Chapitre 15en cours

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__  Tu as intérêt jeune fille á poursuivre tes études en prenant Elena dans ses bras d’une vive voix .

Réa grelotta de froid et sourit devant l'embrassure de la porte . La petite était joyeuse . Luis avait réussi á se faire aimer  , la petite l'adorait .. Elle croisa ses bras et posa la tête contre le mur. L’image d’Elena et de Luis rehaussait son cœur de bonheur .

__  Elena t’aime bien , je ne l’ai jamais vu aussi heureuse .

__  Mamá cria la petite en accourant dans ses bras .

Elle se décide á rentrer dans la cuisine. Mais Enrique avait déjà détourner ses yeux vers la fenêtre.Qu’avait-elle pensé après toutes ses insultes á son égard qu’il l’acclamerait comme une vieille connaissance ? Il avait parfaitement raison des chaussures de Elena . Il avait vu juste , elle n’avait jamais réussir à la faire changer d’avisau sujet de ses chaussures à talons. Elle satisfait donc tous ses caprices . Elena exigeait de porter les mêmes habits que sa mère . Le plus étonnant c’est que Luis avait réussit à raisonner Elena . Un bon point .

Luis Enrique gardait son calme. Au moindre geste, il pourrait se faire choper. Il ne voulait pas brusquer la jeune mexicaine. Il ne voulait pas qu’elle découvre la vérité aussitôt. Car , il n’avait pas encore gagner sa confiance. Bon sang ! Pourquoi n’avait-il pas pensé que Réa pourrait venir récupérer Elena d’un moment á l’autre ? Si ce n’était pas pour ce maudit verre de contact et leurs filles , il  plaquerait déjà Réa sur la table pour se perdre en elle.  Il sentit un vif désir vibrer ses reins. Réa ignorait son pouvoir de séduction. Il avait trop longtemps été seul même Gabriella n’avait pas pu comblé ce vide  Il la voulait comme cette nuit en Colombie.  Il n’oublierait jamais comment la jeune femme avait pu satisfaire son égo et voulait recommencer. Pas en tant qu’un simple inconnu mais en véritable Luis Enrique Santini .Sur cette lancée, il pourrait l’embrasser d’un baiser sauvage.

__ Luis, regarde dit Elena. J’ai trouvé tes lunettes sur ton lit

Il récupéra les lunettes et la passa sur ses yeux. La petite avait bien du sang Santini dans ses veines en l’embrassant sur la tempe.

__  Il te va bien sourit Réa mais je te préfère sans ces lunettes de soleil  . Tu ne trouves pas Elena ?

__  J’ai les yeux qui s’embrouillent dit-il simplement. Ces lunettes de soleil me protègent à sa façon .

__   Mais nous approchons à la tombée de la nuit. Tu devrais aller consulter un médecin, Luis. Je ne sais pas …mais je ne t’imagines pas avec l’iris noir .

Il osa glisser un baiser au creux du cou de Réa qui rougit comme une pivoine

__  Pourtant , tu as tort señora .Peut-être que tu me  compares avec…

__  Avec l’un de mes amants imaginaires .Je te défends de dire des âneries sermonne-il les doigts pointés vers Enrique .

Enrique prit sa taille puis l’embrasse brusquement sans qu’elle ne puisse s’y attendre. Au lieu de le repousser ,Réa s’effondre dans ses bras en approuvant ce baiser. La voix de sa fille la sortit de son univers puis se détache vivement de lui.

Dios !! pourquoi s’était-elle comporter ainsi. Qui plus être devant sa fille ?

__  Mamá est très émue par ton baiser , je n’ai jamais vu David l’embrasser s’exclama la petite joyeuse

__  Elena sermonne Réa . Pour une fois , peux tu garder un secret ! Les mots peuvent blesser , ma fille !

__  David . Le faux père d’Elena. Il n’a jamais gouté á vos lèvres renchérit-il amusé devant la gène de la mexicaine

__  Je n’ai rien á vous dire , je dois me sécher .
__  Je croyais qu’il était ton mari insistait Enrique pour enfoncer le couteau dans la plaie . Elena porte même son nom de famille .

__  Comme tu viens de le voir , David n’est pas mon mari .Il ne l’a jamais été .Il n’est pas le père d’Elena

__  Ça explique pourquoi tu es inexpérimenté dans tes baisers chuchote-il près de son oreille.

__  Oh ! Vous...

Les mots la manquèrent puis Réa secoua ses cheveux et comprit qu’ils étaient toujours mouillés.

__  Tu trouveras dans la chambre une serviette propre et une chemise sur mon lit dit-il en ne quittant pas son sourire enjoué

Réa la toisa du regard puis se retint devant l’embrasure de la porte

__  Dis Luis , portes tu des verres de contact ou tu ne vois pas très bien ?J’ai remarqué que tu ne voyais pas souvent certaines choses. Je t’ai observé dans le box, tu avais du mal á voir les clés alors qu’ils étaient près de toi

Évidemment qu’il ne voyait pas très bien  avec ses fausses lentilles . S’il n’avançait pas dans sa quête , ses lentilles auraient de sérieuse répercussions  sur ses yeux .

__  Comme ça , tu m’observais dans mon box señora plaisante-il pour détourner l’attention .

__  Ne le prends pas mal répondit-elle en quittant la cuisine

Enrique se courba en face  de sa fille pour la serrer dans ses bras. Elena entoura ses petits mains contre le cou de son père  puis chuchote quelques mots á son oreille.

__  On complote contre moi. Pourtant je ne suis pas votre ennemie intervint Réa d’un grand sourire .

C’est á ce moment que Réa apparut dans la cuisine avec une simple chemise couvrant á moitié son corps. Ses cheveux détachés rehaussait son visage ovale, il poursuivit ses yeux devant cette beauté qui s’offrait á lui. La jeune femme ne savait pas l’effet qu’elle avait sur les hommes. Avec son piètre expérience,elle ne comprenait pas que cet homme était sur son charme . Cette mexicaine voulait le rendre fou de désir. Il voulait gouter chaque parcelle de son corps, ses cheveux libre donnait l’air á la jeune femme comme une biche apeurée. S’il n’avait pas cette fausse lentille la jeune femme prendrait déjà ses jambes á son cou tant que ses yeux brillait de désir. S’il ne quittait pas cette pièce, Il ferait une bêtise.

__Je n’ai rien trouvé de convenable, ça ne te dérange pas, j’espère

Ce qui la dérangeait , c’est de pouvoir regarder la jeune femme sans rien tenter. Il passa une main sur ses cheveux et parcourut des yeux le corps sublime de Réa .

__ Je ferais mieux de quitter cette pièce dit-il en rentrant dans sa chambre
Réa le regardait partir sans trop comprendre son comportement. Luis était bizarre et..même trop. Elle se concentra sur sa fille et se mit á sa hauteur pour eboébouriffér ses cheveux . Elena était radieuse en parfaite cow-girl.
_ Tu es très belle, Elena . Quand tu es très excité  , tes  yeux devinrent d’un bleu d’azur. Tu adores Luis , il t’aime aussi . Votre amour est donc réciproque .

Elena rit en prenant la main de sa mère .

_Luis est mon père, mamá. Je veux être avec toi et Luis aussi

Réa ne comprenait pas le sens des mots de sa fille . Elle disait la vérité.

_Je croyais que tu avais rencontré ton père, tu ne veux plus de cet homme aux yeux bleu á moins que Luis ressemble á celui que tu avais rencontré devant la boutique demanda-elle curieuse

La petite hocha la ttêt
_Décris moi son visage ,  il était grand beau avec des yeux bleu. Et ses cheveux supplia Réa á sa fille . Ils étaient aussi noirs que la tienne .

_J’ai faim mamá… je ne peux pas parler avec le ventre vide . Je n’ai pas terminé mon repas , j’avais trop hâte de venir dans la cabane .

_Elena, tu ne m’aides pas beaucoup á retrouver ton père. Toi qui était si excité  .

Elle soupira,Elena ne l’aidait pas vraiment beaucoup . Elle délaissa la petite et entreprit de préparer á manger. La cuisine était petite et très agréable. Luis s’était comporter d’une manière étrange . Réa chassa cette idée puis décida de préparer une sauce mexicaine et des tortillas espagnole une sorte d’omelette aux pommes de terre et se mit á la recherche des ingrédients
La sonnerie du téléphone de Luis vibra, elle le héla . Aucun son de lui. Il était sûrement sous la douche . Elle fit signe à sa fille de l’avertir . Après  son départ  dans la chambre,le téléphone vibra avec insistance. Et si c’était un appel important pensa-elle. Elle remarqua que c’était un numéro non enregistrer. Peut-être que cette personne voulait vraiment avoir une discussion avec Luis. Sa curiosité l’emportait , elle trouverait sûrement quelque chose à son sujet . Par cette pensée , elle décrocha .

__ Amore, finalement , tu décroches entendit-elle la voix d’une femme avec un drôle d’accent. Je t’ai appelé une centaine de fois, tu m’en veux toujours

L'inconnu Et La Danseuse( En réécriture  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant