C pas que jtm pas, mais si tu brûlais je t'éteindrais avec un bidon d'essence✨

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Chapitre XXIX

~3247 mots~

Patron: Bonjour, asseyez vous je vous pris.

Moi: Bonjour...

Je m'assieds, il avait l'air très mécontent:

Patron: Je vous est convoquer aujourd'hui pour vous annoncer votre renvoie!

Moi: *surprise* Mon renvoie?!

Patron: Oui votre renvoie!

Moi: Mais... Mais... Pourquoi? Qu'est ce que j'ai fait? Vous pouvez pas me faire ça!?

Patron: *rire nerveux* Ha si si je peut faire ça. Et puis ne jouer pas la comédie vous savez très bien se que vous avez fait.

Moi: *le cœur qui palpite* Non du tout monsieur, je ne sais pas.

Patron: Bah je vais vous le dire moi! Vous êtes accusée d'avoir voler des articles et des sous. Une somme a disparut avec plusieurs articles mercredi dernier. Il me semble que les mercredis vous travaillez assez tôt? C'est vous qui vous occuper des livraisons?

Moi: *limite les larmes aux yeux* Oui... Oui.. Mais il n'y a ps que moi. Je travail avec Lydia aussi.

Patron: Voyons arrêter de niez, Lydia travail depuis des années ici. Vous êtes arrivée ici après elle. Et puis il me semble que vous et votre famille avez des problèmes d'argents non?

J'était tellement sous le choque que je n'arrivais même plus a sortir un mot de ma bouche. Lydia a réussi à me faire renvoyer.

Patron: Mais j'ai un arrangement vous signée cette lettre de démission, et je n'en toucherais pas un mot à la police.

La police! A se mot j'ouvris grand mes yeux qui étaient à la limite de déborder de larmes. Je baisse les yeux face à la feuille et au stylo argenter qu'il me tendait. Je pris le stylo, regarda mon "ex-patron" qui me sourie. Je re baisse les yeux et signe cette lettre pré-écrite par lui. Il se précipite sur la feuille, je dépose le stylos sur sa table.

Patron: Bah voilà c'est fait. Et les articles que vous avez prit vous pouvez les gardez. Vous allez sûrement les revendre je présume? *Rire narquois*

Je me sentais humilier a ce moment la. J'avais extrêmement honte de me retrouver à ce niveau la, par la faute de cette femme qui n'éprouve qu'haine envers moi. Je sort de son bureau et part dans les vestiaires les yeux rouge écarlate.

Je me change et dépose mon uniforme et les clefs part dessus et je sort du magasins sans prêter regard a personne bien que mes collègues m'interpellais. Je continue mon chemin jusqu'en dehors du centre ou je croise Lydia qui entrait dans le centre commerciale. Elle me regarde je m'arrête près d'elle pour lui toucher deux, trois mots:

Moi: Sayais tu est satisfaite de toi? Je suis renvoyer. Tout ça pour un homme qui ne te respecte même pas et ne t'aime pas!

Lydia: Ça c'est toi qui le dit ma petite. Bon j'ai pas le temps de causer avec toi, j'ai du boulot qui m'attend "MOI"!

Et elle rebrousse chemin toute fière d'elle. Quelle vipère! J'essuie mes larmes sur mes joues et sort pour prendre la direction du bus.
Arriver à la citée, je monte directe a la maison. J'entendis du bruit en direction du salon. Je vis Chem's et 2 hommes:

Moi: Salam Aleykoum

Eux: Aleykoum Salam.

Chem's: Pourquoi ti es rentrée?

𝒀𝒂𝒔𝒔𝒊𝒓𝒂: 𝒅𝒆 𝑷𝒂𝒍𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏𝒆 𝒂̀ 𝑴𝒂𝒓𝒔𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆 [𝗙𝗜𝗡𝗜]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant