Tu peux m'fumer appuis sur la gâchette✨

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Chapitre VIII {titre complet: Tu peux m'fumer appuis sur la gâchette , j'en ai plus rien à foutre je suis né pour souffrir, pour mourir}

~3188 mots~

Dans le chapitre précédent....

Yassir: T'iras nul part!

Moi: Ils ont besoin de moi! Ils comptent sur moi pour l'est aider vous comprenez sa!!!!??

Yassir: Mais tu peux rien faire!! T'est pas Sarkozy! T'est pas la fille d'un putain de milliardaire!! T'est qu'une pauvre fille vivant dans un cartier merdeux!! *En crient* une fille qui même l'état ne connais pas! *Se calment* désoler mais ici t'est rien... T'est rien... Princesse, on peut rien faire...

Je m'effondre en larmes, il vient me prendre dans ses bras.

Yassir: Je sais que en venant ici tu pensais avoir la vie toute rose, mais écoute moi Princesse ici tu ne vivras que des cauchemars et rêveras ta vie. C'est comme sa et pas autrement ici....

Ses paroles me blessais au plus profond, mais Yassir avait plus d'expérience que moi. Puisqu'il a vécu ici, j'ai fini par leur dire de me laisser seule. Les yeux rouges je regarde de derrière ma fenêtre ce quartier, moche insalubre, c'est leur Gaza a eux si je peut dire.

Nos Israéliens sont pour eux l'état, nos bombes sont la police, nos morts sont la prison, nos sangs son leurs pleurs, et pour finir notre peine sont leur désespoir.

Je commençais a assimiler comment sa se passe ici, mais on continue a y croire, a croire au changement, a croire au destin et surtout en la justice d'Allah.....

Assise au fond de la classe gribouillant sur mon cahier, des lettres, mots, phrases et pour finir un paragraphes. Je regarde la classe et chacun vaquait a ses occupation, Hanane dormais comme d'habitude, Yassir et ses amis qui riaient a haute voix. Notre prof d'histoire continuant a faire son cours. Je continuais a la regarder, quand celle ci me dit:

Elle: Yassira vous aller bien?

Moi: Pourquoi s'épuiser a faire cours si vous même vous savez que nous sommes vouée a l'échec? Pourquoi encore nous donner de l'espoir d'y parvenir alors qu'on fonce droit dans le mur? A même pas quelque mètre de nos 18ans on voie se mur déjà construit depuis des années, se mur nous refusant l'accès d'aller plus loin.
Nous laisser rêver jusqu'à notre majorité et puis nous délaisser a notre propre sort. Du suicide assister sa serais non? Bah répondre moi! Vous êtes bien payer pour répondre a nos questions?

J'aurai aimer lui dire sa mais avec mon immense timidité je n'est pu que bafouiller quelque mots, a la vue de tout les regards poser sur moi. Notamment celui de Yassir a qui je n'avais pas adresser la parole depuis la veille:

La prof: Yassira?

Moi: Heu rien... Oui sa va.

Elle fini par me sourir et continue son cours. Les cours de la journée s'enchaîne puis en sortant du lycée, Zak se trouvais devant sa voiture.

Moi: Ha y a Zak, tu rentres avec nous?

Hanane: Non, je rentre en bus.

On se dirigeait vers lui:

Moi: Mais si allez, Salam Aleykoum

Zak: Salam.

Hanane: Salam.bBon allez j'y vais j'ai heja a faire.

Moi: Mais Hana....

J'ai rien pût dire qu'elle n'était déjà plus la, alors je me retourne vers Zak.

𝒀𝒂𝒔𝒔𝒊𝒓𝒂: 𝒅𝒆 𝑷𝒂𝒍𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏𝒆 𝒂̀ 𝑴𝒂𝒓𝒔𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆 [𝗙𝗜𝗡𝗜]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant