Chapitre 23

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Hello mes amours, j'espère que vous vous portez tous bien... Certains d'entre vous m'ont fait part de leurs impatience au sujet de Amina et Andros. Et bien ne vous inquiétez pas car très bientôt nos ennemis deviendront des amis et bien plus, Amina à beaucoup souffert de cette agressions causé par Andros et à travers mes écrits je voudrais vous le démontrer .

Tout simplement c'est ma première histoire de plus avec un sujet très sensible et elle me tient vraiment à cœur je ne voudrais pas l'écrire à la hâte et raté certaines parties.

Bisous...

–Et maman comment se porte-elle ?

–Bien. Répondit sa sœur sans la regarder.

Amina s'assise en tailleur sur les couverture blanches... Le regard interrogateur même presque suspicieux.

–quand est-ce qu'elle rentre ?

Khalida se gratta l'oreille avant de répondre :

–Très bientôt...

Amina baissa les yeux, un étau serrant sa gorge avec un horrible sentiment d'abandon et c'était bien ça. Sa mère l'avait lâcher pour une lourde dot se fichant complètement de se que adviendra de son futur et sans sa sœur la solitude l'aurait emporter...
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Sur la chaise roulante qui la menait à l'extérieur, elle sentit un lent frissons la parcourir sachant que Andros était juste derrière elle a la poussée . Elle pouvait voir de l'admiration mêlé à la crainte dans le regard de tous ce qui le croisait, les hommes s'écartèrent et les femmes lui adressait un sourire qui en disait long sur leur pensées, Amina eu envie de vomir.

–Pourquoi passons nous part ici ? Questionna Amina en se risquant de levé sa tête vers Andros.

Mais très vite elle regretta quand elle croisa son regard naturellement glacé.

–Nous passerons par l'arrière pour éviter les paparazzis. Répondit-il impassible.

Voilà une partie de son sort lamentable qu'elle avait complètement zapper, les paparazzis... Pourrait-elle les supporté ?

Une fois près de la voiture Andros la souleva du fauteuil évidemment sans aucune difficulté et l'entendit hoqueter, comme à chaque fois cette proximité même pendant un court instant l'effrayait. il la posa sur la banquette arrière ensuite non sans la sentir frémir... Sa sœur maintenant descendu et rentré chez elle sur des au-revoirs semblable à des à dieux ...

Amina se retrouva de nouveau seule avec Andros dans l'habitacle. Et juste l'idée qu'elle aurait pu mourir il y a quelques heures, lui développa un sentiment indescriptible...c'était cette homme qui lui avait sauvé la vie le même qui lui suscitait la mort tellement elle avait mal en le voyant.
Réprimant un tremblement Amina cola sa tête contre la vitre teinté.

Andros jeta un coup d'œil sur Amina à travers le rétroviseur, et sera de plus en plus la mâchoire en voyant ses prunelles remplis d'une lueur de tristesse. Elle semblait observer quelques choses... Garés à un feu, il pu aussi apercevoir deux jeunes femmes semblable à Amina et sa sœur qui fermait un magasin dans un état d'esprit très joyeux, se taquinant... Les veines en feu la vérité le frappa tel un fouet, il avait promis à Amina de lui redonner le sourire hors pourtant elle était enfermer dans le domaine comme une prisonnière.

Elle ne voyait presque jamais sa sœur et ne pratiquait aucune activité pour s'épanouir,il avait gâché sa vie, ses habitudes, son quotidien et ne faisait toujours rien pour l'arranger. Le visage impassible, en proie d'une rage pourtant sourde il sera violemment le volant se promettant de remédier à tout cela...

Perdu dans ses triste pensées promettant un sombre avenir, Amina essuya la larme solitaire qui roulait lentement de sa joue et vit, Andros descendre de la voiture après l'avoir garer... Elle se dépêcha d'ouvrir sa portière ne voulant plus de son aide et ça pour quoique ce soit, se sachant déjà redevable en vers celui qui l'avait agressé sans vergogne. Mais en une fraction de seconde il était là,... Andros ouvrit la portière et ne pu rater l'expression apeuré de Amina et il se dégoûta. Lorsqu'il se pencha il la vit sursauter, le cœur froissé la sortant de la voiture en la portant, pendant que Andros s'avançait en direction des grandes portes de la maison, il sentit son petit corps fin se raidir contre lui...

–Posez... Posez moi, ordonna Amina bien que les doigts gelés par la peur.

–Si je veux suivre les recommandations du médecins, je ne devrais pas vous laissez faire d'effort durant les prochaines dix heures. Rétorqua Andros le regard rivé devant lui en continuant à marcher, volant éviter un énième sursaut si il s'aventurait à poser son regard dans le sien.

–Je viens de vous demandé de me lâchez ! S'exclama-t-elle.

–J'ose espéré, que votre santé est plus importante que ces enfantillages. Répondit-il de nouveau de sa voix rauque.

–Ce ne sont pas des enfantillages...

Elle fit une pause et entreprit de se tortiller dans ses bras, Andros la laissa descendre en glissant rapidement, s'abstenant de la retenir pour ne pas l'effrayer. Puis elle reprit la parole les sourcils froncés:

–Mais plutôt de la rancœurs, je vous interdit de me toucher une fois de plus !

Impassible extérieurement mais rembrunit intérieurement il la laissa terminé le chemin jusqu'aux portes. Quant à Amina la terre tournait tandis qu'elle poussa l'une des lourdes porte en regrettant de ne pas avoir écouté cet homme car elle commençait à se sentir mal.
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Après une nuit très agité, Amina avait le regard dans vide pendant que Naomi s'appliquait à brossé avec beaucoup d'amour sa chevelure épaisse... Le visage plus détendue qu'il a quelques jours.

–Comment se porte votre petit fils Naomi ?

Elle releva la tête en souriant tendrement. Puis déclara:

–Oh il se porte mieux, il semble supporter la chimiothérapie et on espère très vite avoir un donneur.

Les larmes aux yeux Amina porta sa main plus que émue par cette nouvelle.

–Qu'Allah vous soutient dans cette épreuve. Pria Amina.

Naomi la prise dans ses bras le temps d'une longue et réconfortante accolade.

–Et vous ? Je vous sens bien préoccupée.

Amina souffla et s'entoura de ses bras en se levant pour aller cherché ses puzzles.

–Je ne sais pas j'ai un sentiment pesant depuis la nuit dernière.

En disant cela la jeune femme se souvenu de ce que sa sœur lui avait dit.

<Tu as bien changé Amina>

–Il m'a sauvé la vie... Et et je ne l'ai même pas remercier. J'ai l'impression d'avoir troqué mon âme pour une rancune bien amer, je ne me reconnais plus, je ne suis même plus capable de remercier un acte aussi humanitaire .

Oui c'était bien ça une preuve d'humanité, car pendant cette nuit Amina ne pu se poser les questions de savoir si cet homme l'avait sauvé pas hypocrisie, dans le but d'obtenir un pardon ou tout simplement par humanité. Peut être en cet homme se cachait quelqu'un de bien et si il ne méritait pas son pardon pour ce qu'il lui avait arrachée, il méritait ses remerciements car sens lui elle ne serait sûrement pas là.

Et sa elle se devait de se l'avouer même si cela lui causait des secousses électriques.

–Ne soyez pas si dure avec vous mon enfant, votre souffrance est réelle et vos réactions sont justifier donnez vous le temps qu'il faudra, Andros ne peut que le comprendre... Mais si vous jugez bon d'allée le remercier faites le il n'est toujours pas tard.

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Andros discutait au téléphone avec son ami Saul, lorsqu'une odeur bien particulière l'envoûta ... Une odeur de jasmin légèrement fruité, il se retourna lentement et entendit émet une magnifique et douce voix:

–bonjour...

L'Éternité D'un SoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant