chapitre 15

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Après avoir dit cela, le cheikh reprit la parole et dit :"et bien c'est ici que nos chemins se sépare "tout en s'engouffrant dans le couloir ,le directeur n'y comprenant rien le suivit et dit :"comment ça votre altesse, je ne comprend pas "
Le roi se retourna vers lui et dit d'un ton impassible :"il est évidemment que vous avez mieu à faire que de me suivre ,de plus je suis certain que vous ne trouverai pas d'inconvénients à se que je visite l'établissement de par moi même.
-le directeur ne voulant pas s'attirer les foudre du souverain répondi :"non votre altesse, aucun "
-bien, sur se je vous suggère de retourner à vos activités ,et il s'avança dans le couloir ,pendant que le directeur entra dans son bureau.

Anware à mesure qu'il s'avançait jeta des cous d'oeil dans les pièces qui'l atteignait, pour le moment elles était toutes vide et donc il ne faisait que constater l'état de ses dernieres, apres quelques à arpenter les couloirs de l'hôpital, il entendit de l'agitation venu d'une salle qui lui faisait face, il s'avança d'un pat prudent et lorsqu'il atteind la porte distingua des rires d'enfants, curieu il ouvri la porte en essayant de faire le moins de bruit possible, et qu'elle ne fut sa surprise en voyant un groupe d'enfant installé sur un tapis lui faisant face et qui encercler une personne qui était qu'ont a elle de dos sa silhouette ainsi que son voile lui indiquer que c'était une femme ,il continua de la détailler mais ne pu voir à quoi elle ressembler ,les enfants étant trop occupé à questionner la femme en question ne le virent pas, une petite fille au cheveux de jais ,au yeux marron et au visage angélique pris la parole après que ses camarade se tut et dit :"Aléa, s'il te plaît peu tu nous finir l'histoire du prince et de la paysanne "

Aléa ayant fini d'addministrer les soins à tout les enfants ,leur avait promis de leurs continuer l'histoire qu'elle avait débuter il y'a 2 jours ,et bien sûre fidèle à elle même, la petite serine haute comme trois pomme et qui était doté d'une mémoire sans faille, lui avait rappeler ce petit oubli qui ne pouvait passer inaperçu.
-mais bien sûre ma chérie lui dit elle avec un large sourire, et elle reprit l'histoire la ou elle l'avais laissé.
-au son de la voie de la jeune femme, Anware fut immédiatement captivé, doté d'une voie extremements douce et d'une capacités à transporter toute personnes l'écoutant narré son histoire, et c'est ainsi qu'il fout attentive à la fin de l'histoire qui se termina par un mariage unissant le prince et la paysannne .
Au cour de l'histoire il essaya de deviner à quoi pouvait ressembler cet femme dont le timbre de voie était des plus envoûtant ,il fallait dire que c'était la première fois de sa vie qu'une simple voie avait le pouvoir d'éveiller sa curiosité .
-apres avoir fini de conté son histoire et que les enfants eurent apprécier la fin, les parents de ces derniers venèrent les chercher vue que la plupart était soit en béquilles soit en fauteuilles roulant. il restée uniquement Aléa et samir dans la pièces sa mère étant en retard.Alea en profita pour mettre de l'ordre dans la salle mais en etant toujours de dos à Anware qui commencé à s'impatienter, n'y tenant plus il fit son entrée, se qui capta l'attention de l'enfant qui resta malgré tout silencieu,arrivant à la hauteur de la jeune femme Anwar n'ayant toujours pas vue son visage dit:"très belle histoire madame ,vous savais y faire avec les enfants ",Aléa se figea lorsque cette voie grave lui parvenue à ses oreilles puis se retourna d'un coup .et le roi reprit, :"ou devrais-je dire mademoiselle ", le roi eu le souffle couper ayant un visage ovale dont les traits était fins et armonieu munie dune paire de yeux marrons et d'une bouche pulpeuse faisant pensait à un fruit deffendu la jeune femme était d'une beauté renversante, le voile qui recouvrer sa tête ne fit qu'eveiller encore plus sa curiosité ,il se demanda de quel couleur et longuere pouvait être ses cheveux, mais il se reprit vite en voyant la jeune femme passer dun ton pâle à un ton rouge cramoisie, qui conférer à ses joues bien pleine une teinte des plus exquise.
Aléa quant à elle fut impressionner par l'homme qui se tenait droit devant elle, d'une carrure imposante doté d'une musculature des plus impressionnants, il l'a dépassait de beaucoup devant faire dans les un mètre quatre-vingts dix ,il se dégager de lui une puissance, imposant le respect.
-pourrai -je savoir à qui j'ai affaire lui dit il
Aléa au son de cet voie repris ces esprit et dit en bégayant légèrement se qui accentua ces rougeur :"je suis mademoiselle piterson ,la kinésithérapeute "
-enchantée mademoiselle dit il d'une voie neutre.
Aléa eu l'impression de faire face un bloc de glace tellement son visage n'exprimer pas grand chose. Elle se risqua néanmoins à lui adresser une seconde fois la parole et dit :"et vous pourrai-je savoir qui vous êtes ",le roi en fut étonner ,et alla lui dire qu'il n'aimer pas qu'on se paye sa tête, mais une voie intervenue avant lui, l'enfant présent depuis le début de leur rencontre se posta près de la jeune femme, la secoua par sa blouse et dit :"Aléa, c'est le roi ".
Aléa se répéta en boucle Anwar dans sa tête, très beau prénom mais qui n'était pas d'origine arabe se dit il ,d'ailleurs même ses traits physiques ne concordé pas vraiment avec les leur,seress une étrangère ? Il chercherai Les réponses plus tard pour l'instant,
Il observa Aléa qui était dans tout ces état ,semblant même sur le point de s'évanouir, elle effectue une révérence de façon maladroite et balbuta des paroles qui fut pour lui difficile à déchiffré :"oh je suis sincèrement navré votre altesse ",
-pourquoi dit il alors qu'il savais de quoi elle parlait, pour lui soit elle faisait semblant de ne pas le connaître de par son statut pour se donner un côté timide, pour s'atirer ses faveurs , soit elle était sincère et donc elle ne savait vraiment pas de qui il s'agissait il reprit:"me prener vous pour un idiot"
-Alea ne s'attendant pas à sa dit :"non bien sur que non votre altesse "
-alors vous voulez me faire croire que vous n'avez vraiment aucune idée de qui je suis. Dit il en détaillant chaque trait de son visage qui pourrait la trahir.
-bien sûr que je sais qui vous êtes mais elle fut couper par le roi qui dit
-mais... Continuer
-elle lui envoya un regard de reproche car il lui avait coupé la parole, il en fut étonner jamais personne n'avait oser le faire .
-mais je ne vous est jamais vue en vrai finit elle pas dire
-n'avez vous pas de télévision chez vous ou même des magazines, a la mention de ces derniers elle se gronda ultérieurement de ne pas avoir chercher à savoir à quoi ressemblait le roi elle se serait épargné beaucoup de désagréments y compris sa maladraisse en vers celui ci qui avait un malin plaisir à l'enfoncer.
-si bien sur que si dit elle avec l'envie de lui hurler dessus comme quoi il était vraiment culoté d'insinuer qu'elle vivait dans une grotte isolé de toute technologie, elle calma son envie de lui déballer le fond de sa penser en se répétant qu'elle faisait face au roi et non à un homme quelconque .elle reprit :"je ne m'intéresse simplement pas à tout ceci "
-ah oui et pourquoi dit il intéresser
-simplement car je ne trouve pas l'intérêt à épier la vie privé d'autrui, chaque personne à droit à son intimité.
Anware fut touché par la déclaration de la jeune femme .
-et puis je savoir se qui vous intéresse ?

-j'aime lire dit elle simplement, mais voyant que cet réponse était insuffisante aux yeux du cheikh elle continue, la lecture est un moyen de s'évader elle laisse libre cour à notre imagination nimpose aucune limite.
-et pour se qui est de l'histoire que vous avez raconter au enfant, croyez vous qu'un homme de sang royal puise épousé une femme qui n'est pas de sa condition ?
-comme je vous le disait, il n'est pas interdit de rêver, toute fois je doute sincèrement qu'un homme voudrai prendre pour épouse une femme n'étant pas de son monde
Intriguer Anwar dit :"qu'entendais par monde, pour vous il en existe combien"
Aléa gêné dit :"et bien il y'a les pauvres et les riches, qui ne peuvent se mélanger "
-vous avez une idée toute faite du monde mademoiselle piterson pour votre information qu'un être humain soit riche ou pas ne définit pas qui il est intérieurement "
-je n'est pas dit que toute les personnes fortuné était mauvaise, juste que
-la plupart le son, finit il de dire tout en savourant la teinte que prenait ses joues à chaque fois qu'elle était contrarier.
-exact,la preuve vous êtes ici souffla telle ,espérant qu'il ne l'est pas entendu mais peine perdu, il avait une ouï très éguisé.
-donc vous connaissez les raisons de ma présences dit il d'un ton affirmatif.
-brièvement je sais que vous êtes ici pour remettre sur pied cet hôpital
-Pas uniquement je prévois de tout détruire et de reconstruire un encore plus grand, et pour cela je vais devoir transféré tout se qui s'y trouve dans le nouvelle hôpital que j'ai construit avec l'aide d'un ami ,et si vous vous demandez se que le personnelle deviendra, et bien vous aussi allez être transféré vers le nouveau .
Après quelques seconde à se dévisager mutuellement la porte de la salle s'ouvrit et laissa paraître la maman de samir toute essoufflé :"navré du retard Aléa j'ai fait le plus vite possible, excuse moi de t'avoir retenue "dit elle ayant la tête fouré dans son sac "jetai aller acheter les calmants de samir mais dans se bâsard dans lequel est mon sac je ne l'est retrouve plus "en relevant la tête et après avoir vu le roi elle cria de surprise et dit :"oh senieur je rêve, votre altesse pardonner moi je ne vous est pas vue, n'en pas que vous n'êtes pas visible mais je euh je euhhh"
Le roi agacé par la réaction de la mère et voulant rester seul avec Aléa dit :"ne vous en faite pas, vous êtes toute pardonner" elle dirigea le fauteuil de son fils vers la sortie tout en continuant de s'excuser.
Voyant la réaction de la jeune femme près de lui il dit :"vous voyez pourquoi je me douter de votre sincérité un brin de moquerie dans la voie
-Oui ,je comprends mieux dit elle toujours ahurie de la réaction qu'avez eu Soumia
-alors ou en étions nous commença t-il.
Aléa chamboulé de par la présence du souverain, voulu quitter la pièce qui lui semble rétrécir et dit avec rapidité qui laissa Anwar dans une incompréhension totale:"je m'excuse votre majesté mais il est l'heur pour moi de m'en allai sur se passer une bonne journée et elle s'enfuit comme si elle avait le diable à ses trousses , Il n'eut pas le temps de faire un pat pour la retenir qu'elle fut déjà hors de sa porter, en vrai il aurait pu la rattraper mais le fait qu'elle l'est fuit alors que beaucoup de femme aurait tout donner pour rester en sa compagnie l'enerva.il se dirigea d'un pat déterminé vers le bureau du directeur ayant l'envie de creuser plus dans la vie de cet mystérieuse jeune femme qui ne l'avait pas laissée indifférent à son charme.

une mystérieuse inconnue (la Rose Blanche) Terminé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant