une mystérieuse inconnue (la Rose Blanche) Terminé

chapitre 47

Le lendemain

Aléa émergea doucement de son sommeil agréable, et alors qu'elle allai se lever un bras entra dans son champs de vision l'agripant avec douceur par la taille couvant ainsi son ventre rond.

Elle essaya du mieu qu'elle pu pour se retourner et faire face à son bel homme qui bien sûre avait les yeux bien ouvert la détaillant avec une infini tendresse .
-bonjour murmura telle avec , des flashs de leur nuit passionné lui revenu, à cet évocation ses joues prirent cet teinte tant aimé par le souverain.
il pris son menton en coupe et déposa un baiser sur son front puis sur ses lèvres couleur cerise, la rapprochant de lui.
pour ne pas l'écraser de tout son poids ,elle mis ses petites main sur son large torse, remarquant cela, il relâcha quelques peu son emprise, haussa un sourcil d'amusement puis dit

:" crois tu vraiment que tu peu me faire mâle si jamais tu t'allonger sur moi ? "
La honte se teint sur son si beau visage ,elle resta silencieuse, jusqu'à se qu'il lui reprenne la parole :"si mes souvenirs son juste, hier je t'es porter jusqu'à notre chambre sans problème pui j'ai... "elle ne le laissa pas finir, et donc mis sa main sur la bouche du bel homme qui la retira immédiatement afin d'y déposer un baiser .
-mon amour croit tu vraiment, que tu est lourde à se point ?
Il la vit baisser la tête, signe qu'elle se sentait mâle a l'aise par rapport à son poid.
Il se releva donc s'appuyant à la tête du lit, sans pour autant la relâchée, et c'est sans s'en rendre compte, qu'elle se retrouva à califourchon sur lui.

- je te trouve encore plus belle que jamais dit il soudainement.
tu es de loin la femme enceinte la plus désirable que je n'est jamais vue, tes rondeurs ne font que me rendre encore plus fou de désir pour toi ,et puis tu porte mon enfant notre enfant, se petit être qui nous lie à jamais , tu es ma confidente, ma femme, ma reine, la mère de mon enfant et pour tout cela je t'en serai reconnais jusqu'à la fin des temps acheva t-il.
Ses paroles eurent sur Aléa un impact foudroyant ou point qu'elle se mis à pleurer à chaud larme ,des larmes de joie ,le coeur battant à tout rompre.

Anwar s'empressa de les retirer à l'aide de sa paume, tout en lui offrant un large sourire.
Elle colla son front à celui de son époux, souffla de soulagement puis dans un murmure le remercia, lui se contenta de rester silencieu sachant qu'elle n'avait pas fini de parler

:"merci d'être là pour moi, de m'aimer de m'avoir offert une nouvelle famille, de me combler, d'etre à mes côté "
Le cheikh à son tour fut atteint en plein coeur par les paroles de son épouse.

:"sa n'a pas était facile de te convaincre de me laisser une chance,hereusement que j'avais insister, sinon tu serai passer à côté d'un séduisant homme tel que moi qui puis est intelligent, drôle "dit il taquin.
Elle leva les yeux au ciel tout en lui tapant le torse, même en sachant qu'elle était aussi innofencif qu'une mouche :"vous avez fini votre majesté dit elle sachant qu'il avait toujours détester qu'elle l'appelle ainsi.

Il grogna dans sa barbe , puis sans cris égard la pencha d'un côté du lit, elle lacha un cris de surpris qui ressemblai plus à un miolement de chaton qu'à une vrai cris.
La dominant largement il dit :"madame à telle quelque chose à ajouter "
La voyant Ainsi sur leur lit, les cheveux éparpillés sur le coussin, les lèvres encore enflé par leur échanges matinale, la poitrine se relevant à chaque respiration, le ventre rond visible à travers sa nuisette, il se dit que si il ne l'avait jamais connu ,sa vie aurai était que fade et morose.
c'était devenue sa boussole, sa muse, elle était encré en lui ,dans sa peau ,sa tête et bien sûre son coeur.

Alea qui était sous lui, le vis changer d'expression devenant sérieux mais surtout absent comme si il songé à quelques chose ,.
et sans s'y attendre il déposa ses lèvre sur les sienne avec force lui coupant toute air ,puis un instant après il dit

:"je t'aime plus qu'il n'est permis d'aimer, si cela etait interdit cela ferai longtemps que je me serai damné, rien que pour passer une seconde à tes côtés. "
Elle lui souri, ému . Et c'est à se moment précis que leur enfant decida de faire son entré en donnant des coups, Anwar le resenti lui aussi,il s'écarta les yeux rond, Aléa éclata de rire ,pris la main de son mari la déposa sur son ventre,un coup fut ressenti.
-c.... Cest
-oui c'est lui ou elle dit elle en souriant.
Lui avait des étoiles plein les yeux, il remi sa main sur sa douce ,attendant impatient un nouveau coup .
-cest tellement étrange dit il
-au début oui mais je m'y suis faite au cours des mois dit elle sans réfléchir .
A l'entente de cela, Anwar retira sa main puis serra les poings, son humeur changeant du tout au tout passant du remord à la colère il se releva .
Il mis ces deux main sur sa tête puis dit avec colère :"j'aurai du être la ,j'aurai du moi aussi être au courant"
Aléa se releva Avec difficulté face au dires de son époux, puis dit tristement :"Anwar se n'est pas de ta faute se qui est arriver c'est.. "
-Non !!!  Aléa j'aurai du te protéger, j'ai failli à mon devoir .
Elle sursauta à sa voix grave. Lui ne le vis pas vue qu'il était de dos
Il se calma quelques peu puis dit dans un souffle rempli de culpabilité
-"si je ne t'avais pas retrouvé ,tu aurai donner naissance à notre enfant sans que tu ne saches de qui il était, tu serai rester chez tante Zara, ou pire encore tu aurai regagné ton pays sans que j ne le sache, et puis j'aurai vécu une vie de solitude alors que tu était toujours en vie .
Il se retourna lui faisant face puis dit
:"j'ai déjà perdu énormément de temps, et je veux le rattrapè, mais pour cela j'ai besoin que tu réponde à ma question "
La jeune femme était suspendu à ses lèvres, l'écoutant avec attention, et lorsque il lui demanda de répondre à sa question, elle eu le pressentiment que celle ci, aurai des conséquences soit positif soit au contraire désastreuse.

Le roi se rapprocha, pris ses joues entre ses mains ,ancra son regard dans le sien puis dit
-qui est tu en réalité ma mysterieuse inconnue ?