Chapitre 369 :
Étonnamment, il n'y a personne à cet endroit de la plage. C'est peut-être pour ça que Maxime l'a choisi... Avant de le rejoindre, je l'observe un moment, encore et toujours étonnée qu'un homme comme lui soit avec moi. Il pourrait avoir n'importe quelle fille à ses pieds. Parce qu'en plus d'être beau, il a toutes les qualités qui en font quelqu'un de merveilleux...
Sans se départir de son sourire charmeur, il me fait signe d'approcher. Je m'installe sur le sable à côté de lui, et il passe son bras dans mon dos pour m'enlacer.
Clémentine : Tu peux me dire ce qu'on fait là ?
Maxime : Mmm... je me suis dit que ça pourrait être sympa de regarder le soleil se coucher sur la mer.
Clémentine : Oui... Mais tu sais qu'il ne se couche pas avant 22 h ?
Maxime éclate de rire, et je lève les yeux vers lui en souriant.
Maxime : On a tout notre temps, non ?
Et il penche son visage vers moi pour m'embrasser. Comme une douce caresse, je sens ses lèvres effleurer les miennes. Et, après de longues minutes, nos bouches se détachent enfin. Mais j'enfouis mon visage au creux de son cou... avec la folle envie de goûter sa peau... Mais je me ravise. Après tout, on est sur une plage publique.
Maxime : Tu vois, c'est possible qu'on voie ce coucher de soleil, finalement.
Clémentine : Oui, on est bien, là...
Maxime : Mais... il va falloir qu'on bouge.
Clémentine : Quoi ? Mais non !
Il rit et se relève d'un bond avant de me tirer par les mains pour m'aider à me remettre debout.
Maxime : On se refera une petite soirée sur la plage... mais là, j'ai autre chose en tête.
Clémentine : On peut aller au resto, pour fêter la fin de ton bac. Mais il faut que je mette quelque chose de plus présentable.
Maxime : T'es magnifique comme ça.
Je suis en train d'ôter le sable de mes vêtements, et lorsque Maxime me dit ça, je lève les yeux vers lui. Et dans son regard, je me sens tellement désirable.
Clémentine : Cette façon que tu as de me regarder... comme si j'étais la plus belle... je crois que je ne m'y habituerai jamais.
Maxime : Il va bien falloir, parce que ça ne changera jamais...
Chapitre 370 :
Sans se presser, main dans la main, on prend la direction de l'appartement. Lorsqu'on n'est plus qu'à quelques mètres, je me fige... Les volets sont fermés, ce qui n'est pas normal.
Clémentine : Quelqu'un est entré chez nous !
Maxime : Quoi ? Mais non...
Clémentine : Si ! Je ne ferme jamais les volets ! Il faut prévenir la police !
Alors que je m'apprête à composer le numéro, Maxime me prend le téléphone des mains.
Maxime : Arrête... C'est lié à ma surprise.
Quoi ? De quoi il me parle ? Une surprise ? Oh, celle pour laquelle il avait demandé de l'aide à Judith ? J'avais oublié... Je me détends, tout en étant impatiente de savoir de quoi il s'agit. Il pose sa main dans mon dos et m'incite à avancer. Il ouvre la porte et me laisse entrer en premier. Je reste sans voix. Le salon est plongé dans une semi-obscurité, et il y a des bougies partout. La table est dressée pour un dîner romantique, et le champagne nous attend dans un seau avec de la glace. Mais surtout... au milieu de la pièce se trouve une table de massage. Un foulard rouge a été posé sur la lampe juste à côté, ce qui donne un côté sensuel à cet endroit.
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Once Upon A Clemax Story
FanfictionRencontre entre Maxime Delcourt et Clémentine Doucet de « Demain Nous Appartient ».