Chapitre XXV.

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Bonjour à tous,  je sais que ça fait très longtemps que vous attendiez un nouveau chapitre et je m'excuse du retard. Mais j'aimerais que vous sachiez que comme vous je suis humaine, je peux tomber malade, être fatigué, avoir des problèmes et tout sorte de chose qui pourrait m'empêcher d'écrire ou autre. Ainsi je fais appel à votre indulgence et votre compréhension. Si je ne publie pas c'est pas un fait exprès, lorsque j'en ai la possibilité j'écris deux à trois chapitres par jour et lorsque ce n'est pas possible et bien je ne peux pas faire un miracle. Je m'investis sérieusement et je reçois la plus belle des récompenses de votre part. Alors merci et j'espère publier très prochainement.

*Un exemple de la robe de Gwen en multimédia.

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On sonna à sa porte à peu près vers dix-huit heures et la jeune femme s'empressa d'aller ouvrir. N'ayant pas réussi à trouver le sommeil après le message de l'homme elle avait déambulé dans l'appartement comme une âme en peine.

— Gwendolyne Milan ?

Elle acquiesça à l'interrogation du livreur et signa avec maladresse sur la feuille qu'il lui tendit. Elle était nerveuse et ses mains tremblaient comme des feuilles. Elle prit le paquet et referma la porte d'un coup de pied. Elle alla le déposer sur la console. Elle était écarlate comme une pivoine et scrutait le paquet habilement emballé avec appréhension. Elle caressa la texture lisse du papier cadeau et hésita avant de se saisir du nœud.

Elle n'avait plus aucune raison d'hésiter, et puis elle devait mettre les choses au clair avec cette homme qui la troublait tant. Peu importait ses sentiments, elle était prête à affronter ce qui allait arriver ce soir. Convaincu de ses bonnes résolutions, elle retira le papier cadeau et ouvrit la boîte avec appréhension. La vision de la robe en satin couleur pêche à épaules tombantes qui resplendissait de mille feux lui donna le tournis.

Elle posa ses mains à plat sur la console prise de vertige. Pourquoi était-elle si sensible devant cette robe ? Ce n'était pourtant pas la première fois qu'elle voyait un vêtement pareil... Alors pourquoi ?

— Idiote... murmura t-elle contre elle-même.

Elle prit le vêtement dans ses bras et le posa sur son buste pour avoir un aperçu du résultat qu'elle aurait sur sa peau. Un sourire se dessina sur ses lèvres et elle se trouva à imaginer divers scénarios à cette soirée qui l'attendait. Elle sortit de la boîte les escarpins  assortis à la robe ainsi que les bijoux. Au fond de la boîte, elle y découvrit une carte qui lui était destiné :

J'espère que la robe vous plaît et vous va. Dans le cas contraire faite le moi savoir immédiatement》.

Le sourire toujours figé aux lèvres elle lui envoya un message pour le rassurer et s'empressa de finir de se préparer.

***

— Parfait !

Soulager de constater qu'il ne s'était pas trompé sur la mensuration de la jeune femme, Anastase éteignit son téléphone car ce soir il ne voulait en aucun cas être dérangé.

— Vous avez beaucoup de chance qu'elle accepte votre invitation, souligna César en buvant une gorgée de son whisky.

Anastase opina d'un mouvement de tête songeur.

— Comment séduire une femme qui nous semble indifférente?

Son homme de main esquissa un sourire taquin.

— La petite vous donne du fil à retordre ? Lui dit-il d'une voix amusée.

Les muscles de l'homme se crispèrent.

Un Indomptable désir(Sous protection du milliardaire).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant