mademoiselle "
Aléa quant à elle était recroquevillée sur elle même dans un des coins de la chambre à se balancer d'avant en arrière à se répéter que se qu'ils avaient fait précédemment était très mal et qu'il fallait absolument qu'elle quitte l'endroit. Elle entendait le roi lui dire d'ouvrir mais ne le fit pas.
Hurlant à plein poumon et ne la voyant pas céder à sa requête, il se dirigea vers son bureau pris le double des clés de sa chambre et y retourna.
En arrivant il tourna la clé et pénétra la chambre, il constata que les rideaux était fermer ,mais il vi dans un coin une masse fesant penser que c'etait elle ,alors il avança ,s'agenouilla et posa sa main sur sa chevelure d'or se contacte la fit frémir puis relever la tête.
En la voyant dans un tel état il ne regreta qu'à moitié son acte, car en vérité il avait adorer, mais en ses yeux bouffi qui laisser dire qu'elle avait pleuré ,imprégna leur baiser d'un arrière goût amère ,alors posément il retira sa main de sa tignasse qui l'obsseder depuis deux jour et dit dans un murmure à peine audible ,mais vue le silence regnant dans la chambre fut entendu par la belle jeune femme:"Aléa, pourquoi t'être enfuit ?
Son prénom il l'avait pronocè tel une mélodie, rien que ça avait fait frissonner son être entier alors quand il l'a tutoya c'était une toute autre histoire, comment se fait il qu'il la tutoie se dit elle .
Et comme si il avait lu dans ces penser, il dit :"je croi qu'après se qu'il vient de se passer, le tutoiement est de rigueur "
A la fin de sa phrase il vit les joue d'aller prendre la teinte delicieuse qu'il adorer tant ,mais se qu'elle lui annonça le fit changer radicalement d'humeur :"je vais m'en aller "ses quelques mots eurent sur lui un impact fulgurant tel un éclair s'abattant sur son être, il répondit en élevant la voie :"il n'en est pas question"
Aléa ne comprit pas pourquoi ne voulait il pas la laisser s'en aller ,et l'evidence lui vint à l'esprit, sa fille bien sûre se dit elle.
Pour elle le problème était donc régler et elle dit :"même si je m'en vais je serai toujours apte à l'aider, cela est contraire à mes principes "
Anwar l'écouta mais ne voulu pas céder à son désire de s'en aller :"tu ne va nulle par ,tu à signer un contrat t'en souviens tu "dit il sournoisement
Aléa se rappela donc le jour où elle avait était convoqué cher le directeur, ainsi les papiers qu'elle avait signer l'obliger à rester ici, elle se maudit de ne pas avoir lu le contrat dans sa totalité et de ne pas avoir fait attention à la close qui stipule quelle est enchaîné à cet endroit jusqu'à se que la princesse soit remise sur pied.
Anwar trouva dans l'état de sa fille une raison de garder Aléa près de lui, il savais que l'utiliser n'était pas loyale et ne concorder pas avec ses principes mais se bout de papier était la seul pression qu'il avait sur elle, sinon même étant roi et elle étrangère elle pouvait faire appelle à sa nation pour la rapatrier, mais elle ne semblait pas savoir cela alors il profiterai de cela pour qu'elle reste.
-Alea détruite par se que venait de lui dire le cheikh dit doucement :"votre altesse je vous promet de faire mon possible pour que votre fille s'en remette, mais je vous implore de me laisser partir chez moi, je ne suis qu'à quelques heures d'ici je ferai l'aller retour si il le faut "
Le cheikh lui releva la tête afin de contempler son regard maron et dit :"ma décision est prise, vous restez "
Elle retira son menton de sa prise et dit :"vous m'avais piéger "
Il se releva alla vers la porte et dit :"j'obtiens toujours se que je veux Alea "et avant de sortir il dit :" je ne vous plu que tu m'appelles votre altesse, dorénavant sa sera Anwar, tâche de t'en souvenir " puis il refera la porte et la laissa seul dans l'obscurité .
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une mystérieuse inconnue (la Rose Blanche) Terminé
RomanceAléna , jeune femme de 23 ans ,se voit contrainte de quitter son pays, suite à la mort de son père qui laissa derrière lui des dettes, et une belle mère dont les intentions sont plus que malveillante vis à vis de la belle. en effet ,celle ci à pour...