L'histoire d'un premier amour, cette amour que l'on oubli jamais.
Extrait :
Je serais sûrement partie en courant, le laissant là seul, face à lui meme... si je ne l'aimais pas.
Mais l'amour vous pousse à prendre des décisions différentes qu'en t...
Un immense soulagement comme une immense chaleur de peur envahissait mon corps et mon esprit. Sayez, j'avais plus rien à lui cacher, plus de raisons de mentir, il savait tout. Enfin presque.. rester plus qu'à lui dire que cet homme dont j'étais et sûrement je suis encore amoureuse n'est personne d'autre que Nassim...
Nassim son pote, mais surtout le mec qui est monté en grade dans les trafics et la bicrave dans presque toute la ville... Nassim, le mec connu pour sa froideur, son autorité en gros une réputation qui est pas super super. Mais il reste l'homme avec le plus grand cœur que j'ai connu, et ça c'est le plus important.
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En soit, le fait que Nassim soit son pote c'est pas ce qui me dérange vraiment : d'ailleurs je l'ai connu avant lui. Ce qui me dérange c'est juste le fait de lui avoir menti à lui, mais aussi à ma maman, d'avoir inventer pleins d'excuses pour aller le voir, pour lui parler.. c'est ça qui me fait mal.
Mounir lâche un enooooorme soupir, se relève du lit et devinez quoi?
Grosse gifle dans ma gueule. Très grosse gifle, limite mon oreille se mettais à siffler, je sentais la moitié de mon visage.
- aww *en plaçant ma mains sur ma joue morte* putainnn mon oreille *en me crispant*
Mounir : C'est qui maintenant. *le regard noir*
- Écoute je sais que t'es énervé contre moi, mais-
Lui : Ah Oue tu sais ? Bah c'est logique un peu non ? C'est qui la con d'ta race.
- On se parle plus ok? Donc ça sert a rien.
BAM
2ème gifle dans la gueule. J'suis une fragile moi, j'ai déjà envie de pleurer et de verser toute les larmes de mon corps.
Lui : Balance le blase. *en fronçant les sourcils*
- MAIS PUTAIN CEST QUOI TON PROBLÈME ? ON SE PARLE PLUS, CEST BON CEST FINI *en criant et pleurant en même temps* CETTE CITÉ DE MERDE J'EN AI MARRE D'AVOIR TOUJOURS À ME JUSTIFIER TOI T'EN A RIEN À FOUTRE QUAND TU VAS AVEC 50 MEUFS DONC laisse moi... *en baissant le ton de fatigue*
J'en pouvais plus. J'suis humaine au cas où vous aurez oublier, tout le temps j'suis sous pression, on m'a toujours demander de me comporter ainsi, de dire ceci, de pas faire cela. Et si je respectais pas ça j'me faisais hurler dessus, on me faisait comprendre que j'étais qu'une moins que rien. Stop.