Tendresse...

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PDV de Clémentine :

À mon réveille, le ciel obscure était toujours présent. Il n'y avait pas un bruit, et pourtant, je ressens une présence proche de moi. Instinctivement, je me redresse et tourne la tête, une silhouette noir était assise derrière moi. Je sursaute et me lève.

Clémentine : Vous êtes qui !?

Maxime : Clémentine.... c'est moi Maxime. J'ai vu ton message, et je suis venue mais je t'ai trouver là endormie.

Je suis tellement soulagée qu'il soit là, je me rassois pour le prendre dans mes bras et.... il ne me repousse pas. Je baisse ma tête....

Clémentine : Tu ne m'en veux pas ?

Maxime : De quoi ?

Clémentine : Bah... à propos de ce que Garance t'as dit ?

Maxime : Pourquoi je t'en voudrais !?

Clémentine : Je comprends pas.... elle t'a dit quoi ?

Maxime : Qu'elle t'a surpris, sur le canapé... toi et... Olivier....

Je me met les mains sur mon visage, rien que de repenser à cette scène me dégoûte.
Maxime m'attrape les poignets.

Maxime : Regarde moi... c'est pas grave, je t'en veux pas.

Mes larmes coulent, comment il fait pour m'aimer.... je comprends pas....

Clémentine : Je fais n'importe quoi.... je ne sais pas ce qui m'a pris. Il avait tellement de doutes, il me demandait ce qui n'allait pas et moi je voulais juste faire croire le contraire....

Maxime : T'es pas obligé de te justifier... c'est encore ton mari et puis c'est moi qui me suis mis en travers de votre histoire....

Il me prend dans ses bras pour me consoler, comment fait-il pour être aussi objectif ?
Mon coeur chavire et se brise sous le coup de l'émotion.

•••

Je tente d'enlever le sable de mes cheveux en les secouants dans tous les sens mais en vain, les grins de sable me gênent et j'ai envie de rentrer, me coucher.

Maxime : Viens, on va se rincer !

Clémentine : Quoi ? Mais on peut pas, il fait nuit !

Maxime : Parce que la nuit ça te fais peur ?

Il retire son t-shirt, et laisse apparaître son torse musclé.

Clémentine : Mais j'ai pas de maillot de bain ou de sous-vêtements de rechange....

Maxime : T'en as pas besoin, on est seul Clémentine, laisse toi aller !

Hésitante, je reproduis ses moindres faits et gestes et nous voilà totalement déshabiller. On se jette à l'eau, bien que je ne sois pas du tout à l'aise, j'essaie de me laisser aller. On se sert l'un contre l'autre sous la légère lueur que nous offre la lune et qui laisse apparaître nos deux silhouettes qui n'en font plus qu'une.

Clemax, un amour possible ou impossible ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant