L'histoire d'un premier amour, cette amour que l'on oubli jamais.
Extrait :
Je serais sûrement partie en courant, le laissant là seul, face à lui meme... si je ne l'aimais pas.
Mais l'amour vous pousse à prendre des décisions différentes qu'en t...
Je pars en courant, je sentais que j'allais exploser en sanglots et je voulais pas qu'il me voit comme ça. Ça lui aurait fait trop plaisir.
Il me suit puis m'attrape fortement le bras.
Lui : Nesrine wAllah arrête tes conneries *en fronçant les sourcils*
- Mes conneries ? C'est la pute a qui la ? La mienne ou la tienne ? *en gigotant mon bras pour qu'il détache son emprise*
Lui : C'est un truc du passé putain.
- Ton boxer il date de quand ?? *en me calmant*
Lui : j'sais pas, je m'en souviens plus.
Il se fou vraiment de moi.
- Écoute j-je vais me calmer. Nassim soit tu me dis la vérité et clairement les choses soit c'est bon c'est fini. J-jveux pas rester avec un homme qui me ment ok?
Il détache l'emprise de mon bras, puis se gratte le cou.
Lui : C'était quand jetait bourré. C'est bon?
Je ris nerveusement.
- Donc si j'ai bien compris. T-tu l'as appeler alors que t'étais bourré ? *en plongeant mon regard dans le sien*
Lui : Oue enfin jcrois.
- Donc attend la, MOI *en criant* QUI M'INQUIÉTAIT POUR TOI, QUI T'APPELAIT TOUT LES JOURS TU M'ÉVITAIS MAIS TA PUTE TU L'AS APPELER ??? *en le poussant*
Lui : Mais j'étais bourré j-je pensais qu'à ça, c'est pas contre toi casse pas les couilles.
- Non mais t'as un problème. Bourré ou pas t'es aller chez elle pour l'avoir au lit alors qu'on était censé avoir une vrai relation cette fois...
Lui : *en haussant la voix* mais on a une putain de vrai relation
- Ne m'adresse plus jamais la-
Lui : *en me coupant* arrête dit pas ça *en m'attrapant le bras*
- LÂCHE MOI
Il continu de me tenir le bras de plus en plus fort tout en rapprochant mon corps près du sien.
Lui : Vous êtes toute des salopes *en me lâchant*
Là y'a une montée de nerfs qui m'est monté au cerveau. C'est lui qui clairement me trompe mais c'est moi la salope ? Je prend ma main et le gifle. Même moi j'étais choquée de la force que j'avais mise dans ma main.
- *en le giflant* j'suis pas ta pute moi.
Il met sa main sur sa joue, choquée de cette action.
Puis je pars sans lui adresser un regard.
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