une mystérieuse inconnue (la Rose Blanche) Terminé

chapitre 31

Le lendemain,

Alors qu'Alea et Zara était entrain de jouer dans les jardins du palais ,laila sans en avertir son épou revint de son voyage precipitement ,voulant faire croire que sa famille lui manquer alors que se n'était pas La raison qui l'avait poussée à revenir dans le pays, en effet se qui l'avait amener à écourter ses vacances se résumé en un mot "Aléa " bien évidemment elle avait eu vent de la soirée qui s'etait dérouler en son absence et qui était en plus destiné à cet gourde de kinésithérapeute,  pour qu'elle raison Anwar aurai pris la peine d'organiser une fête à cet femme ,son amie Lamia (celle qui avait fait pleurer Aléa) apres que le roi l'avais humilier devant toute ses personnes de la haute société ,avait voulu se venger d'Alea et donc avait raporter tout se qu'elle savait à l'épouse du roi y compris le rapprochement qui ne pu passer inaperçu aux yeux de tous, ça se voyait à mille kilomètres qu il y avait une grande attraction entre Anwar et Aléa.

Et donc la voici à peine arrivé qu'elle recommence à terroriser le pauvre personnelle ,avec sa démarche supérieur et son air hautain , se dirigeant vers le bureau du roi afin d'avoir des explications sur son comportement envers la rééducatrice de leur fille, mais à peine arriver et voulant entré des éclats de voies lui parvenerent de l'autre côté du couloir,alors elle commença à marcher vers ses sons.

Aléa et Zara était encore dans les jardins, a humer cette fois ci les roses qui orner les somptueux jardins.
-celle ci ma puce signifie l'amour dit aléa en désignant une rose rouge venant d'éclore.
-et celle ci dit elle en désignant la seul rose blanche au mileu des rouges.
-celle ci signifie la purté dit la jeune femme d'un ton triste.
La petite fille après avoir remarqué son changement d'humeur s'assit près d'elle, lui toucha la joue et dit :"pourquoi est tu triste maman ? "
Et la Aléa cru mâl entendre et dit d'un ton emplit d'amour :"ma chérie je t'es déjà dit de ne pas m'appeler comme ça, tu a deja une maman "
-si je peu dit l'enfant joyeuse
-et comment....  L'enfant la coupa et dit :"j'ai demander à papa, et il a accepté "
La jeune femme devint rose à l'évocation d'Anwar, ainsi il avait donner la permission à sa fille de l'appeler maman, cet attention lui fit chaud au coeur et une larme de joie coula.
-alors maman pourquoi tu pleur dit l'enfant sur le point de pleurer, n'aimant pas voir Aléa ainsi.
-se sont des larmes de joie dit Aléa
L'enfant arqua un sourcil et dit :"tu pleur quand tu est heureuse "
A la mine de Zara, Aléa éclata de rire et dit :"oui sa peut arrivé "
-alors lorsque l'on avait parler de roses tu était heureuse ?
Aléa  dit :"mon papa m'offrai des roses blanches lorsqu'il revenai de ses voyages .
-mais pourquoi blanche dit Zara
-car elle leur ressemble trait pour trait

A  l'entente de cet voie grave ,Aléa et Zara se retournèrent pour face au roi , la carrure imposante, il était de plus en plus beau se disait elle , il dégager un tel charisme, une tel puissance, dieu qu'il était parfait ,un peu strict sur les bornes, protecteurs avec ceux qu'il chérissait , mais aussi jaloux avait elle constater lors de la soirée précédente et à ce souvenir elle sourit.
-pui-je savoir à quoi tu pense dit il en prenant sa fille dans ces bras saillant, si il continue comme ça il allait la rendre folle se dit elle.
-cest un secret dit elle voulant le provoqué.
-en est tu sure car j'ai de très bonnes idées pour te faire parler habibti lui murmura t il près de loreille , se qui la fit frissonner.
-je prend le risque dit elle
-ne me tente pas dit il
Et la Aléa à la pensée qu'il tente quelques choses devint toute rouge, Anwar à la limite de rire dit :"tu ne peu pas savoir à quel point t'es rougeurs, me font de leffet "

Aléa lui tapa l'épaule et dit :"cesse de te moquer de moi "
-maman est ton amoureuse !!!  Cria Zara toujours dans les bras de son père.
Aléa se crispa ayant oublier quelques peu la présence de Zara, cest vrai qu'elle n'avait fait aucun bruit trop occupé à regarder les deux jeunes gens à se comporter tel un couple.