L'histoire d'un premier amour, cette amour que l'on oubli jamais.
Extrait :
Je serais sûrement partie en courant, le laissant là seul, face à lui meme... si je ne l'aimais pas.
Mais l'amour vous pousse à prendre des décisions différentes qu'en t...
Rayan, je sais qu'il peut être dangereux. Pas seul. Non. Rayan c'était le genre qui suivait les groupes, qui ouvrait grand sa gueule que quand il était en groupe. L'effet de masse. Un Homme se sent plus fort, quand il est en groupe. Il se sent capable d'accomplir plus de choses, se sent moins coupable. Mais quand il se retrouve seul, seul face à lui même, il n'agit pas de la même manière : il se croit être plus faible.
Il est plus faible, seulement car il se croit faible. L'effet de groupe rend bête, il nous rend inconscient. Rayan était cet homme bête. Et il agissait en groupe quand il devait régler quelque chose de personnel.
Mais personnel et groupe, ne sont pas des mots qui vont ensemble. Un jour, ce « groupe » dont il tient tant, se verra le laisser seul, véritablement seul.
Tu feras quoi Rayan, quand ça arrivera ? Tu te rendras enfin compte que tu vaux mieux que ça ?
Je l'espère pour toi...
NASSIM 3jours plus tard
- Sale enfoiré t'as cru mon appart' c'était un bar à putes ou quoi ?
Anas me gave. Je l'héberge des fois, quand il s'embrouille avec sa yemma parce que je sais que c'est compliqué. Mais lui il en profite pour ramener ses putes.
Anas : *en s'habillant* c'est bon c'est ma meuf elle *sourire*
Sa meuf me sourit, elle était presque à poil. Mais bon c'est comme ci c'était normal.
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- Anas c'est la dernière fois wAllah. Tu veux t'les faire y'a des hôtels gros.
Lui : Mais t'as peur de quoi ?
- *en me levant* Peur de quoi ? C'est chez moi jveux pas que tu viennes faire tes trucs avec tes putes c'est tout. En plus la dernière fois elle avait oublier son soutif. T'imagines ma femme elle tombe dessus ?
Lui : *rire* ta femme ? C'est juste ta meuf de quelques nuits
- Je l'ai pas touché donc tagueule
Lui : *choqué* noooonn jure ?? D'ailleurs c'est qui la miss ? Même pas tu me met au jus.
- Pas ton doss'. Dégage moi vite ces affaires et t'as intérêt ça recommence plus.
Il souffle et sort de chez moi avec sa « meuf ». C'est un truc de ouf, c'est vraiment un enfant. Un enfant qui pense qu'à ses couilles.
