L'Éternité D'un Soir

Chapitre 27

Lorsque Amina enfila d'une main tremblante , le long manteau noir de Andros son odeur viril et puissante vint alors lui titiller les narines, à ce instant un frisson naquit de la plante de ses pieds pour aller demeuré dans le creux de sa nuque .

Maintenant dans sa chemise noire l'homme fit le tour pour la rejoindre et Amina sentit ses jambes trembler sans qu'elle ne puisse les bouger quand Andros s'approcha dangereusement d'elle...le cœur battant a tous rompre elle hoqueta lorsqu'il la prit par la taille pour ensuite la hissée sur l'un des tabouret. Son tour de taille était si facile à encerclé de ses mains qu'il eu peur de la brisée, sentir son odeur qui s'était mélanger au parfum de jasmin que portait les cheveux de la fragile jeune femme provoqua en Andros une boule de chaleur dans sa gorge...

Le fuyant du regard la jeune femme passa sa main sur son front quelque peu en sueur pour ensuite la glisser dans sa belle crinière. Tout était si troublant qu'elle en oubliait de respirer.
Andros se mit à garnir la table en faisant attention à ses goûts,il termina en lui servant une tasse de chocolat chaud.

–Comment vous avez su que je voulais du chocolat chaud ? Demanda la jeune femme quand il alla prendre place en face d'elle.

–Disons que j'ai le don pour devinez quand il s'agit de vous. Rétorqua-t-il impénétrable en se penchant en avant les bras croisés.

Lorsque sa paire de yeux rencontra les siens, Amina déglutit péniblement néanmoins elle restait touchée par toutes ses attentions... Voulait-il la mettre en confiance pour ensuite recommencer ? ...Elle se figea effrayer avant de chasser cette horrible pensée de sa tête. Dans ses yeux Andros trouvait beaucoup de sentiments y compris la peur mais sa n'empêchait pas la jeune femme de soutenir son regard.

–hum... C'est très bon. Dit-elle après avoir goûté.

–Et bien pour une fois que j'entre dans une cuisine et que quelqu'un ne fini pas aux urgences... Bon même si ce n'est qu'une tasse de chocolat chaud. Ajouta-t-il pince-sans-rire.

–Alors je ferais attention à l'avenir, je ne tiens pas à finir au urgence... Dit-elle en examinant sa tasse faussement sérieuse.

Andros mit sa main sur son torse  en regardant le plafond feignant d'être offusqué
Là il entendit une somptueuse mélodie, digne des chants des anges provenir des lèvres de Amina... Il se figea en saisissant qu'elle venait de rire. D'après les dire de sa sœur elle ne souriait  plus depuis cette tragique nuit des dire qui avait été confirmé par Naomi et aujourd'hui elle l'avait fait certes il était très timide et étouffer mais... C'était bien un rire,il avait l'impression d'avoir rempli une partie de sa promesse même si tout n'était pas encore gagné...

La moitié du visage caché maintenant derrière son épaisse chevelure Amina était heureuse du pas qu'elle venait de franchir même si elle avait du mal à le montrer car au fond d'elle il y avait toujours ce sentiment étrange qui lui en voulait d'avoir laissé une chance de se faire pardonner et qui lui criait de jamais arrêter de le détester.

–Vous savez je sais aussi très bien fait le café, tenez goûter. Reprit Andros pour étouffer le silence gênant qui s'était instaurer dans la pièce.

Puis lui tendit sa tasse de café. La jeune femme cilla en répondant :

–Je ne... ne vais pas boire votre tasse de café voyons.

Sa voix était si douce... Si mélodieuse que Andros jura intérieurement en arabe en se demandant comment il avait pu faire du mal à une personne aussi fragile.

–Bien sûr que si ça ne me dérange pas, donnez moi votre avis.

Amina regarda la tasse en grimaçant. Cette réaction fit penser à Andros qu'elle se méfiait encore de lui.

–Vous pensez que j'ai...

–Heu...Non non, Coupa Amina.

Elle réprima un soupir tremblant et resta silencieuse un moment comme si elle cherchait les mots pour ne pas s'échapper encore une fois. Une attente qui semblait interminable pour Andros.

–Tout ça me demande tellement d'effort... J.. J'ai encore peur... Souffla Amina les trait de nouveau perdu et la tête baissée.

–Regardez moi.

Quand elle le fit enfin il reprit :

–Je comprends, prenez votre temps... Amina si tel mon destin je mourrai en attendant votre pardon. Mais je ne vous lâcherais pas. De sa voix gutturale.

Amina recevait ses mots avec toutes leurs sincérités, dans les yeux glaçants de cet homme elle pouvait voir sa détermination à réparer les horribles dégâts qu'il avait causé.

Pour toutes réponses elle prit la tasse des mains de Andros, effleurant ses long doigts, sa main était tremblante, Andros apprécia la finesse et la délicatesse de ses doigts féminins.

Elle souffla deux fois sur la tasse fumante avant de la boire. Un geste que Andros ne manqua pas d'observer.
Il vit son visage se transformer en une grimace qui le fit éclater de rire. Son rire résonna tellement fort dans la pièce qu'elle sursauta puis se mit à rire avec lui.

–C'est votre premier fois d'en boire.

–Oui je confirme je n'en ai jamais bu et je vais me tenir au chocolat chaud. Lança t'elle entre deux rire.

Andros ne voyait plus cette femme en colère au trait triste mais une femme douce et souriante et cette image raviva son cœur. Quant à elle, elle se sentait troublée néanmoins Amina avait l'impression de revenir à la vie ne plus arriver à ne serait-ce que sourire l'empoisonnait à petit feu. Elle déposa la tasse puis  descendit du tabouret près qu'en dandinant,et marcha en direction des escaliers toujours avec le manteau qui glisser sur le sol en marbre au rythme de ses pas légers comme une traîne de robe de mariée à cause de sa petite taille.

Andros se pressa de la rattrapa et lui prit délicatement le poignée pour la stopper.

–On a pas fini. D'une voix qu'il ne reconnu pas.

Amina sursauta en sentant sa paume.

–Je sais mais on se rattrapera au déjeuner, je vais me changée... Il me tarde de revoir Naomi et de faire enfin la connaissance de son petit fils. Dit-elle inaudible le regard toujours aussi timide.

–Alors faite moi signe quand vous avez fini, je vous attends ici.

Elle acquiesça en arabe et s'en alla. Il retourna dans la cuisine et aperçu la tasse de café, il la prit et la porta à ses lèvres accueillant directement le parfum floral qu'avait laissez la jeune femme dessus. Elle lui manquait déjà...
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Quarante cinq minutes plus tard, c'était impatient que Andros attendait Amina, il voulait profité de son absence pour clôturer quelques dossiers mais le problème était qu'il n'arrivait pas à se concentrer... L'idée d'aller là chercher lui vient quand soudain il entendit sonné a la porte... Il soupira agacé puis alla ouvrir les grands porte.

Une silhouette féminine se manifesta devant lui.

–Que fait tu là. Déclara Andros sèchement.

La femme vêtu de noir s'invita dans la maison en lui lançant un regard séducteur, qui énerva encore plus l'homme au trait sévère. Comme une féline elle acheva son chemin au centre du salon, toucha l'un des vase en porcelaine puis se retourna gracieusement en déclarant:

–Ne t'ai-je pas manquée mon amour. D'une voix provocatrice.

Andros s'approcha en la considérant avec dégoût.

–Pour la dernière fois que diable fou tu ici Audrey.