Pour certains d'entre vous, cet OS va vous dire quelque chose, j'ai juste décidé de la déplacer dans mon recueil pour lui donner plus de visibilité.
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L'été dernier, j'ai eu un job étudiant qui consistait à entretenir une piscine et son jardin. Vivre à Jeju coutait cher et j'avais besoin d'un extra pour payer mes frais de scolarité. Un ami à moi m'avait recommandé à un couple de trentenaire qui possédait un manoir dans le côté riche de la ville. Le quartier était assez éloigné alors je devais conduire tous les samedis et les dimanches pour faire mon travail.
Je me rappelle un mercredi j'étais arrivé et Hayoung, la fière épouse, m'avait craché tout son venin aux oreilles parce qu'il y avait une prolifération d'algue au fond de la piscine. "Pourquoi te payons-nous si la piscine finie par être dégueulasse ? Tu dois te remettre en cause et commencer à faire ton travail. Si la piscine et le jardin continue de ressembler à une décharge, je vais installer des caméras pour te surveiller."
"Je suis désolé, Hayoung." Disais-je. "Mais je n'y suis pour rien si les algues poussent la semaine quand je ne suis pas là. La seule chose que je peux faire c'est de nettoyer quand je suis là."
Hayoung jetait un œil à sa montre Cartier puis me regardait de nouveau. "Je suis en retard pour mon déjeuner avec Eunji. Tu as plutôt intérêt de nettoyer et t'assurer que ça ne repousse pas de nouveau." Elle fouillait dans son sac Louis Vuitton et me balançait un billet de 100000 won au visage. "Sur le chemin en rentrant, va acheter du produit pour tuer les algues."
J'acquiesçais et glissais l'argent dans ma poche. Sur cela, elle fonçait comme une tornade vers sa Lexus, ses talons hauts noirs claquant et son magnifique, rond fessier se balançant de chaque côté. Elle était une magnifique femme. Je sentais que la colère qu'elle avait dirigée sur moi était le résultat d'un pauvre mariage. Je savais également que les riches avaient des idées négatives et stéréotypées à propos des asiatiques tatoués. Si je ne faisais pas des études prestigieuses, je n'aurais pas eu le job.
Je prenais mes affaires et allais jusqu'au fond de la piscine où la formation d'algue était épaisse. Le soleil me brûlait et j'avais du mal à respirer dans l'air humide. Sachant que Junsu était au travail, j'avais tout le jardin et le local à piscine pour moi tout seul. Personne d'autre ne pouvait me voir parce que la maison de Junsu et Hayoung occupait 4 hectares de terrain, complété par une cour de tennis et la piscine dont je devais m'occuper.
A chaque fois que je me savais seul, j'utilisais ce temps pour travailler mon bronzage intégral. Je retirais mon débardeur et le jetais sur une chaise longue. Je faisais ensuite glisser mon short et le jetais au loin. Je portais un string rouge ce jour-là qui dessinait parfaitement les courbes de mes fesses rondes. Je jetais un regard à mon reflet dans la fenêtre pendant un moment pour voir mon corps nu dans la lumière du soleil. Je n'étais pas épais mais plutôt grand avec un corps musclé et athlétique. Je me rasais entièrement tous les matins - sous mes bras, autour de mon bas-ventre, autour de mon anus, et mes jambes. Avec mes cheveux longs, une taille fine, et des pectoraux développés, j'étais capable de passer pour une fille parfois.
J'attrapais une bouteille de crème solaire dans mon sac et l'appliquait sur tout mon corps. Ma peau brillait maintenant sous le soleil. Ça faisait vraiment du bien d'être nu sauf mon string. Toute la semaine j'avais fait cela et le résultat était une ligne claire du string très sexy. Ça rendait mes partenaires sexuels fous aux lits quand il me prenait par derrière.
Je rejetais mes cheveux en arrière, laissant quelques mèches devant. Je me sentais vraiment sexy à faire ce job. J'aimais l'intimité. Je prenais une éponge dans le seau et me penchais dans la piscine avec mon estomac contre le sol. Avec mon bras droit, je grattais l'algue pour la retirer. Je me déplaçais tout le long de la piscine puis sautait dans l'eau pour nettoyer les zones les plus dures à atteindre. Une fois que cela était fait, je sortais de la piscine et m'asseyais au bord. J'attrapais une serviette pas loin et me séchais pendant une minute. Quand je me retournais, mes yeux s'ouvraient sous le choc.