𝒀𝒂𝒔𝒔𝒊𝒓𝒂: 𝒅𝒆 𝑷𝒂𝒍𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏𝒆 𝒂̀ 𝑴𝒂𝒓𝒔𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆 [𝗙𝗜𝗡𝗜]

Bienvenue à la tess Princesse ✨

Episode - III

~1757 mots~

Dans l'épisode précédent

Nous sommes enfin arrivées à Marseille, j'étais super heureuse comme une petite fille, un sourire béat ne quittait plus mon visage.

Je regardais par la fenêtre et admirais le paysage qui s'offrait à nous, nous descendions et à la Gare Saint-Charles. Il y avait beaucoup de monde, j'avais perdu le groupe de vue, je ne savais pas où aller avec toute cette foule qui me bousculait, et moi qui tournais en rond, je ne savais même pas où était la sortie.

Quand une main se déposa sur mon épaule, je me retournai et là, je vis un jeune homme un peu plus grand que moi. Il avait les mêmes....

Les mêmes yeux que moi, il me regardait avec un petit sourire, au début je ne l'avais pas reconnue mais plus j'examine son visage et j'ai compris que c'était Yassir, mon frère jumeau.

Sans le vouloir des larmes coulaient de mes joues, je me jeta dans ses bras, et le seras très fort dans mes bras.

Je remerciait Allah a haute voix de m'avoir fait reconnaître mon frère, pourtant on se c'était jamais vu. Aucun de nous ne parlais mais il me serrais aussi dans ses bras et répétais:

Yassir: Ma sœur...

J'étais tellement heureuse de le retrouver, que plus rien ne comptait désormais autour de nous. Lorsque que je détache enfin de lui j'avais mouiller son manteau:

Moi: Désoler....

Yassir: On s'en fou...

Il pose ses deux grandes mains sur chacune de mes joues mouillées, et m'embrasse le front.

Et j'ai pu apercevoir derrière lui deux garçons, il a pris mon sac et on s'est dirigé vers les deux garçons. L'un d'eux s'approche de moi et me prend dans ses bras, j'ai pas trop compris mais il me dit:

Lui: Salam Aleykoum moi c'est Zakaria ton grand frère *Sourire*

Moi: Aleykoum Salam Zakaria *Sourire*

Zakaria: Tu peux m'appeler Zak si tu veux. Chemseddine il est en voyage il arrive se soir normalement.

Moi: D'accord.

L'autre garçon était resté en retrait, ça devait sûrement être un de leur ami. J'avais remarqué leur accent, ce n'était pas comme les français, il était accentuer, mais je ne fais pas attention à ce détail.

Nous sortons de la gare, a peine sortie que j'ai sentis un énorme coup de vent passer entre ma djellaba *robe arabe*, heureusement que j'avais un pantalon en dessous. Mais mes savates ne pouvaient pas supporter ce froid, on entre vite dans une voiture car le vent se faisait de plus en plus fort.

Je m'installe derrière Zak qui conduisait et Yassir à côté de moi et leur ami devant. Il commençait à pleuvoir fortement, je regardais par la fenêtre de la voiture la ville, c'était beau et grand malgré la forte pluie. La pluie qui ne cessait de tomber, je pouvais mieux voir les maisons, les gens avec leurs courses ou en famille, puis petit à petit le paysage se dégrade, mon sourire s'efface, et mes mon cœur ralenti, je ne comprenais pas très bien le changement d'environnement.

Les arbres se faisaient rare, les jolies maisons disparaissaient ainsi que la population. On passa une pancarte ou il y était inscrit le nom de la ville, je me suis dit peut être c'est un chemin pour nous ramener à la maison. Mais non c'était bien là, on dépasse quelques villages et nous arrivons devant le nôtre.

Ou il y avait écrit en gros "La Castellane„

Il rentre dans notre « village » il y avait des immenses tours, Zak gara sa voiture. Et nous sortîmes, il pleuvait encore quelque gouttes mais sava, je regardais toujours autour de moi, il y avait de grandes tours très haute, des murs insalubre et tout gris, ou souvent avec des inscriptions souvent illisible écrit en noir j'ai pût même lire "Nique les keufs".