Chapitre 20

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J'ai fini de manger avec... Tu peux au moins me donner ton nom?

« Mais bien sûr comme ça tu arrêterais de dire la chose! Je m'appelle Luna.»

Comme la Luna dans les meutes?

«Passe à autre chose je te pris.»

D'accord, d'accord, d'accord on se calme. Bon je vais dans ma chambre et cherche un lieu dans mon ordinateur où je pourrais aller pour mon anniversaire! Comme ça, j'aurais le temps de réfléchir à tout ce qui m'arrive. Par contre, personne ne doit le savoir. Je préfère qu'il le sache à la dernière minute. J'en ai parler à maman et elle m'a donner la permission de cinq jours. Pour l'école, ce n'es pas grave j'ai des bonnes notes, alors manquer la semaine ce n'est pas si grave je suis déjà en avance sur mes cours. Alors, je parcours les sites et trouve une petite cabane dans les bois à quatre heures de route d'ici. C'est super! Le silence et la nature, quel meilleur endroit pour réfléchir et avoir la paix? J'appelle le propriétaire. Après une long négociation on a decide que je payerai environ 150€ les quatre nuits. Je pars demain matin à trois heures, parce que le monsieur part en voyage pour quelques jours.

Il est déjà 15 heures donc je commence à préparer ma valises pour c'est cinq et magnifiques jours de repos. Je cache mes valises sous mon lit et part faire du shopping seule.

«Seule? Alors là je suis vexé!»

Bon ça vas! Je pars faire du shopping avec Luna, c'est mieux comme ça?

« Beaucoup, mais pourquoi on vas faire du shopping? T'a déjà tous se qu'il te faut.»

Il faut que je m'achètes un nouveau parfum. Comme ça si il me cherche il me trouverons pas et c'est plus sûr comme ça. Je rentre à Yves rocher et m'achète un parfum à la vanille. Habituellement je prend plus du Channel et se genre de parfum c'est la première fois que je m'achète un ici. Je cache vite fait le parfum dans ma poche et rentre à la maison. J'ai décidé de faire un petit détour vers la forêt près du manoir. Je respire le grand t'aire. Puis soudains, un craquement se fait entendre. Je reste là sans bouger la tête vers le ciel les yeux clos mais mon sourire avait disparu.

- Depuis quand tu me suis?

???: Depuis que je t'ai vue sortir du centre commercial.

- Je t'avais dit que j'avais besoins de temps! Je me tourne vers lui mon regard dans le siens. Ces yeux m'avait tant manqué.

???: Je sais mais je ne pouvais plus attendre.

- Nathaniël, laisse moi tranquille s'il te plaît. Je ressent tout d'un coup un pincement au coeur. Sa présence me fait du bien c'est vrai, mais elle me fait souffrir aussi.

Nathaniël: Ça fait longtemps que tu n'a pas prononcé mon nom. La dernière fois c'est quand tu es partis. Je soupire aux souvenirs qui refont surface.

- Pourquoi tu me suis?

Nathaniël: Demain c'est ton anniversaire et je me disais.... que peut être.... Il avance à chaque mots prononcer. Je sais se qu'il veut et c'est non.

- Tu connais ma réponse. Je ne vais pas aller voir la meute le jour de ma fête j'ai déjà assez donner pour la meute.

Nathaniël: Je suis d'accord mais là il ne s'agit pas de la meute, mais de moi. Dès qu'il fut face à moi il me prend par la taille. Nos corps son coller l'un à l'autre et nos lèvres si près de s'embrasser. Je vois que tu porte encore le collier. Son regard est posé sur ma poitrine où l'objet est posé.

- Si t'es pas là pour la meute, pourquoi tu es là? Mon regard fait le va et viens sur ces yeux et ces lèvres.

Nathaniël: Pour toi. Nos lèvres s'entremêlent l'une à l'autre. Un baiser fougueux prend place sur nos lèvres. Se baiser contient tout se qu'on ressent l'un pour l'autre et surtout je ressens que je lui ai manquer. Je tiens d'un mains son cuire cheveulue pendant que l'autre entour son cou. Ces mains se baladent le long de mon dos. Tu m'as tellement manquer Hope. Ces lèvres descendent vers la naissance de ma poitrine. Quelques gémissements sortent de ma bouche pendant que lui grogne de plaisir.

«Oula il commence à faire trop chaud là.»

Je le repousse vivement avec toute mes forces. Ma respiration est saccadé, mes joues sont rouges et mon haut est par terre. Je me rhabille vite fait avant que je ne regrette quoi que se soit.

- Non! Tu vas attendre pour une fois.

Je cours chez moi et ferme la porte à clés. Je suis essoufflé et ce n'est pas à cause de la course. Mes yeux sont clos pour m'aider à reprendre ma respiration. Quand je les rouvre je vois trois visage très en colère. Pire moment ça n'existe pas!

Rebeca, Jonathan et Bryan: Où t'étais passer? Wow la synchronisation!

- Je suis aller marcher dehors et je suis même passée au centre commercial. Je ne ment pas!

Jonathan: Et pourquoi tu a l'odeur d'un loup sur toi? Merde je peux même pas me parfumer!

- J'ai rencontré un vielle ami à moi. Je me frais un chemin pour aller vers ma chambre en haut des escaliers.

Bryan: Alors depuis quand tu connais Nathaniël Clark? Là je fige. J'avais oublier qu'il est aller les voir pour un traité de paix. Ils ont du sûrement reconnaître l'odeur. Je cours vers ma chambre et range vite le parfum avant qu'ils arrive donc dans 55 secondes. Alors? On aimerait avoir une réponse.

- Vous voulez pas manger au restaurant à la place? Rebeca décide fermer la porte à clés et les fenêtres. Je prend ça pour un non. Je m'assoie sur le lit tranquillement.

Jonathan: Je suis déjà asser en colère que tu es son odeurs alors n'empire pas ta situation. Il grince des dents les bras croisé et le regard noir. Je me suis mis dans un sacré pétrins!

« Attend demain, tu vas vite réaliser que les problèmes sa feras partie de ton quotidiens. »

Merci tu m'aide beaucoup!

« Mais sa fait plaisir! »

Bryan: HOPE! Je soupire vaincus par ces trois sbires.

- D'accord, je vais vous dire comment je connais Nathaniël Clark. Par contre, vous risquer de ne pas apprécier l'histoire.

Rebeca: Comment ça? Les trois me regarder avec inquiétude et surtout pleine de questions. Avec raison. Je fini par regarder Rebeca pour lui répondre enfin.

- Comme je l'es dit à Bryan, il m'est arriver beaucoup de chose durant son absence.

Bryan: De quoi tu parle?

- Ta pas remarquer que je portais plus de couleur? Que je ne souriais plus comme avant? Que je suis plus solitaire? D'après toi d'où me viens ces cauchemars? Comme je te l'es dit, durant ton absence il m'est arriver beaucoup de chose.

Bryan: Je pensais juste que tu étais fâcher contre moi parce que j'étais parti et pour tes cauchemars tu m'a jamais parler de ce que tu rêvais.

- Parce que c'étais pas un cauchemar, mais un souvenir.

Âmes sœur aux conséquencesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant