Chapitre 28

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Lentement mais précisément comme une féline Audrey vint près de lui et malgré le regard menaçant de l'homme, elle posa sa main sur son épaule avec un sourire coquin.

–Je viens arracher ce qui est à moi... c'est-à-dire toi Andros, Lança-t-elle.

Elle glissa ensuite sa main subtilement jusqu'à son large cou, rapidement Andros la prit pour la stopper la retourna pour qu'elle  regarde les porte et la poussa sèchement.

–Sort d'ici, Sifla-t-il froidement en la fusillant du regard .

Elle revint lui faire face le visage transformé comme une diablesse en prenant un autre timbre de voix :

–Comment a tu pu me faire ça, c'est avec moi que tu aurais du te marier !

–Je ne t'ai rien promis.

Elle se mit alors à pleurer,des larmes de crocodile comme d'habitude se dit Andros.

–J'ai cru en notre amour.

D'un mouvement calculé elle fit semblant de trébucher sachant que la galanterie de Andros l'empêcherait de tomber et c'est ce qu'il fit en la rattrapant rapidement.
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Après une longue discussion à propos de Andros au téléphone avec sa sœur qui lui avait donner son accord tout en lui demandant de rester sur ses garde car après tous il restait l'homme qui lui avait fait tant de mal Amina était assise en tailleur sur son lit...

Sa faisait un moment qu'elle avait fini de se préparer mais revoir cet homme lui provoquait tellement de sensation différente les unes des autres qu'elle voulait se donner le temps de reprendre ses esprits. Prenant son courage à deux mains elle se leva enfila ses ballerines puis son manteau, soufflant un coup elle sortie de sa chambre descendit les escaliers avec hésitations s'attendant à voir Andros aux pieds...

Mais la scène qu'elle aperçu était toute autre et elle lui noua la gorge, Andros tenant une femme contre lui horizontalement, il se redressait quand elle lui chuchota à l'oreille "Je t'aime" que Amina nu pas de mal à comprendre. Quant Andros elle ne l'avait jamais vu ainsi il était aussi froid qu'un iceberg son visage était dénué de sentiments comme si il était face un mur.

Amina était rester figée s'en savoir quoi faire mais surtout quoi penser de cette image qui venait d'allumer en elle un sentiment d'une colère qu'elle n'avait jamais connu... Une colère qui lui brûlait la poitrine. Lorsque ses iris croisaient ceux de la femme elle entendit un rire nargueur.

–Andros je t'en prie ne me dit pas que c'est elle ta femme ? ... Ce n' est qu'une gamine voyons Dit-elle en la regard avec dégoût.

Humiliée Amina lança à Andros un regard qui disait long sur les événements à venir puis se dépêcha de sortir la tête baisser avant que Andros n'ai le temps de la retenir .

–Andros...

–Kaf ! Coupa-t-il en arabe en levant sa main.

–Oui à croire que je préfère encore une gamine à une femme stupide comme toi !

– Je suis là femme qu'il te faut ce n'est qu'une pauvre femme il n'y a pas comparaison ! Osa-t-elle fièrement.

–J'en ai assez entendu depuis que tu est ici tu n'a fait que manifester une tornade d'absurdité toi et moi c'est fini depuis belle lurette ... Amina est ma femme et met toi ça dans ton crâne vide.

–Maintenant je te prie de sortir ici ! Siffla Andros dents serrés en la balançant en dehors de la maison comme un sac poubelle.

–Ce n'est pas encore fini. Eut-elle a peine le temps de menacer
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L'Éternité D'un SoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant