chapitre27(partie2)

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Maman, ce mot n'arrêter pas de se répéter sans cesse dans la tête d'Alea, elle n'était ici que depuis un moi pour aider la petite à remarcher et voilà qu'elle lui demander si elle pouvait l'appeler maman cela l'effrayait, et elle ne su quoi répondre, après réflexion et s'entend la fragilité de Zara elle dit :"mais ma puce tu a déjà une maman ,cest elle t'a vrai maman,et elle t'aime plus que tout, mais cela ne veu pas dire que je ne t'aime pas dit elle tout en lui caressant la joue d'une affection propre à elle.
La petite secoua négativement de la tête, elle n'est pas ma maman
-mais ma puce tu ne crois pas que tu est dure avec elle ?
-non elle ne m'aime pas ,je voudrai que tu soi ma vrai maman
Cet phrase acheva la jeune femme, qui étai déjà à terre depuis le début de cet conversation.
-je ne pense pas que tes parents serai content de t'entendre m'appeler ainsi, mais je serai toujours là pour toi ma puce, si tu a besoin de moi meme après que je sois parti je viendrai de rendre visite

et la Anwar ne pu resté à l'écart à l'entente du mot départ qui avait franchis la bouche d'Alea .
Il intervint et dit :"il est temps pour vos exercices "
-en le voyant penetrer dans la chambre de Zara, et en voyant l'expression qu'il arboré elle eu le présentiment qu'il les avais entendu parler mais elle n'en était pas certaine alors elle fit se qu'il lui dit, et donc emmena la petite pour ces exercices cotidien.

Après plus de deux d'entraînement, Aléa jugea que c'était suffisant et donc remonta la petite à sa chambre il étai déjà 18 h il lui rester donc deux heure pour se préparer, voyant que la petite était quelque peu triste par rapport à se matin elle eu une idée et dit :"ma puce, voudrai tu que je te coiffe "
La petite retrouva immédiatement le sourire et dit :"tu sais faire des tresses ? Il n'y avais que tante melina qui savais les faire dit elle tristement
-qui est elle dit Aléa d'un ton curieu
-la grand mère de papa ,elle est morte l'année dernière,cetait la seul qui s'interessai à moi ainsi que papa dit la petite
-Alea ne sut comment expliquer ça mais elle avait le pressentiment que cet informations avais son importance .
-revenant à elle ,elle dit à Zara en souriant :"quel genre de tresse veut tu

- "se qui te plaira dit Zara
-tres bien, commençant alors

Au bout d'une demi heure elle eu fini de coiffer la petite, lui amenant enfin le miroir pour qu'elle voit l'arrière de sa tête
La petite folle de joie gigota sur son fauteuil roulant et cria :"j'adore c'est splendide, merçi Aléa merci "
Cest vrai qu'Alea avait effectuer du très bon travail lui faisant une tresse en couronne ou elle y avait mis des petites fleur jaune.
-elle embrassa le front de l'enfant et dit se n'est rien ma puce bon et si on te mettais ta robe de princesse, (une robe bleu ciel assorti à ses beaux yeux héritée de son père se dit Aléa mais enfin ma pauvre fille reprend toi se n'est pas le moment de tomber dans ces filets il n'atend que ça)

Après avoir préparer la petite refusant l'aide des servantes, c'était à son tour de se préparer alors elle pénètra sa chambre et pris une douche.

****

Vêtu de son peignoir quelqun toqua à la porte elle alla donc ouvrir l'entrouvant légèrement, mais quand elle vit souhila les mains charger de housses elle lui ouvrit l'aidant à les porter se qui permeta à la jeune domestique de reprendre son souffle,
En les plaçant sur le lit souhila se tourna vers Aléa et dit, il faut t'aider à trouver la bonne robes permis celle ci,te coiffer et te maquiller.
-pourquoi tant de robes, une aurai suffit dit aléa
-cest le roi qui a exiger cela dit elle une pointe d'amusement dans la voie
-cest trop exagéré dit aléa
-decidement tu est bien différente des autres.
-je dois le prendre comment dit aléa incertaine
-bien même très bien dit la servante bon se n'est pas ça mais lets go

Souhila finalement sous ses airs
timides était bien dynamique ,elle laissa le temps à aléa de revêtir des sous vêtements ainsi qu'un pyjama le temps qu'elle l'aide à se coiffer et maquillée, elle retira ensuite sa serviette disposer sur sa tête, les yeux de souhila à cet vue s'ecarquillairent d'émerveillement et elle dit :"j.. Je peux les toucher "
Amuser par l'expression de cet derniere,Alea en riant dit :"bien sûre, "
Alors prudemment la servante posa ces doigts sûre la chevelure d'or d'une douceur incroyable et récita en même temps en arabe une phrase qui avait pour bute d'éloigner le mauvais oeil, se qu'Alea compris bien sûre, elle lui offrit un sourire à travers le miroire de la coiffeuse elle s'était donc assise afin que la jeune femme l'aide à se coiffer ,souhila lui proposa de les lisser simplement car elle l'est trouver magnifique ainsi alors c'est se qu'elles firent chacune lissant un coter au vue se la longueur de sa chevelure, puis elle lui appliqua une couche de mascara sur ces yeux marrons un fin très d'eye-liner, un rouge à lèvre rouge sang et le tour était jouer elle n'avait pas besoin de fond de teint et de tout ces superflus sa peau n'avait aucune imperfections, les deux étapes fini il ne manquer plus que de choisir la robe alors elles debalerent les robes une à une ,ils yen avait en tout quatre mais celle qu'elle vit en premiers ne lui plaisait guère avec un décolleté vertigineux elle ne pouvait s'habiller ainsi mais heureusement la dernière robes n'avait pas un décolleté aussi provoquant que les autres elle allait crier de joie mais en retournant la robe vit un dos nue, souhila dit elle "avec tes cheveux lâché cela ne se verrai pas " hésitante
Elle alla donc la mettre en prenant soin de prendre aussi les chaussures assorti et se dirigea vers le dressing.
Deux minute plus tard elle sortie et souhila dit toute excitée :"Aléa tu est magnifique cet robe te va à ravir"
Aléa rougit et dit poliment :"je te remercie souhila de m'avoir aider "
Toucher par cet déclaration la domestique s'approcha pris les mains d'Alea et dit, c'était un plaisir ,il ne te reste qu'à sortir maintenant bon courage je ne serai pas loin dit elle puis elle sorti

une mystérieuse inconnue (la Rose Blanche) Terminé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant