Gwen ne faisait plus aucun distinction entre le monde réel et le rêve qu'elle vivait. Les mains habiles de Anastase lui procurait les caresses les plus sulfureuses. Chacun de ses gestes la torturait la poussant un peu plus vers les abîmes du plaisir. Elle serra compulsivement les cuisses troublée par le liquide chaud qui luisait en elle. Le russe avait quitté ses lèvres et lui faisait glisser sur son cou une myriade de baisers aussi sensuels les uns des autres. Il traça un sillon de baiser de son cou à sa poitrine, goûtant à sa peau savoureuse. Elle gémit lorsqu'elle sentit la pointe d'un téton être happée par sa bouche. Renversant la tête, elle se s'abandonna à cette voluptueuse caresse. L'honneur fit le même manège avec son autre sein et à chaque fois qu'il en embrassait un, il prodiguait une caresse à l'autre avec sa main. Les Soupesant minutieusement comme s'il cherchait à déterminer leur poids. Glissant sa langue le long de la ligne de son ventre il s'abaissa et empoigna ses fesses menues pour rapprocher son bassin de son visage.
Anastase savoura le parfum de son pubis ; une douce odeur de jasmin s'échappait des boucles blondes de son sexe. Se redressant il reprit possession de sa bouche et se pressa contre elle pour qu'elle prenne conscience de l'ampleur du désir qu'il avait pour elle. La jeune femme frisonna en sentant le sexe dur et imposant de l'homme se pressé contre son entrejambe. Il était chaud. On aurait dit un volcan sur le point d'être en ébullition. Il glissa une main insidieuse dans les tendres replis de sa féminité et un soubresaut d'extase lui fit trembler dans ses bras. S'il la tenait pas fermement elle se serait effondrée tant l'intensité de cette caresse était renversante. Il faisait des mouvements circulaires avec ses doigts, allant et venant en elle avec précaution.
Les posa ses mains sur ses épaules pour se soutenir tant ses jambes étaient flageolantes. Le russe grogna dans un tremblement.
— Oui... touche moi ! Gémit-il de sa voix dominatrice.
Prise d'une audace qu'elle ne se savait pas capable, elle souligna la toison brun de son ventre plein d'abdominaux et saisit son sexe tendu dans sa petite main moite. Il se figea et plongea son regard dans le sien. Ses yeux gris s'étaient assombris dans une expression indéchiffrable. La veine de son cou palpitait rapidement. Était-ce donc vraiment elle qui était à l'origine de tant de d'émotions ?
— Si tu fais ça, l'avertit-il. Je ne réponds plus de rien.
Souriant face à cette aveu, elle releva le défi et entama de langoureux vas et viens avec sa main. Son membre était si épais qu'elle arrivait à peine à le contenir. Une légère appréhension la contraignit à cesser sa caresse. Comme s'il avait perçu son hésitation il approcha sa bouche de son oreille.
— Je serais doux, lui promit-il en la soulevant dans ses bras.
Il la porta jusqu'au lit immense où il l'allongea délicatement. La fraîcheur des draps ne réussit pas à estompé le feu qui brûlait en elle. Au contraire, l'image de cet homme viril au dessus d'elle multiplia son désir. Elle avait envie qu'il la fasse sienne au plus vite. Elle remua alors sous lui pour lui faire comprendre ce qu'elle voulait.
— Patience moya krasavitsa, lui dit-il.
Patience ? Elle n'avait fait que ça depuis qu'elle le connaissait. Et la dernière chose qu'elle désirait c'était une minute de plus d'attente. Dans un regard malicieux, elle le vit disparaître entre ses cuisses, et lorsque sa langue chaude s'insinua en elle, elle cria de surprise et d'extase mêlés. Pouvait-on atteindre de telles sommets ? Se demanda t-elle alors que la caresse de l'homme se faisait de plus en plus profonde, plus audacieuse. Elle criait son plaisir sans parvenir à retenir le moindre son. Comme si son corps ne l'appartenait plus. Elle découvrait les secrets de son corps grâce à lui: chaque fibre de son corps répondait à chaque fois qu'il la touchait. il devait avoir assez d'expérience pour savoir comment lui donner du plaisir. Un sentiment de jalousie lui picota le cœur et elle s'empressa de chasser des images de lui avec une autre femme. Ce soir il était avec elle, et c'est à elle qui donnait du plaisir. Le reste n'importait pas.
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Un Indomptable désir(Sous protection du milliardaire).
Romance"Gwen Milan" Pourquoi le destin lui mettait-il encore sur le chemin de cette fille. Qui d'ailleurs était devenu une jeune femme magnifique et très attirante. Telles sont les émotions que ressent Anastase lorsque la silhouette gracile et fragile de l...