A l'Approche Du Crépuscule(Haikyuu) [Tome 2]

5. Aï

Je vous explique vite fait: je me garde cinq chapitres d'avance. Ça veut dire que là j'ai terminer le chapitre 10, donc je poste le chapitre 5. J'ai décidé de me limiter à maximum deux publications par jour. Oui je suis inspiré. Oui je suis en pleine période "Haikyuu à fond!!!!"  et ça dureras surement jusqu'en janvier 2020 vu que la saison 4 est prévu pour cette période. Je dit bien période parce que la date peut encore changer. Qu'est-ce que j'ai hâte qu'elle sorte. J'ai vu des scans qui tournent un peu partout et je pète un plomb parce que du coup ça devient dur de ne pas se faire spoiler. 

Voilà voilà! Bonne lecture. 

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Au dernier chapitre: 

– Kei, j'ai trouvé !
– Trouvé ?
– Le but ! Tu te rappelle de mon cahier d'objectifs ? J'ai trouvé le dernier !
– Mais tu ne l'avais pas déjà ?
– Non. Les compétitions ne sont pas des buts mais de simples objectifs. Car une fois la compétition passer...
– Il y en a d'autres !
– A condition que tu puisses encore en faire. Non non, là j'ai trouvé le but ultime.

Je me retournait vers Hajime en tenant mon cahier dans une main, le téléphone dans l'autre. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire. Je ne pouvais faire que ça. Mon esprit tout entier était focaliser sur mon nouveau but et ce qu'il faudrait faire pour l'atteindre.

– Je vais devenir professeur !

A suivre... 

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Le mardi matin, je me levait en grognant et descendit manger un morceau. Je n'avais aucune envie d'aller au lycée. C'était la première fois que ça m'arrivait. Peut être parce qu'étant interne, je ne quittait jamais le lycée en semaine, me facilitant la tâche. De toute façon, je n'avais même jamais ressenti ça même un lundi matin. Je vit mon frère descendre, prêt. Il me lança un regard étonné et regarda l'heure. 

- Tu viens pas courir avec nous? 
- Haj', il reste à peine moins de deux heures avant le début des cours et mon club de tir à l'arc est fermer. Alors... 
- Comment tu faisais à Tokyo? Tu m'as bien dit que tu courais avec le club de volley non? Ils commençaient plus tard? 
- Tu déconne ou quoi? On allait courire à 5 heure 30 du matin. Mais ma classe de tir à l'arc nous suivait et on avait les clés du champs de tir. Vu qu'on a tous nos arcs personnels, on avait pas besoin de professeurs. Nous sommes tous des tireurs de haut niveau. 
- D'accord et du coup? 
- Du coup j'irai courire toute seule dans environ vingt minutes, le temps de me préparer. 
- T'es sur que tout ira bien?
- Tu veux que je demande à Nash de m'accompagner? Je demande en levant les yeux au ciel. 
- Non. Se renfrogne-t-il. A toute à l'heure. 
- C'est ça. Et le bonjour aux autres de ma part. 

    Il ferma la porte sur ma phrase et je remontait m'habiller. Aujourd'hui, je vais avoir les résultats des tests. Je mit ma tenue de sport de Fukurodani. Comme je ne suis dans aucun club sportif, j'ai juste l'uniforme de sport réservé aux cours de Seijo. Les clubs de volley, de baskets et de foot en ont d'autres, différents, réservés aux entraînements. Ma tenue de sport comporte un pantalon moulant noir et un débardeur gris avec deux bandes, une blanche et une doré, qui partent de sous les aisselles, jusqu'aux bords. Si nécessaire, j'ai une veste blanche avec marqué "Fukurodani" en gris au dos. Faisant le tour des épaules, et donc passant sous le bras, il y a deux bandes, une noir et une doré. J'aime beaucoup cette tenue, mais il n'y a pas de raisons particulières. J'hésite à prendre mon uniforme mais décide ensuite que je repasserai me changer. Au final, je n'ai mis que dix minutes pour me préparer. Au moment où je descend, le club de volley passe en trottinant devant la maison alors je me suis jointe à eux. Tooru me supplie de lui laisser un bout de mon pain au lait, que j'ai pris dans le placard juste avant de partir. Je le coupe en deux et lui donne la plus grosse moitié, prétextant que je n'ai pas très faim. En réalité, je n'aime pas trop le pain au lait. Nous n'avons plus que ça, alors j'ai pris ce qu'on avait mais je suis soulagé d'avoir croisé Tooru. Epuisé de les entendre jacasser, je met mes écouteurs. Sans m'en rendre compte, je prend de l'avance. Koutarou a des foulées plus grandes que celles de Tooru, qui est le plus grand de son équipe, et j'ai l'habitude de le suivre. Je prend conscience que je vais trop vite quand je ne vois plus mon frère du coin de l'oeil. Je ralentis donc pour me mettre à leur niveau. Nous faisons un certains trajet que je ne retiens pas et revenons au lycée. En repassant devant la maison, je les abandonne. Je sais que l'équipe de Fukurodani a un niveau nationale, mais la différence de niveau entre les deux équipes, en terme d'endurance et de vitesse, est flagrante. Demain, je prendrai un chemin différent.
    Je regarde l'heure. Ils n'ont couru qu'une demi-heure. Je secoue la tête, remet mes écouteurs et repars dans le sens inverse. Je me balade un peu partout et fini par passer devant la boutique "Sakanoshita" de laquelle je vois sortir un grand brun aux yeux bleu que je connais depuis longtemps. En souriant, je vais me jeter sur lui.