L'histoire d'un premier amour, cette amour que l'on oubli jamais.
Extrait :
Je serais sûrement partie en courant, le laissant là seul, face à lui meme... si je ne l'aimais pas.
Mais l'amour vous pousse à prendre des décisions différentes qu'en t...
Mais qu'est ce qu'elle me fait la ? C'est mort, c'est non. Je vais pas aider sa petite sœur et encore moins venir chez lui. Plus je le vois, plus je croise chaque membre de sa famille plus j'en souffre. Et j'en peux plus, j'en peux plus de souffrir.
- *rire jaune* Écoute Inaya, j-j'pense pas pouvoir j'ai beaucoup de travail...
Meriem me regarde, les sourcils froncés. Puis j'entends la voix de Nassim crier au loin le prénom de sa sœur.
- J'pense que tu devrais y aller *petit sourire*
Inaya : Mais
- Appelle moi demain, et on verra c'est bon ? *en caressant son epaule*
Elle hoche positivement la tête puis s'en va, me saluant de la main.
On s'éloigne nous aussi.
- Non mais t'es complètement tarée toi ? T'as un problème ma parole, tu fais exprès ? *en marchant vite*
Meriem : Owowowo, calme toi là *en s'arrêtant* calme toi... c'est rien tu vas juste aider sa sœur. Toi et moi on sait très bien que t'es trop forte en français littérature et toute cette merde. On s'en fou de lui ok? *en me caressant le dos*
- Arrête, j'veux plus le voir.. tu le sais.
Meriem : Nesrine tu vas pas t'arrêter de vivre parce que vous êtes « ami », laisse le, occupe toi d'elle et ses cours. En plus ça te fera de l'argent de côté qu'on pourra claquer *rire*
Elle a pas tord. Après tout j'ai essayer de reconstruire ce que j'avais briser, j'ai essayer de rester en bon terme avec lui, j'ai essayer de lui reparler. Rien. C'est pas moi. Et oui, ça pourrait me faire de l'argent de côté, aider ça peut être que bénéfique.
Je soupire longuement.
- J'croyais que tu l'aimais pas?
Meriem : Mais je L'AIME PAS *rire* mais j't'aime toi *clin d'oeil* t'sais quoi le calcule pluuuus, il te regarde ? N'y répond pas. Il te parle ? Répond sechement. Il veut faire le malin ? T'es plus maline que lui.
Je souris légèrement, on dirait quelle me prépare pour aller à l'armée *rire*. En tout cas, elle a raison. Je réagirais en simple « amie », comme lui enfaite...
Je me lève. Me prépare à aller en cours. Je m'habille de vêtements légers, le soleil tape tellement fort, on en su. L'air est chaud, presque inexistant en ce mois de sagesse. Les alentours sont tranquilles, plus de cris, plus d'arrestations, juste nous et notre jeûne.
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Les cours sont lents, l'ennuie perdure. J'ai décidé de terminer cette année scolaire mais de la refaire l'an prochain. Beaucoup trop de bouleversement cette année, je veux pas avoir mon bac avec le minimum. Je veux un bac qui me mérite vraiment, avec la totalité de mon vrai travail. Ça me soule mais c'est mieux comme ça.
