Chapitre 23

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Je marche et me poser milles et une questions. Suis-je un monstre? Comment j'ai pue faire ça? Qu'est ce qui m'arrive? Des questions sans réponse me viennent en tête. Tellement absorbé par mes problème que je ne remarque pas que j'étais enfin arriver. Un chalet au bord d'un lac est un quête où un canoë est déposé. Le Soleil est encore bas dans le ciel, j'admire les lieux tout en écoutant se merveilleux bruit naturel qui m'entoure. Quel lieux paisible.

???: Vous êtes pile à l'heure! Je me retrouve et voit le vielle homme avec qui j'ai discuter il y a peu. Étrange pour une fille de votre âge d'arriver à l'heure. Je rie nerveusement à sa blague tenant fermement mon sac.

- Vous savez on est pas tous pareil. Il arrive devant moi et me sonde de ces yeux qui on vue tellement de chose que personne serais dire si il avait vue plus de mauvaise chose ou de bonne.

???: Je me suis pas présenter au téléphone je me nomme Kalaguare. Il me tend sa mains et je la serrant avec politesse.

- Mon nom est Hope.

Kalaguare: Espoir.... vous êtes l'espoirs de qui mademoiselle pour porter un nom avec si peu de signification et pourtant avec un si grand sens? Il est étrange ce vieux.

« Moi je pense que c'est un homme qui a vue assez d'horreurs pour reconnaître la beauté. »

Vous êtes tout les deux bizarre!

- Je suis l'espoirs de personne monsieur. J'ai juste ce nom pour rien. Mes parents l'ont juste aimée, c'est tout. Un grand sourire se plaque sur son visage. Il me tends les clés avant de partir vers la forêt. À peine quelque pas il se retourne et me dit une chose que jamais j'oublierai.

Kalaguare: Souvenez-vous qu'il y a toujours une raison à tout. Il se retourne et marche. N'oubliez pas que se soir c'est la pleine lune, le danger rôde ici.

D'un battement de cils le vielle homme avait disparue de ma vue. Je crois que le mot étranger n'est pas asser fort pour décrire cette homme. Je me tourne et rentre dans le petit chalet. En rentrant je vois un beau salon devant une cheminée entouré de vitre où on voit la forêt et le lac. Je fait le tour des lieux pour trouver un peu mes repères. Il y a deux chambre, une toilette dans chaque chambre, une cuisine, un salon, un bureau et une bibliothèque dans le salon à gauche de la cheminée. Tout à l'aire d'être fait en bois et j'ai vue sur mon téléphone que je n'ai n'y réseau n'y internet. Étrange? Alors comment messieurs Kalaguare à pue me contacter?

« Tu sais qu'il doit aller en ville parfois pour ramener à manger. Peut être qu'il a ressue ton appel à se moment là. »

Oui peut-être, mais ces quand même étrange. Je décide de ranger mes affaires avant d'aller dans le salon munie d'une couverture toute chaude et de mon livre préféré After. Je m'assoie face à la cheminée et commence ma lecture. Je suis si absorbé par le livre que mon ventre fini par appeler à sa faim. Je regarde l'heure et remarque qu'il est déjà trois heures. WoW je n'avais pas vue le temps passer.

« Faut dire que c'est un bon livre et que c'est dure de décrocher. »

C'est vrai. Je cherche dans le frigo et trouve que de la viande et des légumes rien d'autre. Il n'y a n'y fruit, n'y jus,n'y desert juste de la viande et des légumes. Ces toujours aussi étrange. Donc je me prépare un steak saignant avec de la sauce à la viande. Après le merveilleux repas que j'ai manger, j'ai décider de retourné à mon activité qui est la lecture. Les heures passent sans que je les remarque. L'amour qu'ils se portent l'un à l'autre m'hypnotise tellement. Ça se voit qu'il s'aime. Je regarde l'horloge accrochée à la cheminée et remarque qu'il vas bientôt faire nuit. Ma journée d'anniversaire c'est passer comme je le voulais, si on compte pas se qui c'est passé la veilles.

« Ça te dirais une balade nocturne dehors? »

Quoi?! Ça vas pas? Il vas faire nuit dans quelque minute et surtout il y a des animaux sauvage.

« Crois moi. Tu devrais sortir avant que sa commence. »

Que quoi commence?

« Tu m'as demandais des réponses et je t'avais dit que bientôt tu les auras. Et ce bientôt c'est se soir. Alors sort si tu veux vraiment le savoir. »

Et si je ne le fais pas?

« Ces pas moi qui le regrettera n'y qui en souffrira. »

Ça vas, on y vas! Je sors du chalet fermant la porte à clé. Je porte mon pyjama entouré de ma couverture. Je marche dans la forêt jusqu'à se qu'il fasse nuit. Le noir commence à prendre place et les lieux deviennent lugubres et froid. Je regarde le ciel et tombe sur la pleine lune. Mes yeux ne la quitte pas, je suis paralysé par sa beauté. Et puis d'un coup, ma cheville se brise ce qui me fait tomber à genoux au sol. Ma jambes suis le mouvement jusqu'à ma tête. Je hurle de douleur mes larmes coulant sur mes joues rougis par le froid et la souffrance. Mes os changent de place en se brisants et se remettant en place.

- QU'EST CE QUI M'ARRIVES?! Un grognement sourd sort de ma gorge.

De la bave sort de ma bouche tout comme des dents pointues me piquant la langue. Mes mains devienne poilus avec des griffe à serré. Mes vêtements me coupe la respiration, je les déchire à main nue hurlant à la lune. Je hurle en suppliant que cette souffrance s'arrêtes. Ma vision change en une vu si claire que je peux voir à des kilomètres et se remette a ma vue normal tout en continue le débat. Mon ouïe est pareil, il est en totale changement. Tout se qui m'arrive est en totale changement. Je me bats contre la douleur, mais rien n'y faire plus je me bats plus elle me fait mal. La seule pensée qui me travers a se moment précis c'est que je veux que ça s'arrête.

« S'il te plaît ne te bats pas, tu vas te faire plus de mal! »

Mais ça fait si mal. Je veux juste que ça s'arrêtes. Je t'en pris aide moi! Les larmes coulent comme de l'eau tombant d'une chute pour finir dans une rivière menant à la mer. La mienne mène à une souffrance pire que la précédente.

« Tu dois accepter la douleur, tu dois ne faire qu'un avec elle. »

Plus facile à dire qu'à faire. Les os de ma poitrine se contracte et pousse vers mes organe se qui me faire hurler encore plus fort. Je ne respire presque plus, ma gorge deviens sèches et ma vue devient flou.

« Respire et calme toi. C'est comme ça que tu vas réussir. »

Qu'est se que j'ai à perdre? Je respire profondément jusqu'à contrôler les battements de mon cœur. Je suis à quatre pattes sur le sol ma tête braquer parterre. Je ressens la douleur et l'accepte calmement en moi. C'est là que je monte ma tête et que j'ouvre les yeux. C'est là que j'ai vue ce que je suis. Ce que j'ai toujours était. C'est là que je comprend ce que je suis. Je suis devenue une louve.

Âmes sœur aux conséquencesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant