33. TAKE ME TO CHURCH(3)

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— Je fis lentement glisser mes mains sur ses côtes et songeai que plus tard je voudrais avoir de tels abdominaux

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— Je fis lentement glisser mes mains sur ses côtes et songeai que plus tard je voudrais avoir de tels abdominaux. Des gouttes d'eau ondulèrent sur son torse, suivant les collines dessinées qui s'abaissaient et se soulevaient au rythme rapide de sa respiration.

Il me poussa sur mon matelas blanc sur lequel je rebondis, le sang pulsait en jets saccadés dans mon corps. Il détacha sa ceinture, sans rompre la forte connexion qu'avaient établi nos regards. Il sortit une menotte de sa poche arrière et me coinça les bras derrière le torse.

Qu'est ce que tu fais ?soufflai-je, privé de tous mouvements.

C'est moi qui pose les questions ici ! tonna-t-il, s'asseyant à califourchon sur moi. Comment m'appelle-je ?

Mais...Allen ! Ton nom, il a changé entre temps ?

Pas de sarcasmes, Adam ! chuchota-t-il près de mon oreille. Tu pourrais le regretter... je sentis une nouvelle vague chaude me traverser de haut en bas. Les traits de son corps étaient plus marqués, plus forts, plus abruptes sous la flamme vacillante de la chandelle à l'autre bout de la petite cabane.

Que pourrais-tu me f...faire ?

Je te demanderais de garder le silence, susurra-t-il en mordillant le lobe de mon oreille, tout ce que tu diras pourrais être retenu contre toi, devant mon tribunal... il m'empoigna les cheveux humides et tira ma tête en arrière, m'obligeant à lui offrir mon cou. Sa langue dériva sur ma pomme d'Adam, qui tressauta lorsque je déglutis. J'aurais quelques questions a te poser, continua-t-il sur son ton de policier dominateur.

Vous les poserez en présence de mon avocat, déclarai-je lorsque je compris les règles de son jeu.

Si tu le désires ! Il descendit entre mes jambes, et les ouvrit d'un coup sec. Ma bite tendue s'offrait à lui, fière et dressée comme jamais. Je sentis mon visage s'empourprer. Je n'avais jamais été autant exposé a un homme. Alors, monsieur l'avocat, clama-t-il, m'arrachant un long gémissement lorsqu'il prit en bouche l'une de mes bourses. Pensez vous que votre client soit coupable ou pas ?

Non coupable, soufflai-je, les yeux clos, savourant sa langue jouant sur ma peau sensible.

Dans ce cas, déclara-t-il en se relevant, je n'ai plus rien à traiter avec vous ! Le froid de la soirée automnale revint à la charge. Je faillis hurler de frustration. Il fit mine de se dégourdir les omoplates, m'offrant la vision saisissante de ses pectoraux bombés.

Non ! protestai-je quand il descendit du lit, non il est... il est coupable...un sourire malicieux étira les lèvres de mon policier lorsqu'il se rassit près de moi. Je gigotai sur le lit, les menottes commençant à m'engourdir les mains.

Il est coupable... répéta-t-il, regardant mon sexe comme s'il lui parlait vraiment. Et que pourrons nous faire à ce vilain vilain garnement ? Tout en parlant, il m'aggripa la hampe avec une douceur qui me procura des milliers de frissons. Je devrais l'arrêter sur le champ ! Son pouce frotta le bout de mon gland. Et l'enfermer dans ma prison...Je haletai en songeant qu'à ce rythme, je ne tarderais pas à jouir. Mais si vous êtes un bon avocat, proposa-t-il alors que ses lèvres chaudes goûtant pour la première fois à mon précum m'arrachaient une râle, on pourrait parler de remise de peine, qu'en dites vous ?

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PUBLICATION TOUS LES JOURS

The Call Of The Depths (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant