𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 8

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Point de vue Inae:

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Point de vue Inae:

En rentrant à la maison, je prend le temps de remercier Kezen pour tous ces déplacements et entre dans la villa, des sacs pleins les mains. 

- Enfin, pourquoi tu ne m'as pas réveillé. Dit Jungkook en venant vers moi

- Parce que tu dormais paisiblement et que je n'avais pas besoin de toi pour cette fois. Dis-je en levant les yeux au ciel

- Tu as mangé au moins ? Dit-il en prenant mes sacs des mains

- J'ai demandé à Tsuju de me faire une boite, j'ai tout mangé si tu veux savoir. Dis-je en entrant dans le salon

Jungkook me suis et s'arrête devant l'entrée du salon, je le regarde, il observe ce qu'il a prit inconsciemment et surtout par réflexe dans les mains. Je vais vers lui pour récupérer ce qu'il ne doit pas voir. 

- C'est quoi tous ces sacs ? 

- C'est pour le petit, mais je vais les ranger avant que quelqu'un ne les salisse. 

- Je pourrais voir ? 

- Plus tard. Dis-je en partant à l'étage 

Je range toutes les affaires qui le concernent, les cadeaux, les décorations pour son anniversaire, je met tout en lieu sur, loin de sa curiosité. Je redescend dans le salon, j'ai laissé un sac qu'il va pouvoir ouvrir tout de suite, que j'ai ramené de la pharmacie, contre son anxiété. 

- Qu'est-ce qu'il y a ? Demandai-je en voyant sa tête 

- Tu agis bizarrement, tu dis ne plus avoir besoin de moi, tu pars sans moi, tu me fuis presque.  Dit-il 

- J'aurais toujours besoin de toi, et puis je ne te fuis pas, je fais des choses sans toi, c'est pas pareil. Dis-je

- Mais on est un couple nan ? On doit tout partager. 

- Jungkook, on partage tout, quand toi tu vas travailler, que tu sors en ville, que tu vas voir tes copains, je ne te suis pas. On partage tout mais de temps en temps on fait des choses séparément, il n'y a pas de mal à ça. 

- Désolé, je suis un peu sur les nerfs. 

- C'est bien pour ça, que je t'ai pris ceci. 

Je sors la boîte miracle qui devrais le détendre un peu. 

- Des médicaments ? 

- Non, des gélules anti-stress et qui aident à détendre les gens trop tendus. 

- Je suis juste inquiet pour toi et le bébé, je vais très bien. 

- Je n'ai pas dis que tu étais malade. 

- Et ça va marcher ? Demande t-il en prenant la boite pour en lire la description

- Ca devrait, il faut essayer, tu en as besoin, ça et peut-être des vacances aussi.

JEON - Mon voisin ce milliardaire -  j.jungkookOù les histoires vivent. Découvrez maintenant