Chapitre 25

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Les grilles ouvertes, Amina était emporter comme poupée de chiffon par Andros.

-Mais qu'est ce que vous faite !

-Je vous est déjà dit, nous allons faire un tour a cheval. Rétorqua Andros toujours impassible

-Je ne sais pas monté à cheval... La... Lâchez-moi grosse brute !

-Ho vous verrez se n'est pas très difficile. Répliqua-t-il en devinant aisément la peur qu'elle pouvait ressentir de ce retrouver seule avec lui au beau milieu de la forêt.

Réprimant sa panique de peur que Andros ne s'en aperçoive Amina continuais d'avancer avec le sentiment que quelque chose allait changer...

Quelque pas de plus dans un silence lourd, les jambes en cotons soudain Amina aperçu un magnifiques lac bordé par une spectaculaire verdure, les oiseaux cygnes qui jouissaient du lac allaient en harmonie avec le soleil pétillant. Quant à Andros il admirait le visage de Amina, ses grands yeux vert s'était d'avantage éclaircies laissant étincellé le pigment jaune qui logeait dans ses iris, ils brillaient comme ceux d'un enfant sa petite bouche couleur saumon était entre ouverte et sa respiration était enfin régulière.

Amina observait le paysage avec toute l'innocence de son âme, cela arrivait à Andros de ce demandé si elle n'était pas que le fuir de son imagination, sa beauté était à couper le souffle.

Une fois dans l'écurie, un homme s'approcha et les salua courtoisement ensuite échangea en grecque avec Andros. Après avoir suivie une jeune dame Amina revint changer toujours impassible Andros ne fut pas surpris de voir qu'elle n'avait pas retiré sa long tunique mais qu'elle avait enfilée l'équipement de cavalier en dessous et en dessus pour la veste comme si on lui avait offert de nouvel armes pour se barricadée plus qu'elle ne l'était afin qu'il ne puis voir aucun centimètres de son corps qu'il avait auparavant souillé ... Et rien qu'à cette pensée Andros se répugnait.

Amina regarda le cheval avant de timidement lui caressé le chanfrein.

-Puis-je vous aider ? Se proposa Andros.

Amina se retourna puis le fusilla du regard avant de se débrouiller pour monter toute seule sur le cheval. Une fois en route après beaucoup de difficulté pour que Amina puisse faire avancé sa jument. Amina vie Andros toujours impénétrable profiter aisément de cette balade qui lui offrait se sentiment étouffant de colère et d'impuissance.

-Pourrais-je savoir pourquoi vous êtes si en colère. Questionna Andros agacé.

Amina sursauta en se rendant compte seulement maintenant que Andros la fixait.

-J'ai toutes les raisons d'être en colère... Répondit-elle sur ton sanglant.

-Pour qui vous prenez vous, pour m'acheter des choses pareils.

–Je n'ai fait que suivre cette maudite liste de course, Rétorqua Andros sur un ton tranchant.

La gorge serrée la colère s'estompa pour laisser place à l'amertume, sur son cheval, au cœur de cette balade à l'air libre Amina riva ses yeux sur le magnifique lac qui annonçait le coucher de soleil et succomba aux larmes en se remémorant de cette nuit d'horreur. Où elle avait sentit son agresseur cette homme à côté d'elle , lui arracher ses collants puis les apercevoir en lambeaux au pied du lit dans cette posture indécente.

Andros la vit descendre avec difficulté du cheval, le visage baissé à son tour il s'empressa de de limiter afin de la retenir. Rapidement il se saisi de son poignet. Délicatement il l'a retourna pour qu'elle puisse lui faire face étrangement Amina se laissa faire. Il sentit son cœur se déchirer quant il vu ses magnifiques yeux indéchiffrablement triste perlés par les larmes.

–S'il vous plaît excusez moi Amina se n'était pas dans mon intense de vous contrarier, tous ce que j'ai fait c'est suivre la liste de courses de Naomi. Dit-il d'un timbre de voix qu'il ne reconnu pas.

La respiration interrompu les yeux  maintenant dévisageant la verdure, elle sentit le long doigt de Andros rencontré son menton pour le lever.

–Je vous en prie Amina donnez moi une chance de me faire pardonner...

–Oui je suis un monstre, mais je ne peux continuer de vous voir ainsi... C'est moi qui vous ai blessé et je refuse de vous abandonné, si vous ne voulez pas ne le pouvez pas et bien ne me pardonnez pas donner juste cette chance de recommencer... Et je vous promet que vous ne souffrirai plus.

Il glissa son pouce sur sa joue pour essuyer la larme qui y était contemplant la douceur de sa peau d'un geste rapide. Puis lui tendit sa main pour qu'elle la saisisse...

Troublée Amina recula d'un pas ne sachant plus quoi penser... Devant elle se trouvait l'homme qui avait éteint ses rêves, l'homme qui lui avait sauvé aussi la vie puis l'homme qui lui demandait une chance. Que faire ? Ce dont elle avait besoin aujourd'hui était de revivre, tous ce dont elle désirait était de guérir, dans ses paroles elle sentait de la sincérité.

<<Un jour pour ton bonheur et ton bien-être tu devra lui pardonner >> avait dit sa grande sœur. Mais avait-elle vraiment besoin de lui pardonner pour avancer ?
Ne voulant plus réfléchir, se jetant dans ce brouillard incertain d'une main tremblante Amina saisie celle de Andros en frémissant .

Effrayée il était temps pour Amina de se donner la chance de sourire à nouveau. Andros prenant cet accord ultime il emporta la jeune femme au bord du lac qui embrassait le soleil couchant. Éblouie par la vue elle se laissa emmener par Andros les mains moites. A ses pieds elle constata qu'il y était dresser un pique-nique.

Elle releva la tête puis rencontra son sourire qui plissait ses paupières. Andros l'aida ensuite à s'installer quand il l'a sentit hoqueter, Amina glissa sa main dans sa chevelure en sentant les élastiques se rompre. L'homme en face d'elle alors contempla cette magnifique chevelure sous une autre forme, en effet c'était la première fois qu'il avait la chance de les voir, ils étaient ébène, assise il pouvait les voire chutés sur ses cuisses annonçant leurs longueurs, épais
Andros s'était surpris à nourrir l'envie d'y glisser ses doigts avant de se reprendre.

Gênée, elle releva son visage devenu plus fin, rougissante elle entreprit une tresse en déclarant à mi-voix.

–Les élastiques ne tiennent jamais.

Andros su à cet instant qu'il n'avait plus droit à l'erreur il devait lui rendre son bonheur...

L'Éternité D'un SoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant