Un mystérieux Duc

Chapitre 6

- Vous savez que je suis né en 85 en Russie, j'ai grandi en Italie et que j'ai étudié au état unis tout le bla bla qui suit alors mademoiselle West !
C'est à votre tour vous n'avez quand même pas oublier notre accord !?

Yvana se rébruni hésitante, la scéance du jour avait commencé à peine quelques minutes et elle n'en était plus si sûr, la normale de son domaine nécessite que le duc se confie à elle et non l'inverse ou même donna-donna.
Elle étira un léger sourire nerveux pour se donner du courage pourtant ses premières questions n'ont rien de particulier.

- Et bien je suis né au Texas, le 29 décembre 1993, mis à part quelques voyages j'ai passé la plus part de mon enfance là-bas,.. jusqu'à ce que je ne vienne étudier à l'université de Brooklyn et maintenant j'ai mon cabinet là-bas.

- hummm alors vous avez vécu à la campagne !?

- Oui mais monsieur Dantès vous savez très bien que j'ai besoin de votre concentration, alors s'il vous plaît on passe aux questions suivantes.

Anthonio lui adressa un petit sourire en coin, Yvana pouvait croire ce qu'elle veut mais sens s'en rendre compte c'est lui qui menait le jeu. La voir si bouleversé, et si intimider était un vrai délice pour ses yeux.

- Comment avez vous vécu votre enfance monsieur le duc ? Dans tout le sens du terme, et n'oubliez pas les petits détails qui vous on marqué s'il y en a !

Malgré qu'Yvana avait soulevé un point sensible à Anthonio, il ne perdit pas pour autant son sourire, il se redressa de son fauteuil et se passa une main dans les cheveux comme s'il voulait se donner du sérieux.

- Bien comme un enfant normal qui avait des parents normal et riche, une vie normale quoi, je ne vous cache pas que certains jours n'ont pas été facile et j'ai perdu mes grands-parents adoré en chemin.

Anthonio avait clairement menti, la seul vérité avait été qu'ils avaient perdu ses grands parents très tôt mais il ne tenait pas à eux tant que ça.
Mais pour une qu'il mentais à une femme il avait un pincement au cœur, Yvana ne méritait pas ça mais elle ne serait pas non plus assez forte pour supporter tout les démons de son enfance.

- Je suis désolée pour vos grands parents monsieur Dantès !
Il pouvait lire de la peine dans ses yeux, oh pauvre Yvana.

- Ça va maintenant mademoiselle West et puis ça fait des années déjà...

- Ma véritable mère est partie pendant que j'étais très jeune, c'est à peine si je me souviens d'elle maintenant et mon père refuse catégoriquement que je revois cette femme même en photo, mais j'ai quand même passé une bonne enfance et oui à la campagne avec des chevaux.
Yvana avait peut-être dis la vérité mais elle avait raccourci son histoire, et puis elle ne connaissais le duc qu'à peine une semaine, elle n'allait quand même pas lui confié la date de ses règles, le tout court était suffisant.

- Désolé Mademoiselle West.
Même si Anthonio ne voulais pas l'admettre de son regard, il avait eu de la peine pour elle. Un instant il s'en était voulut de se jouer d'elle comme ça mais l'instant d'après son instinct de mal dominant avait repris le dessus.

- Ne vous en faites pas monsieur Dantès, ça va faire plus de vingt ans alors je m'y suis habitué, mais quand même merci.

[...]

Yvana soupira d'aise, la scéance avait été plus court que d'habitude mais ça lui avait été bénéfique, petit à petit en plus le duc se confirais et elle pourra accomplir sa tâche.

Face à sa fenêtre, un verre de vodka plus quelques glaçons en main, Anthonio avait le regard rivé sur la neige mais ses idées étaient ailleurs il n'avait qu'une obsession ( sa thérapeute ) pourtant ils ne faisaient rien de particulier mis à part discuter et se mettre en confiance. La scéance comme il se doit tout court.
Plus étonnant, la plus part du temps s'il passait plus de trente minutes avec une femme seule à seul ils finissaient au lit ; il but une gorgée de sa vodka et fit un mouvement de la bouche.

- Yvana ! Chuchota t'il. C'était la première fois qu'il prononçait son prénom comme ça mais c'était un vrai plaisir pour ses lèvres, il but de nouveau une gorgée de son verre en repensant à sa timidité et l'innocence qui se lisait dans son regard, et ses lèvres

- Dio ! Ses lèvres étaient rouge comme une tomate mur, ses grands yeux d'un vert unique, son nez fin, et ses cheveux toujours en chignon.. quels longueur avait-elle ?
Il s'était surpris de fantasmé sur une femme qui ne déployait aucun effort pour le séduire, qu'avait t'elle d'aussi spécial pour qu'elle l'obsède en si peu de temps !? Il était resté bloqué sur ses questions qui le trotinais la tête.
Il relâcha les rideaux étiré qui plongent aussitôt la chambre dans les ténèbres, il se déshabilla et pénétra sa salle de bain, les yeux fermés il profitait de l'eau froide qui coulait depuis sa tête, ça au moins pouvait le calmé. Des minutes après il ressorti plus détendu : une serviette noué à la taille, les cheveux mouillés, les gouttes d'eau perlent son dos et son torse, il reflétait le charisme en personne.
Il se dirigeait docilement vers son dressing lorsqu'on cogna à la porte, il soupira agassé et ouvrit.

- Coucou mon amour ! Murmura Gina, elle était tout souriante, vêtu d'un bout de tissu elle était presque nu si ce n'était sa peignoir en soit qui cachait l'essentiel.

- Qu'est ce que tu veux Gina ?

- Tu ne me laisse pas entré mon amour ? Tu ne vas quand même pas laisser tes employés me voir ainsi ici ?
Après raisonnement il le laissant entré sans autres pensé.

- Dis ce que tu as à dire au plus vite Gina, j'ai du travail à faire..
Elle ne répondit mais se contentant de d'avancer d'une démarche féline en saisissant en chemin le verre de vodka d'Anthonio.
Elle fit semblant de la boire et approcha ses lèvres des siennes, il recula aussitôt comme si lui rendre un baiser serait un péché.

- Gina je te l'ai dit j'ai du travail. Cette fois ci son ton n'était plus la même, il était plus sévère.

- Allé Anthonio tu es congé non ? Pourquoi travailler si on pourrait s'amuser !? Tu n'as pas envie de moi ?
Anthonio retira la boisson de sa main et la but d'un trait, avant de lui soufflé sur un ton catégorique.

- Non Gina ! Alors va te coucher.
Après qu'elle s'est reculé, Anthonio avait enfiler son boxer, un jean délavé, et son débardeur.

- C'est pas vrai Gina, tu es toujours là ? Ne m'oblige pas à te sortir de force.
Elle étira un grand sourire victorieux.

- J'attends simplement mon amour ! J'attends... Elle se rapprocha de nouveau de lui en le poussant sensuellement sur son grand lit ;
Ce n'est que là que là qu'il compris.

- Qu'est ce que tu as mis dans mon verre Gina ? En tentant de tout le contrôle qui lui restait de la repoussé.

- De quoi te détendre juste Anthonio.
Elle se mit en califourchon sur lui en l'embrassa sensuellement.

- Tu m'a drogué... !? Souffla t'il faiblement avant de sombrer.

Bonne lecture gros bisous 😘 encore.

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