Je me réveille par le bruit des cloches, nous sommes le vendredi et j'ai un peu de repos aujourd'hui. Les cloches sonnes 6h. Je grogne dans mon oreiller, c'est trop tôt pour se réveiller, je faisais un rêve tellement bien. Je me décide tout de même de me lever, je ne veux pas me faire encore disputer.
Je m'habille, regarde mon calendrier, nous sommes aujourd'hui le vendredi 4 janvier 2841. Aujourd'hui, une personne importante vient au monastère, voilà la raison de mon temps libre. Je sors de ma chambre, je n'aime pas ouvrir la porte, elle grince tellement fort. Heureusement que j'ai mis des chaussons car le sol de pierre est tellement froid en hiver. Je me balade dans les couloirs, me dirige vers la salle à manger pour prendre mon petit déjeuner tout en sautillant.
Je croise beaucoup de monde surexcitée, effrayée, énervé. Je ne comprends pas, est-ce à cause de la personne importante ? Mon oncle n'arrête pas de me répéter sans cesse « tu n'as que 6ans tu comprendras plus tard ». J'étais heureuse qu'il dise que j'ai 6 ans alors que je n'aurais 6 ans que dans quelques mois.
Personne n'était avec moi pour prendre la petit déjeuner, je me sens seule. Je suis la seule fille du monastère, il n'y a presque que des « vieux croûtons », c'est leur surnom que je leurs donne intérieurement.
À 8h, je m'ennuie dans les couloirs, avance lentement, compte les marches d'escalier, essaye de ne pas toucher les lignes sur les pierres. Puis je me fais soudainement percuter et tombe au sol. J'hurle de douleur :
— Aïe !
— Je... je suis désolé... je... je ne t'avais pas vue...Je me retourne et vois un enfant de mon âge effrayé. Je suis intrigué, je ne l'ai jamais vue ici. Je me relève, je ne veux pas montrer que j'ai mal même si j'ai hurlé, je veux être prise comme une personne forte.
— Ce n'est rien ! Je n'ai même pas eux mal !
— Tu... tu en es sur ?
— Mais oui ! Regarde je vais bien... Dis... qui es-tu ? Je ne t'ai jamais vue ici.
— Ah... euh... oui... Je suis Eren Jäger... le fils du médecin le plus fort du pays. Tu sais, il a soigné des millards de personnes !Je pouvais voir de l'admiration dans ses yeux, il est timide mais quand on parle de son père, il est très sociable. Ça me fait même rire.
— Des milliards ! Ouah ! Mais... ce n'est pas un peu beaucoup ? Je te rappelle que nous somme 200 milliards sur Terre mais que des millards ça fait quand même beaucoup...
— Je... je ne sais pas...
— Passons ! Moi je suis (t/p) ! Je n'ai plus de... parents donc voilà la raison pour laquelle je n'ai pas de nom de famille.
— Oh... je suis désolé
— Je t'en fais pas !Je suis heureuse d'avoir un ami, un ami de mon âge. Nous avons jouer toute la matinée jusqu'à qu'un homme vienne nous embêter pendant notre jeu. Il était grand, portait des lunettes. Eren court vers lui, le prends par la main et l'emmène vers moi.
— Papa ! Je te présente (t/p) ! Elle n'a pas de nom de famille car elle a perdu ses parents...
Quel débile celui là ! Il raconte la vie à tout le monde ! Malgré tous je garde le sourire.
— Oui mais ce n'est rien d'important, je ne les ai pas connus.
— Ce n'est pas grave. Moi aussi j'ai perdu mes parents. Bon Eren tu lui dis au revoir, nous partonsJe peux lire de la tristesse dans les yeux d'Eren, moi aussi je suis triste, ça va être la dernière fois que je le vois. Éperons qu'un jour je puisse le revoir.
— Oui... Au revoir (t/p) !
Il me prends dans ses bras, je le repousse, je trouve ça trop dérangeant un garçon tactile. Il me fais signe de la main puis part avec son père qui, lui est au téléphone. Je lui fais signe aussi et me retrouve seul. Je repense au téléphone du père d'Eren, je rêve de pouvoir en avoir un, la technologie est exclue dans ce monastère, nous coupant du monde.
Je vais rejoindre mon oncle, je m'ennuie tellement, le moment passé avec mon ami m'a enlevé goût au chose que je faisais d'habitude que j'ai besoin d'apprendre, d'avoir des cours.
Je ne toque pas à la porte du bureau, j'entre doucement pour voir si il y a quelqu'un, je vois alors le président de notre pays avec mon oncle. Je referme la porte, je ne comprends pas pourquoi le président est là. Après un long moment, le président sort enfin, il me regarde surpris et me demande :
— Nous as tu écouté ?
Je suis surprise qu'il me parle, je me mets à paniquer.
— Non... bi-bien sur que non... J'ai vue que vous étiez à l'intérieur donc je suis partie a-attendre mon oncle.
— Bien ! Dans ce cas ! Bonne journée !J'entre alors discrètement une seconde fois dans la pièce quand le président est complètement partie. Je vois mon oncle taper un code, je ne vois pas tous les chiffres mais je vois la position et le son qu'ils font. Il ouvre alors une porte cachée, je peux voir plein de livre de là où je suis. Je me cache dans un coin derrière le bureau, mon oncle sort de la pièce, referme la porte et sort du bureau.
Je ne peux m'empêcher de prendre une chaise, la placer sous la boîte du code, monter sur la chaise et taper le code. Je me remémore la mélodie. Je me trompe une fois, ce qui a fais un grand bruit mais heureusement personne n'est venue, une seconde fois je réussis à trouvé tous les nombres. Je me dis qu'il n'y a pas de choses précieuses dedans car pour trouver le code c'est simple.
La porte s'ouvre, je vois plein de livre, j'en reconnais plein et je me rends compte que j'ai fais une erreur. Tous ces livres sont interdits, personnes ne les a lus depuis des siècles à cause de malédictions, de dangereux entre de mauvaises mains. La porte se claque, je suis resté trop longtemps, je suis coincée dans cette pièce.
VOUS LISEZ
Livaï x Reader. Le futur... Les titans
FanfictionJe suis (t/p), je ne suis qu'une enfant de 6ans qui vis dans un monastère. Un jour, je surprend mon oncle rentré dans une étrange pièce. Je réussis à y entre et j'y trouve plein de livre... interdit. Curieuse comme je suis je me mis à les feuilleter...