L'histoire d'un premier amour, cette amour que l'on oubli jamais.
Extrait :
Je serais sûrement partie en courant, le laissant là seul, face à lui meme... si je ne l'aimais pas.
Mais l'amour vous pousse à prendre des décisions différentes qu'en t...
Nesrine reste à l'écoute de ce monologue, ne l'interrompt pas. Ces pensées se bousculent silencieusement. Elle voyait un Nassim qui s'adoucissait, un homme qui perdait ces moyens, un homme pleins de regrets.
Mais cette trahison pouvait être pardonnable ? Pour Nesrine c'était une trahison bourré ou non, il est aller dans les bras d'une autre. Sans penser à elle.
C'est ça le pire. C'est dure de se dire que l'homme qu'on aime, l'homme a qui on donnerait tout, à qui on a donner notre coeur. Cet homme là, sans penser à vous, est aller se réfugié dans les bras d'une autre. Est aller toucher les lèvres d'une autre que vous, toucher le corps d'une femme qui n'est pas vous. Cette homme tout le long de cette acte, tout le long de ce moment n'a aucunement penser à vous et aux conséquences. C'est ça qui fait mal.
On remet tout en question ; ses paroles, ses promesses, ses doux regards, ses je t'aime. Qu'est ce qui était sincère ? L'homme est si vulnérable face au sexe opposé, si influençable.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Nesrine avait tout remis en question, elle disait que depuis leur premier regard, peut être que ce n'était qu'amusement pour lui. Elle ne voulait pas lui pardonner. Mais nous, être humains, être si faible qui sommes nous pour ne pas pardonner à nos semblables ?
Dieu ne nous pardonne pas ? Dieu n'est il pas plus puissant que nous ? Pourtant Il pardonne.
Nassim termine son monologue par cette douce phrase accompagner d'un baiser sur la main :
« Nesrine wAllah que j'suis fou d'toi, j'ferais n'importe quoi pour que tu m'fasses de nouveau confiance... »
Nesrinesourit, redresse la tête de son amour.
Elle : *en plaçant sa main sur la joue de son homme* J'veux juste que t'arrête de me faire du mal.
Lui : j'étais bourré sinon jamais jserais aller la voir ni elle ni une autre. Y'a que toi..
Elle baisse la tête sans répondre et ne semble pas être convaincue.
Lui : Nesrine putain regarde comment j'suis à te supplier.
Il attrape son bras puis réplique :
Lui : Si j'en avait rien à foutre de toi *en haussant la voix* tu crois j'aurais appeler pendant 1 mois entier comme un chien? Tu crois j't'aurais supplier ?? WAllah je m'en foutrais de toi j'taurais même pas appeler 1 fois. C'est bon ?
