L'histoire d'un premier amour, cette amour que l'on oubli jamais.
Extrait :
Je serais sûrement partie en courant, le laissant là seul, face à lui meme... si je ne l'aimais pas.
Mais l'amour vous pousse à prendre des décisions différentes qu'en t...
Ma yemma est réveillée putain. J'aime pas qu'elle me voit comme ça :
J'essaye de cacher le plus possible mon œil avec ma main :
- Salem yemma
Elle : Pourquoi tu rentres aussi tard ? *en essayant d'apercevoir mon œil* Chouf fiya (regarde moi) Wassem heda ? (qu'est ce que c'est que ça ?) *en retirant ma main de mon visage*
-Rien c'est rien t'inquiète.
Elle découvre alors mon œil : Ya wili, tu recommences c'est ça ? Avec qui cette fois ?
Je m'avance vers la salle de bain : Yemma c'est rien wAllah j'ai pas mal.
Elle me regarde avec désespoirs et me dit cette phrase que jamais je pourrais oublier :
Elle : Si un jour je meurs ici, comme ça, se sera par ta faute mon fils. *en allant se coucher*
WAllah cette phrase faisait que de résonner dans ma tète. Déjà que j'vois pas ma vie sans elle, alors la perdre, j'ose meme pas imaginer.
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Je prend une douche,j'ai l'impression que l'eau me brûle. Mes muscles se contractent lorsque l'eau touche mes petites blessures.
J'repense à tout ce merdier : comment j'vais faire pour Ilyes. Il m'a toujours rendu service. J'serais un batard de pas l'aider là . Et ce fdp de Rayan attendez j'le voit, c'est un homme mort lui et ses putes de potes.
NESRINE
4H52
Un gros bruit me fait sortir de mon profond sommeil, c'était des bruits de portes, des cris, des pleures. J'avais peur que ces bruits viennent de mon chez moi, que ces cris soient ceux de mon frère et ces pleures ceux de ma maman.
J'me lève en sursaut et court dans le salon, où Amira et Mounir étaient . Ma maman elle,essayait d'entendre ce qu'il se passait à travers la porte d'entrée.
J'me frottes les yeux ne comprenant pas ce qu'il se passe :
- Mais y'a quoi ici ? *d'une petite voix*
Mounir : Rien. Va te recoucher t'as cours demain.
Amira hochait la tete , l'air de dire "il a raison"
