L'Éternité D'un Soir

Chapitre11

Andros dévalait les escaliers de son sublime appartement, les mains dans les poches. S'était décider il devait rencontrer cette jeune femme et par tout les moyens.
Il n'avait dormi de la nuit,en regarda la photo qui lui dévoilait la tristesse de cette jeune femme, mille et une questions se fondèrent dans son esprit.

Il s'arrêta subitement, sans plus tarder il reconnut immédiatement les deux femmes qui se tenaient dans le grand salon. La plus âgé  qui discutait avec Yemna sa mère, avait préféré prêté attention aux meubles et à la hauteur du plafond avec un air qu'il connaissait très bien, tandis que la plus jeune semblait vouloir contenir une colère qui cherchait encore son destinataire.

Amina Bronsky était le nom de sa victime. Sa mère et sa sœur n'était sûrement pas la pour une visite de courtoisie.
avaient-elles la connaissance de ce qui était arrivé à cette jeune femme ? Si oui pourquoi  elles a la place de la police.

_ Puis-je m'entretenir avec Monsieur Petridis ? S'enquit la mère

Avant que sa mère ne puisse réponde Andros prit la parole:

–Bien évidemment, si vous voulez me suivre. Proposa Andros,en essayant d'être, courtois.

Les femmes le suivit alors jusque son bureau. Andros n'avait pas peur de se qui se passerai, il était même intrigué par le sourire béat que lui offrait la mère de la jeune femme qui tourmentait ses nuits de puis bientôt une semaine. Il voulait plus d'informations sur comment elle se portait et la venu de ces femmes n'était pas de tout refus.

–Je ne penses pas que votre domestique, devrait assister à cet entretien. Avertit la femme en prenant place.

Étrangement cette remarque n'étonna point Andros. En quelques minutes il avait détecté le genre de femme qui se tenait devant lui, elle usait d'un air  hautain en vers sa mère sans savoir qui elle était vraiment.

– Et bien, vous êtes la première personne à me confondre avec une domestique. Dit la mère de Andros en souriant, non sans montré son étonnement à son fils. Enchantée je suis la mère de Andros, acheva-t-elle, pouvons- nous commencé maintenant ?

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Un moment plus tard, Andros sentit une vive colère s'introduire dans ses veines, et réprima l'envie d'étrangler la femme devant lui.
Avait-il bien entendu ?

–Je vous demande pardon ? Avez-vous toute vos facultés ? Lança-t-il en serrant les dents. Quand sa mère le retint par l'épaule.

–Vous ne semblé pas comprendre. Si je suis là s'est pour un arrangement pour sauver votre carrière, vous sauver de la prison ... Oui vous avez bien comprit, je vous propose d'épouser ma fille et qu'on oublie se malheur incident et...

–Assez !

Il la considéra avec dégoût, de toute sa vie il n'avait jamais encore eu affaire avec un femme autant cupide, elle était prête à lui donner la main de sa fille tout en sachant qu'il avait abusé d'elle.
La sœur de sa victime qui était resté muette jusque là semblait s'étouffer avec sa respiration, comme si elle non plus ne s'attendait à cette proposition et ne l'a concevait pas .

–Je ne cherche pas à fuir la justice, s'est moi qui posé cet acte . Et je dois comparaître devant elle, s'est bel et bien là seule chose à faire...

Puis il se leva, en serrant les poids, inclina sa tête pour mieux la considérer.

–Merci, mais je n'ai pas besoin que vous me sauvez, Sifla-t-il, je vais de ce pas me rendre à la police s'en ait assez.

La culpabilité, et la colère avait pris possession de son être, cette rage qu'il avait pour lui même, le conduisait à aller chercher sa punition, celle qu'il méritait parce que l'espace d'une nuit, il avait tous troquer pour se transformé en un monstre.

Il s'élançait alors vers la porte... Sans jamais s'arrêter pour écouter les inepties de la femme qui essayait de le retenir en vain.

–Vous avez tous volé à ma fille, elle n'est plus rien, elle était promise à un homme avant que vous ne l'a violé...

Andros se figea sur la poignet de la porte. Les cris de la jeune femme lui revint à l'esprit.

–En allant en prison, vous la condamnée à un sort terriblement, vous lui devez de sauvé son honneur...

Son honneur...

–Il nous ferons du mal si nous ne respectons pas notre promesse... Et si Amina l'épouse, avez-vous conscience de ce qu'il pourrait lui infligée quand il saura qu'il n'est pas le premier homme qu'elle ait connue...

Voici une chose qui changeait radicalement la donne, Andros sentit une envie indéchiffrable de la protéger, l'idée qu'elle pourrait souffrir encore plus et par sa faute une seconde fois, lui froissa le cœur. Il n'avait pas pensé à comment les gens qu'elle côtoyait, sa famille l'a traiteront... Évidemment qu'ils la rejetteront, car ces choses n'étaient prise à la légère.

–Andros, cette femme a peut-être raison. Conseilla sa mère.

–Ici il est question de l'honneur de ma fille et de celle de toutes ma famille. Ne l'abandonner pas.

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Caressant le front de son neveu endormi,Amina n'arrivait pas à lutter contre cette angoisse qui avait fondée cet immense trou dans son estomac...

Elle se redressa quand elle vit sa mère entrée dans sa chambre, elle ne l'ai avait même pas entendu rentrer.

–Comment c'était ? La police l'a arrêté ? A-t-il avoué Khalida,? Interrogea-t-elle en virant son regard sur sa sœur qui se dirigeait vers son fils en évitant son regard.

–Amina... Commença sa mère

Elle voulait en finir de toute façon au fond d'elle elle n'avait pas beaucoup d'espoir pour cette lutte contre cette homme, elle était épuisée... Elle vit sa sœur essayée d'empêcher Oumayma sa mère de parler, l'appréhension se lisait facilement sur leurs deux visages , elle jura qu'elle voulait gagner du temps.

Alors refusant d'éclater en sanglot, Amina affrontait leur regards, et constata du regret et de la pitié dans celui de sa grande sœur.

–Je vous en supplie dite...

–Tu vas te mariée à cet homme, tu vas te mariée avec Andros Petridis, Décréta sa mère, pendant que sa sœur était cachée derrière elle.

Amina se pétrifia, immobilisée par la douleur, tous  assombri.