Chapitre 20

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Amina déglutit en sentant le parfum viril et musqué qui émanait de l'homme qui avait laissé un espace respectueux entre eux pour s'emparer de l'objet. Puis il lui tendit le marteau, sa respiration s'accéléra lorsqu'elle pencha sa tête en arrière et découvrir ses traits ciselés. Elle frémit en constatant une fois de plus sa hauteur de guerrier,sa bouche dure et ses yeux... Ce gris glacé accompagné de son regard puissant la fit froid dans l'âme.

Andros la regarda récupérer l'objet du bout des doigts, comme si la simple idée de l'effleurer lui communiquerait la peste. Il étouffant un rire amer, car tout était de sa faute, il continua de l'observer fuir son regard qu'il tentait d'attendrir  depuis le début de cette discussion... Qui semblait être un affrontement de révolte pour Amina.

Elle braqua le marteau contre lui, et les yeux remplis de colère et lança :

–Et je vous préviens, si vous tentez quoique ce soit je me battrai  jusqu'à mon dernier souffle...

–Je ne compte rien tenté contre vous. Trancha-t-il rembrunit  qu'elle puisse penser encore qu'il lui ferai du mal. Tout en sachant que se n'était pas de sa faute mais la sienne.

Amina recula d'un pas les yeux munis de colère et d'effroi.
–Brulez dans les flammes de l'enfer roulé comme un tapis, je ne veux plus jamais vous revoir, faites comme je n'existais pas !

Amina s'échappa du bureau aux pas d'un lapin effrayé. D'un geste de main Andros voulu l'a retenir mais fini par ne pas le faire.

Éclatant en sanglot, elle se dirigea hors de la maison pour se réfugiée dans les jardins. Assise sur un banc, les mains moite, le cœur aux battement déraisonnable. Elle se sentait soulager d'avoir pu déverser la haine qu'elle éprouvait pour lui, car en dépit de la peine c'était la haine qui l'aidait à tenir debout. Aujourd'hui elle n'était plus là Amina muette mais celle qui a allait se battre pour son bonheur. Essuyant du revers de sa main la larme qui venait chatouiller le bout de son nez elle entendit :

–Une si belle femme... Ne devrait pas pleurer. Fit une voix roguomme face à elle.

Amina redressa sa tête, et eu une sensation de dégoût en revoyant se visage... C'était Joe l'homme qui s'était chargé de nettoyer le salle boulot. Lentement elle se leva puis se mit à avancer  rapidement  en direction de la maison comme si elle ne l'avait pas vu.

–Comment vas-tu ? Demanda-t-il avec un sourire moqueur

–j'imagine que très bien, vu que tu vis maintenant dans l'opulence, finalement se n'était si négatif de te faire violer, tu as fait tout ton cinéma pour rien. Acheva Joe en allant l'empoigner violemment.

Lorsqu'il l'a retourna sèchement Amina houssa des narines chicotée par cette forte odeur d'alcool.

–Lâchez moi, dit-elle de sa petite voix effrayée les larmes aux yeux.

–Quand je te parle, tu...

–Kaf, lâche-la immédiatement, entendit Amina en voyant Andros envoyé un crochet à la vitesse d'un éclair à Joe.

À quel moment il était arrivé là? La force qu'il émanait paraissait même irréel. Il l'a regarda... et dans ses yeux elle vit quelque chose de indescriptible... En effet Andros se sentait foudroyé par une envie de la protéger farouchement, et en voyant Joe la violenté il eu envie de le tuer.

–Imbécile heureux tu es viré ! Cracha Andros les yeux imbibés de sang de part cette scène a Joe, qui lui au sol se tordait de douleur sans pouvoir caché son étonnement, comme s'il ne s'attendait pas à ce qu'il soit là... Dans sa maison.

Andros se retourna et vit la petite silhouette de Amina se mouvée rapidement jusque dans la maison, il courut après elle.

Amina s'échappa dans sa chambre mais juste avant de fermer la porte un pied puissant l'en n'empêcha.
Elle la lâcha, et se dépêcha de prendre les coussins qu'elle lui lançait au visage pendant qu'il s'approchait dangereusement en les esquivant avec une irréprochables facilité.

–Calmez-vous voyons, dit-il lorsqu'elle manquait enfin de munitions.

–Sortez d'ici méchant personnage ! Hurla-t-elle.

–Je ne vous ferais aucun mal dit-il en levant les bras en signe de paix.

–Vous voulez quoi ? Que je vous remercie de m'avoir sauvée de votre gorille? Lança Amina en se cherchant de quoi se défendre.

–Non. Juste voir si vous allez bien. Rétorqua Andros.

–Arrêtez votre cinéma, mon bien-être vous ne vous en soucié guère !

– Mes excuses pour tout à l'heure, je vous promet que ça ne se reproduira plus. Pour preuve j'ai viré Joe.

–n'est-ce pas vous qui avez demandé à ce qu'il me fasse un chèque après que... Amina s'interrompit secouée par des souvenirs bien trop douloureux.

Comprennent tout de suite Andros posa la pommade qu'il comptait lui donner pour son poignée sur la table de nuit. Et tourna le talon.

–Je ne l'ai pas pris... Je n'ai pas pris le chèque. Informa-t-elle promptement les yeux scotchés au sol et tremblante.

Andros s'arrêta à mis chemin écartelé de savoir qu'elle pensait qu'il l'a prenait pour une arriviste.

–Je sais, Amina... Ici s'est moi le monstre... Et ne vous inquiétez pas vous ne me croiserez plus, maintenant reposez vous, vous tremblez.

Puis sortir en referment tout doucement la porte.
Amina s'échoua sur son lit pleurant en repensant à sa vie d'avant, sur à cette phrase.

"ici s'est moi le monstre".

Ceci n'est pas une partie du chapitre.

Hello mes amours, je vous remercie pour votre patience, dernièrement j'ai eu des problèmes de santé et un sérieux manque de temps. Mais je suis de retour. Merci et à très bientôt

                  Bisous.

L'Éternité D'un SoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant